O Souvenir Printemps Aurore

.......................................................... 7 TOME I AUTREFOIS 1830-1843........................................... 8 Un jour…....................................................................................... LIVRE PREMIER AURORE ......................................................... I. À ma fille .................................................................................. II. ......................................................................................

années à venir. Ainsi elle dure à vivre car en effet,ce sont les premiers problème,c'est que que le poème « Jeunesse » de Esther Graneck nous fait comprendre en disant que « 20 ans,c'est dur à porter » La jeunesse peut être aussi abordée en temps que souvenir,en effet,en grandissant il s'avère que ce soit la période la plus nostalgique et qui est confrontée à de nombreux retour en arrière de la part des poètes,de regrets. Ces poèmes sont alors mit à certain moments à l'imparfait ce qui accentue cette

aux ombres incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums. Renée Vivien, Cendres et Poussières, 1902 À Aurore La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand

| |Les fleuves de charbon monter au firmament | |Et la lune verser son pâle enchantement. | |Je verrai les printemps, les étés, les automnes ; | |Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, | |Je fermerai partout portières et volets

jusqu’à la lisière du bois ; je m’assis ; chaque bête reprit son travail et sa joie dans la certitude que le jour va venir, et le mystère de la vie recommença de s’ébruiter par chaque échancrure des feuilles. – Puis le jour vint. J’ai vu d’autres aurores encore. – J’ai vu l’attente de la nuit… Nathanaël, que chaque attente, en toi, ne soit même pas un désir, mais simplement une disposition à l’accueil. Attends tout ce qui vient à toi ; mais ne désire que ce qui vient à toi. Ne désire que ce que tu

A aurore La nature est tout ce qu'on voit, Tout ce qu'on veut, tout ce qu'on aime. Tout ce qu'on sait, tout ce qu'on croit, Tout ce que l'on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l'aime, Elle est juste quand on y croit Et qu'on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t'aime. La vérité c'est ce qu'on croit En la nature c'est toi-même. George Sand Pour faire le portrait d'un oiseau Peindre d'abord

pensons plus ! " dit-elle. Depuis, j'y pense toujours. Dans le poème ‘’Vieille chanson du jeune temps’’, Hugo évoque le souvenir lointain d’une promenade dans les bois accompagne d’une jeune femme de 20 ans appelée Rose. Ce poème est empreint d’une grande sensualité, mais il est aussi un chant triste sur le regret et sur un désir inachevé. C’est le 19eme poème du livre ‘’Aurore’’, le premier livre de la partie ‘’Autrefois’’ du recueil. Il est composé de neuf quatrains de sept syllabes en rimes croisées

nous trouvons l'œuvre du grand auteur Alphonse de Lamartine (1790-1869) qui s'intitule «Le Lac» écrite en 1820. Lamartine nous montre ici que ce lac lui évoque ces souvenirs, qu'il y ait attaché car ses plus beaux moments y sont lié. Ce texte m'a touché car il me fait penser également à des endroits qui m'évoque de magnifiques souvenirs. Cet endroit est comme le confident de l'auteur et çela montre à quel point il est attaché à la nature. Puis nous poursuivons avec l'auteur Alfred de Musset (1810-1857)

astres Jadis tu détachas les grands calices pour La terre jeune encore et vierge de désastres, Le glaïeul fauve, avec les cygnes au col fin, Et ce divin laurier des âmes exilées Vermeil comme le pur orteil du séraphin Que rougit la pudeur des aurores foulées, L'hyacinthe, le myrte à l'adorable éclair Et, pareille à la chair de la femme, la rose Cruelle, Hérodiade en fleur du jardin clair, Celle qu'un sang farouche et radieux arrose ! Et tu fis la blancheur sanglotante des lys Qui roulant

cette anthologie: Aloysius Bertran, Alfred de Musset, Victor Hugo, Lamartine, Alfred de Vigny, Théophile Gautier, Chateaubriand et Gérard de Nerval. Les romantiques sont principalement des hommes à l'exception de George Sand, auteure du poème Aurore et amante du célèbre Alfred de Musset. Les poètes romantiques écrivent sur de nombreux thèmes. Cette anthologie sera donc partagée en quatre parties: « Dieu parle, il faut qu'on lui réponde » Alfred de Musset, Tristesse «  Peut-être que