O Souvenir Printemps Aurore

L’Albatros . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24 III. Elévation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .25 IV. Correspondances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 V. J’aime le souvenir… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .27 VI. Les Phares . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .29 VII. La Muse malade . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 VIII. La Muse vénale . . . .

l’imagination dans cette géométrie droite, sinon à un bout le parc à bagnoles, et à l'autre un chantier de terrassement avec grues el bulldozers. En fond de scène sur le ciel bleu, un décor de cubes et de parallélépipèdes qui écrasait, mal, le souvenir des bidonvilles et des cahutes banlieusardes. Comment ne pas se désoler dans ce vide ? R. IKOR, Le Tourniquet des innocents, Éd. Albin Michel, 1972. Exercice 2. Dans les textes 3 et 4 ci-dessus, des termes ont été

hautbois, verts comme les prairies, – Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l’expansion des choses infinies, Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens, Qui chantent les transports de l’esprit et des sens – 19 – V J’aime le souvenir de ces époques nues, Dont Phœbus se plaisait à dorer les statues. Alors l’homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l’échine, Exerçaient la santé de leur noble machine. Cybèle

comme les hautbois, verts comme les prairies, – Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l’expansion des choses infinies, Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens, Qui chantent les transports de l’esprit et des sens V J’aime le souvenir de ces époques nues, Dont Phœbus se plaisait à dorer les statues. Alors l’homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l’échine, Exerçaient la santé de leur noble machine. Cybèle

hautbois, verts comme les prairies, – Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l’expansion des choses infinies, Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens, Qui chantent les transports de l’esprit et des sens – 19 – V J’aime le souvenir de ces époques nues, Dont Phœbus se plaisait à dorer les statues. Alors l’homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l’échine, Exerçaient la santé de leur noble machine. Cybèle

Qu’est devenu mon cœur, navire déserté ? Hélas ! Il a sombré dans l’abîme du Rêve ! 8 Le jardin de l’enfance 9 Clavier d’antan Clavier vibrant de remembrance, J’évoque un peu des jours anciens, Et l’Éden d’or de mon enfance Se dresse avec les printemps siens, Souriant de vierge espérance Et de rêves musiciens... Vous êtes morte tristement, Ma muse des choses dorées, Et c’est de vous qu’est mon tourment ; Et c’est pour vous que sont pleurées Au luth âpre de votre amant Tant de musiques éplorées

mortuaire, La prison est son sanctuaire, Et l'échafaud est son trépied. «Que n'es-tu né sur les rivages Des Abbas et des Cosroës, Aux rayons d'un ciel sans nuages, Parmi le myrte et l'aloès ! Là, sourd aux maux que tu déplores, Le poète voit ses aurores Se lever sans trouble et sans pleurs ; Et la colombe, chère aux sages, Porte aux vierges ses doux messages Où l'amour parle avec des fleurs !» Qu'un autre au céleste martyre Préfère un repos sans honneur ! La gloire est le but où j'aspire ; On n'y

Crèche qui s’passe? le petit Parc illustré n o 12 juillet 2011 Mot de la directrice La météo nous a joué des tours avec un printemps qui prenait des airs d’été… Du coup Pâques s’est pris pour le mois de juillet ! Petites robes et bermudas ont fleuri. Les enfants ont ainsi profité du parc de manière intense, prenant de jolies couleurs dorées ! Ce nouveau numéro vous raconte la vie de « votre crèche » avec un retour sur les activités qui ont animé l’établissement de- Témoignage d’une stagiaire

avec bonheur cette anthologie. Pour finir, mon choix c'est arrêté sur une chanson de Francis Cabrel intitulé "Je l'aime à en mourir" où il conte un amour passionnel pour un être aimé. Amis lecteurs, plongez dans ce livre, baignez dans vos souvenirs et laissez vous bercer par la poésie romantique. Vous savez, il n’est que le reflet de ma vie, de votre vie, raconté par des poètes au cœur écorché par la passion. Pour conclure cette préface je trouve la citation suivante de Jean-Pierre Siméon bien

Victor Hugo       LES CONTEMPLATIONS       (1856)       Publication du groupe « Ebooks libres et gratuits » - http://www.ebooksgratuits.com/       Table des matières   PRÉFACE TOME I   AUTREFOIS  1830-1843 Un jour… LIVRE PREMIER  AURORE I.  À ma fille II. III.  Mes deux filles IV. V.  À André Chénier VI.  La vie aux champs VII.  Réponse à un acte d’accusation VIII.  Suite IX. X.  À Madame D. G. de G. XI.  Lise XII.  Vere novo XIII.  À propos d’Horace XIV.  À Granville