Numance

dans une grande auberge Oie blanche engrossée par Firmin Manipulée par son mari Bonne chez les Numance Quasiment fille adoptive de Mme Numance Psychopathe sadique Recherche le pouvoir par la manipulation so 2 Bel homme, gentil Honnête, franc, intelligent, rusé Maréchal−ferrant Laid, air inoffensif Manipulateur machiavélique, cruel Coureur de jupons, buveur, joueur Homme à tout faire des Numance Pantin manipulé par sa femme et cocu homme à tout faire de 2 Charles A localisé Thérèse

récit a marqué sa tante et il n’y avait aucune raison de ne pas croire cette dame. Premier récit de TH sur la ruine de Numance : - il fait froid dans leur chambre : Fir doit attendre TH dans le vestibule derrière la plante verte. Progressivement FIR va dans la sale de consommation . Ils gagnent assez d'argent à deux pour se le permettre. Un habitué : M Numance demande toujours à TH si elle n'a besoin de rien. Sa femme, une demoiselle Rodolphe des marchands de drap d’Avignon

intelligence) de tout ce qui est contraire au Bien. L'homme mérite donc de souffrir à son tour, comme Lady Macbeth frappée par la folie du remords à la fin de la pièce de Shakespeare. Il n'y a que Thérèse qui ne soit pas punie, sauf par sa défaite sur Madame Numance. Transition : penser le Mal comme volontaire, c'est-à-dire découlant d'une volonté d'atteindre le but maléfique (crimes, oppression, esclavage, domination, prise de pouvoir) implique de voir l'homme comme à la fois coupable mais aussi responsable

loups », Thérèse et son mari Firmin qui vit pour avoir et pour prendre; « côté agneaux », les Numance qui vivent pour donner : « Mais vivre pour lui c’était donner parce que, pour sa femme, donner c’était vivre » (p.335). Les Numance, bouleversés par le spectacle misérable du couple réduit à vivre dans une cabane à lapins, le recueillent dans leur demeure de Châtillon et lui cèdent un pavillon. Madame Numance s’éprend de Thérèse et fait d’elle sa fille adoptive alors que Thérèse, elle-même, « s’abandonnant

cercle infernal entre les bourreaux et les victimes, pas de bourreaux sans victime, Giono analyse la bonté comme la méchanceté, comme deux passions qui sont assez proches, et parfaitement symétriques, cruauté de Th qui réponds a la générosité de Mme Numance , toutes les deux procèdent d’un manque, d’une mère d’un coté et d’un enfant de l’autre et elles ne sont pas radicalement ≠, deux psychologie pas totalement ≠ en revanche, Giono montre plusieurs sorte de bonté et plusieurs sortes de méchanceté, et

Lorsque Thérèse vient chez les Numance pour leur demander de rembourser les soi-disant dettes de Firmin, elle est très surprise de voire que Mme Numance est déjà au courant, alors que seuls Firmin, Thérèse et Reveillard sont au courant. P249 D’après la contre, les Numance pensent que c’est Firmin qui a tout organisé pour tenter de leur dérober leur fortune, et qu’il aurait embrigadé Thérèse. Lorsque Mme Numance amène la reconnaissance écrite des 50 000 Francs, Firmin n’en revient pas, car jusque

à autrui tend à s'annihiler. Le mal évacue, annule, les autres au profit d'un « moi » hypertrophique. - Les Ames fortes :  Thérèse par sa rapacité et son avidité au gain dépouille les Numance de leurs biens et de toute leur fortune. Monsieur Numance meurt à la suite de la cession de sa propriété et madame Numance, si elle ne meurt pas, disparaît à jamais. Thérèse fait tuer aussi Firmin. * Source de culpabilité (pour soi) Le mal ronge de remords les personnages de nos textes. Protagonistes hantés

La passion est une source de bien comme de mal Deux êtres dominés par la passion : Les deux portraits ( ceux de therese et de mme Numance) esquissés mettent en scène une prédominance de la passion. Ces deux passions differentes par leur natures ( pour Therese : " jouir de la libre pratique de la souvrainté ", pour mme Numance "donner sans mesure") se caractérisent cependant toutes les deux par leur violence et par l'étendue de leur empire L'absolutisme et l'excés c'est ce qui selon Giono

aussi lui permettre de pardonner des personnes commettant le mal ou encore de trouver des explications plus rationnelles aux réels mobiles des ces mauvaises actions. On peut appuyer ce propos avec le personnage de Mme de Numance, présente dans Les ames fortes de Giono. Mme de Numance est en effet quelqu’un de cultivé et de très instruite. Elle possède donc une très grande part de savoir et par conséquent d’ouverture d’esprit. C’est cette caractéristique qui la conduira en partie à avoir une totale confiance

bourgeoise de quarante ans qu'était Mme Numance, s'employa à attirer, en tant que pauvresse sur le point de donner naissance, l'attention et la pitié de cette bienfaitrice de Châtillon, qui suscitait le respect et l’admiration, car elle donnait pour toutes les bonnes œuvres, aidait sans rien attendre en retour, avait un mot gentil et un sourire pour chacun. Or Thérèse devint l'objet de son amour, elle et Firmin étant accueillis par ces deux retraités, car Mme Numance pouvait tout demander à son époux