Numance

possède pas de cognomen (réservé aux familles de l’aristocratie). Son éducation fut plus militaire qu’intellectuelle. À 25 ans, il participe au siège de Numance (Espagne) sous les ordres de Scipion Emilien. Celui-ci impressionné par les talents militaires de Marius, le désigne comme son seul digne successeur. Grâce à la notoriété acquise à Numance, il est élu questeur en 121 av. J.-C., puis tribun de la plèbe en 119 av. J.-C. Il acquiert alors une réputation d’homme politique résolu et une popularité

interventions divines dans les phénomènes historiques. Il est l’un des premiers historiens a brisé les liens de l’objectivité. Les livres tels que ‘’ un éloge de Philopœmen ‘’ en 3 volumes, un traité sur les régions équatoriales et ‘’une guerre de Numance’’, ont tous été perdus au courant de l’histoire. Il a aussi écrit les ‘’ histoires générales’’ desquels il reste aujourd’hui plus que 5 volumes. Originalement écrit en 40 volumes. Les volumes 1 à 29 ont été écrits à Rome pendant l’exil de celui-ci

événements de la guerre, intitulé "Guerre de Numance". On lui attribue aussi un deuxième traité intitulé "Traité sur les régions équatoriales". L’Histoire générale de la République Romaine de Polybe, ou plutôt ce qui nous est parvenu, est une source précieuse pour les historiens qui étudient l'histoire des Guerres Puniques. Polybe y retrace en effet l'histoire de Rome depuis le IVe siècle av.J.C, jusqu'à la conquête de Carthage, Corinthe[->5] (146) et Numance (133). Après l'introduction des deux premiers

très jolie petite paysanne a tôt fait de découvrir qu’elle peut facilement tromper son monde et que personne ne peut être son maître.Thérèse rend-elle à madame Numance la passion que celle-ci lui porte ? S’identifie-t-elle à madame Numance, ou s’oppose-t-elle à elle de toute sa haine ?Si elle fait tuer son mari, est-ce pour venger les Numance qu’il a anéantis, ou pour apaiser sa soif de domination toute imprégnée de mépris ? Firmin : Le mari de Thérèse est un jeune homme de vingt-cinq ans, plutôt

par   Madame   Numance,   dans   des   condiFons   inexplicables,   qui   enflamment   les   imagina-­‐ Fons.   Un   homme   de   Valence   serait   venu   réclamer   le   remboursement   ;   Thérèse  dit   avoir   assisté   à   la  scène   de   l'extérieur   du   Chalet,   demeure   des   Numance,   marquée   par   le  sourire  froid   de  Madame   Numance.  Thérèse  pour-­‐

malheureuse ? » – Vous dites que vous n’aimez personne et que vous n’avez que vous. – Eh bien ! où vois-tu du malheur dans tout ça ? » 2ème partie : premier récit de Thérèse, depuis la fuite du château du Percy jusqu’à l’enquête sur les dettes de Mme Numance p. 55 à propos de Firmin « Le pauvre ! Il n’aurait pas fait de mal à une mouche et ce n’était pas lui qui m’avait cherchée. » p. 56 l’intendant au château « Une sainte nitouche. Elle vous parlait avec la bouche en cul de poule, les yeux baissés et

romanesque : romanesque, l’amant mystérieux prêté à Mme Numance, romanesque aussi, l’enquête menée pour découvrir son identité, romanesque encore la scène entre les Numance et l’huissier telle que Thérèse la relate. Ne déclare-t-elle pas, en parlant de ces personnages : « on les voyait très bien, comme au théâtre ? » Ceci pointe vers le fait que Thérèse tend à transformer le réel en fiction. Elle construit ainsi une image héroïque de Mme Numance en la comparant à un animal indomptable : « elle regardait

que Thérèse est enceinte et qu’ils logent dans une petite cabane où ils n’ont rien, qu’elle va s’occuper de les marier. Ce récit a marqué sa tante et il n’y avait aucune raison de ne pas croire cette dame. Premier récit de Thérèse sur la ruine des Numance (82- 120) : « Oui, oui, je vois qui tu veux dire. Il y a eu, en effet, quelque chose de ce genre ». Thérèse continue son récit sans se troubler. Comme il fait froid dans leur chambre, Thérèse conseille à Firmin de l’attendre dans le vestibule

que Thérèse est enceinte et qu’ils logent dans une petite cabane où ils n’ont rien, qu’elle va s’occuper de les marier. Ce récit a marqué sa tante et il n’y avait aucune raison de ne pas croire cette dame. Premier récit de Thérèse sur la ruine des Numance (82- 120) : « Oui, oui, je vois qui tu veux dire. Il y a eu, en effet, quelque chose de ce genre ». Thérèse continue son récit sans se troubler. Comme il fait froid dans leur chambre, Thérèse conseille à Firmin de l’attendre dans le vestibule

raconte l’histoire de monsieur Numance, un habitué des lieux. C’était un homme qui était très aimable, très agréable jusqu'au jour où il apprit que sa femme avait vingt mille francs de dettes. Madame Numance était une femme très réservée. Contrairement à son mari, elle était peu sociable. Le jour où un créancier est venu demander de l’argent à monsieur Numance, Thérèse, comme beaucoup de personnes de Châtillon, est allée voir ce qui se passait à la demeure de monsieur Numance. Elle raconte que c’est la