Numance

Victoire de Pydna en 168. 149 Création des quaestiones perpetuae (tribunaux permanents) 146 Destruction de Carthage et de Corinthe ; création des provinces d’Afrique et de Macédoine 135-132 Première grande insurrection servile en Sicile 133 Prise de Numance par Scipion Émilien Legs du royaume de Pergame à Rome par Attale III Tiberius Sempronius Gracchus, tribun de la plèbe 129 Création de la province d’Asie 122. Caius Gracchus, tribun de la plèbe (2 fois) vers 120 Création de la province de

son agir: « Mais je crains ta nature, trop pleine du lait de la tendresse humaine (…) tu voudrais être grand (…) mais sans que t’aide le mal». Firman, dans Les âmes fortes, utilise le spectacle lamentable de Thérèse pour forcer la générosité des Numance, et plaçant son bonheur dans le cadre de l’argent des autres, il organise leur ruine, avec la complicité de l’usurier Reveillard, venu de Lus. Le vicaire rousseauiste souligne que la méchanceté est engendrée par le fait de se livrer passivent au principe

soulever l’existence d’un certain bien. En effet, des actions de Thérèse et Macbeth, il découle qu’un bien a été créé, mais un bien personnel. En effet, Macbeth réalisa ses vœux de devenir roi et Thérèse réussit à gagner l’affection maternelle de Mme Numance et à la ruiner par la suite. Ainsi, même si le mal a été fait, il en a découlé un plus grand bien, mais pour l’auteur du crime seulement. Ceci rejoint la thèse de Nicolas Machiavel, philosophe italien qui développa au XVIème siècle dans Le Prince

nature. » évitement du mal, dégoût du mal, la conscience comme « faculté intelligente » (73, 74 V) + les remords sincères des époux Macbeth.. c) La conscience du bien et la faculté de compassion : la femme de Macduff (IV, 3), compassion de Mme Numance, les commères outrées que Thérèse n'aime personne, compassion du Vicaire (le bon prêtre) (96) III . LIMITES [Dans une troisième partie on s'attachera à montrer les limites que rencontre la pensée pour faire triompher le bien.

actions en manipulant les autre tels que Firmin : « Il fallait qu’il m’obéisse au doigt et à l’œil. […] Cervelle, c’était moi. » p300. Ainsi malgré qu’elle soit mauvaise, elle peut manipuler un grand nombre de personnes plus importantes, tel que les Numance et donc agir en faisant le mal, parfois en étant consciente de cela mais parfois, cela lui échappe. Cela pose le problème de : Comment savoir si on agit en faisant le bien ou le mal ? Nous allons essayer d’y répondre dans la troisième partie. D’autre

puisque la société peinte par Giono ressemble à une jungle où domine la loi du plus fort (ou du plus rusé), concrétisée par une lutte impitoyable pour la vie entre les   prédateurs et les proies : « Pendant que les Firmin combinaient d'un côté, les Numance combinaient de l’autre. Côté loups, côté agneaux... » p.152,  ou  entre les loups eux-mêmes comme lors de l’affrontement fatal entre Thérèse et Firmin.  Chez Rousseau,  l’équilibre de l’être est assuré par une faculté naturelle et innée qu’il appelle

son agir: « Mais je crains ta nature, trop pleine du lait de la tendresse humaine (…) tu voudrais être grand (…) mais sans que t’aide le mal». Firman, dans Les âmes fortes, utilise le spectacle lamentable de Thérèse pour forcer la générosité des Numance, et plaçant son bonheur dans le cadre de l’argent des autres, il organise leur ruine, avec la complicité de l’usurier Reveillard, venu de Lus. Le vicaire rousseauiste souligne que la méchanceté est engendrée par le fait de se livrer passivent au principe

paix fut rejetée par le Sénat, mettant ainsi fin à sa carrière militaire. Cela perturba les rapports que Tiberius entretenait avec le Sénat. Selon l’historien Tite-Live, sa décision d’agir naquit lors de sa traversée de l’Etrurie en direction de Numance. Il fut frappé par les immenses domaines exploités par des hordes d’esclaves et aussi par les immenses terrains vides d’hommes. En 133 av. J-C, il fut élu tribun de la plèbe et soumet sa proposition de loi agraire, connue sous le nom de Rogatio Sempronia

dans le roman de Giono Les âmes fortes, le seul intérêt d’un des personnages principaux, Firmin, est l’argent, c’est ce qui lui convient, cela représente le bien pour lui. Mais à ses côtés, on trouve aussi deux autres personnages, le couple des Numances, pour qui le bien se présente sous une toute autre forme ; la charité chrétienne. Ils vivent en distribuant leur générosité autours d’eux, c’est leur intérêt. Enfin, cette relativité entre le bien et le mal est parfois si poussée et à la fois

de nouvelles aurait suffit pour lui donner un statut important dans l'histoire de la littérature castillane. Il a écrit aussi El Viaje del Parnaso: Le Voyage de Parnasse (1614), long poème en tercets enchaînés, El sitio de Numancia: Le siège de Numance, El trato de Argel: Le traité d'Alger. Sa dernière oeuvre fut le roman Los Trabajos de Persiles y Sigismunda: Les Travaux de Persille et Sigismonde qui paraît un an après sa mort. L'influence de Cervantes dans la littérature universelle fut