Notion De Fatalité Tragique

dramatique ( drame = action): assister aux atrocités qui arrivent au héros libère le spectateur des ses émotions. Fatalité : On parle toujours de « fatum », du destin qui écrase le héros tragique. Le héros tragique est victime à la fois de la volonté des dieux, d'un coefficient de hasard et de son erreur. Le héros a commis le « péché » d'hybris (la religion grecque antique ignore la notion de péché tel que le conçoit le christianisme ). Il a été orgueilleux et s'est comparé à Dieu. Il est donc puni

mouvance du monde, la réversibilité des choses, l’instabilité, le changement. Corneille utilise une mise en abyme (procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre) pour exprimer sa conception du monde. Le classicisme : il est qualifié par deux notions très importantes : la vraisemblance (vérité acceptable pour les spectateurs) et la bienséance (ne pas choquer le spectateur). Les actions de combats sanglants sont simplement racontées au public. La comédie est considérée comme moins noble que la

dénouement est-il bâti ? Pour commencer nous évoquerons la notion de merveilleux qui est présente tout au long de ces deux scènes, puis nous parlerons de ces deux scènes et dans quels genre elles sont inscrites puis, pour terminer, nous aborderons ce que le personnage de Dom Juan représente et du mythe qui plane autour de lui. 1°) Le Merveilleux. A) Le spectre= allégorie païenne du temps et de la mort Toute la Fatalité du dénouement ce trouve dans l’apparition d’un spectre. C’est

Corneille) lorsqu’il fut représenté. II-/ Analyse du titre : Le titre Andromaque pourrait prêter à penser que celle-ci est bien le personnage principal, l'héroïne de cette pièce. Rien que part le titre on peut suggérer qu’elle est un peu le rouage tragique autour duquel tout se noue. Cependant après lecture tout prend son sens. On pourrait même résumer tout cela sous forme mathématique : Andromaque aime Hector. Pyrus aime Andromaque Hermione aime Pyrus. Oreste aime Hermione. Finalement, si Andromaque

Antigone Introduction Cette pièce est une réécriture d’Antigone de Sophocle, auteur tragique de la Grèce antique. Elle s’inspire du mythe mais dans une version modernisée (ajout de scènes…). Ce dernier s’est concentré sur Crénon, alors que Jean Anouilh a centré sa pièce sur Antigone. Les tragédies mettent les personnages devant des dilemmes. Ces deux protagonistes font preuve de hybris/hubris : Crénon car c’est un tyran qui élimine tous ceux qui se mettent en travers de son chemin, il empiète

pour Hyppolite, son beau-fils. Son aveu fait avec reticence à sa nourrice Oenone, se conclut par une tirade qui s'apparente un monologue. Deux thèmes présents dans cette scène d'antologie seront abordés : Le récit difficile d'un coup de foudre et la notion de l'amour interdit. A. Coup de foudre La scène du coup de foudre dans un récit a évolué depuis l'antiquité et au fil des siècles tout en gardant certains codes symboliques récurrents. Ainsi des symboles reviennent régulierement, servant de repaire

force viande et vin doux" B) Des qualités de conteurs récompensées - [notion de qualité] Un récit fort en émotion -> admiration alternée par effroi (outre des vents magiques+plante d'Hermes+baguette et philtre de Circé //=// Géants anthropophages, la sorcière Circé, les monstres Charibde et Scylla, les sirènes envoutantes et meurtrières. Un récit où les personnages s'expriment au discours directe. - [notion de récompense] Reconnaissance d'Ulysse par le roi des Phéaciens en tant qu'Aède+

et de la durée, que nous ne saurions remplir. C’est justement la dignité qui pousse les gens à considerer le vrai monde. Comme l’artiste, le dramaturge occidantal exprime leur valeur ainsi que leur pensée philosophique aussi d’un mode comique que tragique. Surtout dans la tragédie, on sent la douleur des gens qui on frappe profondément. Le fait que l’homme peut prendre la conscience eux-mêmes de la tragédie, alors est –ce que c’est justement la douleur essentiel de l’humanité﹖ Il n’y a pas de monde

en lui pour avoir désiré le meurtrede quelqu’un : sa conscience le taraude. => Son crime risque alors de perdretout son sensb.Un individu tourmenté= > notion romantique dont sont victime les héros : le « mal du siècle » :sentiment du vide de l’existence, absurdité de la vie= > porté par ses désirs, ses défis mais rencontre la fatalité : il meurt= > le héros est l’élément perturbateur :Par exemple, c’est Lorenzaccio qui fera ce que les républicainsn’auront pas osé faire : tuer le tyran

Andromaque). Comme explique Anouilh dans Antigone la tragédie semble une machine qui démarre pour une cause insignifiante (“On donne un petit coup de pouce pour que cela démarre”) et se déroule en privant l’homme de tout espoir ou toute liberté. Le héros tragique marche alors inlassablement vers la mort. La tragédie ne se caractérise donc pas par le dénouement qui est malheureux, c’est la mort. La tragédie “c’est propre”, “dans la tragédie on est tranquille (…) parce qu’on sait qu’il n’y a plus d’espoir,