Nier La Liberté

Le philosophes des lumières prônaient plusieurs valeurs au XVIIIème siècle telles que l'autonomie, la liberté, l'émancipation, la diffusions des connaissances, ... . Parmis celle-ci trois sont particulièrement intéressantes : la laïcité, la tolérance et les droits de l'Homme. Elles sont importante car elle permettent un bon fonctionnement de la vie en société. Elles possèdent toutes deux caractéristiques fondamentales : l'interdépendance et l'importance. L'interdépendance signifie qu'elle dépendent

Comment ? Quels sont les liens entre la justice et la loi et ma liberté ? Les lois sont-elles une entrave à ma liberté ? Ou au contraire, les lois sont-elles la garantie d’une liberté effective ? Qu’est-ce qu’être juste ? Nous nous demanderons s’il est possible de fonder la justice sur le droit, ce qui présuppose qu’on tente de comprendre ce que signifie le droit. Nous évoquerons ensuite les liens entre la justice, la loi et la liberté. II : Peut-on fonder la justice sur le droit ? Pour être

l'intérêt générale. Mais alors dans quelle mesure Rousseau utilise-t-il la notion de liberté comme un concept illégitime? Par quels moyens définit-il le pacte social comme étant indispensable non seulement à la société mais aussi au citoyen? Il serait intéressant de voir dans une première partie, comment le philosophe définit le pacte social. Puis, il serait judicieux de voir la manière selon laquelle Rousseau définit la liberté comme une contrainte, une notion péjorative. Et finalement, dans une troisième

= Le désir ne jouerait-il que sur les moyens de satisfaire le besoin? Le désir comme prise de conscience du besoin, comme manifestation de la conscience d'un sujet qui exerce sa liberté en faisant varier les moyens de satisfaire les besoins ( boire, manger, dormir, se reproduire étant un besoin de l'espèce)... mais, si le désir n'était que la conscience d'un besoin, les hommes ne désireraient rien d'autre que ce dont ils ont besoin! Or ne l'homme ne vit pas que de pain. = Le désir comme besoin

La liberté. | Liberté: Sentiment intérieur très simple que l'on va ressentir à tout moment (en parlant, en marchant, etc...). Descartes, Principes de philosophie, I, §39: «La liberté se connaît sans preuves par la seule expérience que nous en avons». C'est la vie qui me permet de savoir que je suis libre, je sais de manière intuitive que je suis libre. La liberté ne se prouve pas mais elle s’éprouve. Problème: Peut-on se fier au sentiment de liberté? Le sentiment suffit-il

LA LIBERTÉINTRODUCTIONAvant de s’engager dans un débat sur la liberté, cherchons à la définir. Pour qu’elle s’applique à toutes les formes de liberté nous ne pouvons en donner qu’une définition négative : elle est absence de contrainte. On parle alors de libertés au pluriel, car il y a autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. Par exemple, on parle en physique d’un corps qui tombe en chute libre, c’est à dire indépendamment de toutes les forces autres que la pesanteur, en politique

méditations métaphysiques. Pourtant nous savons que cette union est vrai, c’est une vérité que de dire qu’il y a une union de l’âme et du corps même si nous n’en avons pas la preuve. 2-les idées de la raison les idées de la raison telles que la liberté, dieu ou encore l’âme ne rentre pas dans le cadre des preuves. Ainsi il y a des idées qui possèdent des critères de vérité et qui ne sont pas démontrables. 3-l’exemple de l’égalité dans les droits de l’homme D’abord, il est clair que nous ne pouvons

qui résulte d’une subjective irréductible aux autres car chacun est différent. Ainsi donc si l’on respecte l’opinion d’une personne, cela veut dire que l’on respecte la personne elle-même. Si l’on suit ce raisonnement, refuser une opinion, c’est donc nier l’autre en tant qu’être capable d’émettre des pensées. Or, cette conduite est inacceptable en démocratie. C’est pourquoi on peut dire que de ce point de vue du respect de la personne en elle-même, toutes les opinions sont respectables. De plus, si

= La laïcité suppose que la liberté soit reconnue comme la valeur suprême ayant pour condition l'absence de contrainte du religieux sur le politique: sans la liberté, on ne peut vivre une vie pleinement humaine, "la liberté ou la mort!". Une telle idée est bien la fille de l'encyclopédie et de la Révolution française, mais aussi du Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau qui nous avertit que la liberté suit le sort des lois et qu'il n'y a pas de lois sans liberté. = La grandeur de la laïcité

PhilCor2004L,ES,S 26/08/03 18:04 Page 123 O R ■ Éléments NOTIONS EN R I G É CORRIGÉ C d’analyse JEU La vérité ; l’interprétation ; la liberté. THÈSE ADVERSE La philosophie est sans valeur tant qu’elle ne donne que des incertitudes. PROCÉDÉ D’ARGUMENTATION Russel pose un paradoxe : la valeur de la philosophie est dans son caractère incertain. La philosophie introduit le doute parce qu’elle arrache aux habitudes. Mais c’est dans cette possibilité