Nestlé La Laitière

1Stratégie globale 15 6.1.2 Stratégie du groupe Nestlé 16 CONCLUSION 18 ANNEXES 19 INTRODUCTION La démocratisation du chocolat au début du XIXème siècle et l’augmentation du niveau de vie ont encouragé chocolatiers et industriels à se lancer dans l’ouverture et à bâtir de véritables empires. Le marché des tablettes de chocolat est en effet détenu aujourd’hui par quatre grands groupes : Nestlé, Kraftfoods, Cadbury et Lindt. Ce sont ces industriels qui

d’être mises sur le marché. Sous le terme industrie agroalimentaire, nous pouvons donc rassembler 151 industrie des viandes, l’industrie du poisson, l’industrie des fruits et légumes, l’industrie des corps gras (huiles, margarines…), l’industrie laitière (fromages, yaourt, beurre…), l’industrie de travail du grain et des produits amylacés (malt, farine, boulangerie…), la fabrication d'aliments pour animaux, l’industrie des boissons (alcoolisées ou non-alcoolisées) et les autres industries alimentaires

familial. A la surprise des intervenants du secteur, Nestlé s’est retirée de la distribution des glaces au Maroc depuis une année déjà. Après une entrée fracassante accompagnée d’un investissement publicitaire important, le retour sur investissement n’a pas semblé convaincre. La distribution est désormais confiée à la société Paty’s qui exploite la marque Henry’s. Pour Salah Eddine El Ayoubi, le directeur général de Paty’s, ce partenariat avec Nestlé vient à point nommé car, déjà, l’entreprise importait

biscuits et pâtisseries et 24 de desserts. Nouveaux marchés : biscuits (1997), produits frais (2008)… La plupart des nouveautés passent le cap stratégique des 2 ans. Segment des «desserts pour adultes» : Bonne Maman occupe la 2ème place, derrière La Laitière (Nestlé). Les Français dépensent près de 200 millions d’euros en produits de la gamme. Groupe Andros : portefeuille de marque : compotes et jus de fruits Andros, confitures Bonne Maman, environ 10% du chiffre d’affaires, et les gâteaux. Ligne stratégique

le fermier sur le processus de production de lait, la qualité de vie des vaches etc.5 Nous constatons, d’après les chiffres de la confédération Belge de l’industrie laitière, que la qualité moyenne de ces produits laitiers avait encore été améliorée en 2011.6 Malgré cette augmentation de la demande de produit bio, l’industrie laitière traditionnelle garde un avantage plus considérable étant donné que le nombre de bovins s’élève à 500 000 contre « seulement » 64 009 pour l’industrie bio.7 L’offre

dans plus de 120 pays mais son marché principal reste la France. Depuis sa création en 1929, Danone n’a cessé d’étendre sa notoriété : sur le marché français des produits laitiers, il fait aujourd’hui face à deux autres géants de l’alimentaire (Nestlé et Yoplait) et reste le leader incontesté avec 34,9% des parts de marché. Outre un essor remarquable dans son activité d’origine, la multiplication des fusions-acquisitions lui a permis d’intervenir sur des marchés tels que l’eau en bouteille, les

-       Nestlé enregistre en 2006 un chiffre d’affaires de 62,1 b€ soit une augmentation de 6,2%. -       Unilever a un chiffre d’affaires de 40,3b€, soit une augmentation de 3%. -       Le marché de l’eau aux Etats-Unis semble bloqué par les colosses du secteur ( Coca, Pepsi). -       Concurrence accrue de groupes mondiaux mais aussi de groupes locaux spécialisés (« local player ») -       Concurrence énorme dans le domaine de l’innovation (ex : budget recherche et développement de Nestlé en 2006 avoisinant

| |Assortiment plus restreint et innovations moins spectaculaires que |Plus de 80% du marché est partagé entre : Cogesal (Unilever)( 29,6%,| |les années précédentes |les MDD( 27,1% et Nestlé ( 24,4% | |Les MDD ont dopé leurs volumes en 2004 |Distribution majoritairement en GMS : Hypers( 39,4%, supers( 28,9% | |Offre soutenue par des campagnes publi-promotionnelles

présente dans plus de120 pays mais son marché principal reste la France.Depuis sa création en 1929, Danone n’a cessé d’étendre sa notoriété : surle marché français des produits laitiers, il fait aujourd’hui face à deuxautres géants de l’alimentaire (Nestlé et Yoplait) et reste le leaderincontesté avec 34,9% des parts de marché. Outre un essor remarquabledans son activité d’origine, la multiplication des fusions-acquisitions lui apermis d’intervenir sur des marchés tels que l’eau en bouteille, les biscuitsou

16% par rapport à 2000) • Rationalisation de l’assortiment • Plus de 80% du marché est partagé  • Assortiment plus restreint et  innovations moins spectaculaires que  entre : Cogesal (Unilever) 29,6%,  les années précédentes les MDD 27,1% et Nestlé  24,4% • Les MDD ont dopé leurs volumes en  • Distribution majoritairement en GMS :  2004 Hypers 39,4%, supers 28,9% • Offre soutenue par des campagnes  • Taux de pénétration de 81% en 2004 :  publi­promotionnelles marge de progrès • Percée des allégés