N Agit On Moralement Que Par Interet

autres, et dont, par conséquent, les intérêts sont en quelque façon distincts de ceux du reste du monde, on doit toutefois penser qu'on ne saurait subsister seul, et qu'on est, en effet, l'une des parties de l'univers, et plus particulièrement encore l'une des parties de cette terre, l'une des parties de cet État, de cette société, de cette famille, à laquelle on est joint par sa demeure, par son serment, par sa naissance. Et il faut toujours préférer les intérêts du tout, dont on est partie, à ceux

l'homme est appétit et raison à la fois. L'appétit (règne de l'état de nature) oppose les hommes alors que la raison, universelle, crée et favorise la paix entre eux. La raison est instrumentale, c'est-à-dire qu'elle a la faculté de calculer son intérêt privé, ce qui est vraiment utile pour soi. La nature asigne à tous les êtres vivants une même fin suprême: la conservation. Et la raison revèle que le moyen de se conserver et d'accroître sa puissance, c'est la paix, ainsi, elle condamne l'état de

autonome ou ne doit-il pas s’allier à la morale à la coutume, à l’Etat, voire à la religion ou à un ordre naturel ss-jacent? 2°la force du droit ne peut se réduire à la contrainte, bien que le droit ne puisse s’appliquer sans une forme de contrainte (qui agit comme une puissance dissuasive ) >pose le pb de l’obéissance : qu’est-ce qui m’oblige dans la loi (est-ce que j’y obéis par peur des représailles ou est-ce que j’y obéis par raison, pcq je l’approuve du fait de la force des arguments) Plan : ds

de les faire participer au cortège des membre glorieux de leur famille. Les romains montre un intéret marqué pour la représentation du visage au detriment du celle du corps. En effet, c'était le visage et tous les signe designant le rang et la fonction d'un individu, comme ses vétements, sa toge ou sa cuirasse qui exprime la personne et non la personne nue comme les grec le pensait. Cet intéret tansparait également dans les rites funéraires des personnages public de hauts rang : la louange du

l’attitude politique (jamais affichée comme telle, évidemment) qui consiste à maintenir le peuple dans l’ignorance afin de mieux le dominer et l’assujettir. Les Lumières montrent donc que le savoir est toujours un enjeu social : ceux qui dominent ont intérêt à exclure de l’accès au savoir ceux qui sont victimes de leur domination (car sinon, les individus peuvent prendre conscience du caractère illégitime et révocable de cette domination : la révolte ou même la révolution deviennent alors envisageables…)

importe est de savoir comment conduire[2]. Problèmes de coopération. Dans ces problèmes, les parties à la cause ont des intérêts divergents. Elles essaient chacune de trouver des règles qui leur permettent de se prévaloir[3] de leur propre intérêt. Par exemple : conflit d’intérêt dans les contrats synallagmatiques parce que chacun a la volonté de faire prévaloir son propre intérêt. L’autonomie de la volonté et le consentement (consensualisme) permettent deux choses : 1° le développement de la légalité

se retrouve en ligne paternelle qu en ligne maternelle ,les freres et srs ont deux parents en commun ,lorsuq un frere ou une sr n ont qu un auteur en comun ils sont demi sr ou demi fr ,lorsqu il ont en auteur le pere ils sont cosanguin ,lorsqu il s agit d un frere ou sr ,ils ont en auteur mere commun ulterin . Pr situer ds l arbre genalogique des personne en ligne colaterla on compte un degré à chaque fois pr chaque auteur commun . En ligne colaterla le fr et sr sont parents au 2 degré . A coté

de réformes pour que les individus jugés inaptes puissent être enrôlés de force. Avec les mentalités de l’époque, beaucoup moins barbares que celles des périodes précédentes, on assiste donc à des guerres où une partie des belligérants refusent moralement de donner la mort. La pression faite sur le soldat par ses supérieurs lui interdit toute hésitation. L’effet de masse contribue d’avantage à guider les actions du soldat. Il n’est donc pas directement maître de ses mouvements. A partir de

volonté et pas simplement du désir ou du souhait (voire de l'envie, qui est la souffrance de voir la satisfaction des autres), il doit correspondre aux fins de la raison en tant que telle. En quoi c'est la nécessité morale que l'on désigne : agir moralement, c'est seulement agir comme la raison nécessite qu'on agisse, autrement dit c'est s'en tenir à la forme même de la raison, à la légalité pure des actions. Ainsi pour savoir si le bonheur peut être un but pour la vie, il faut s'interroger sur sa

constituée d’une forme (âme = principe interne qui anime le corps) et de matière (hylémorphisme) Spinoza : monisme : Le corps et l’esprit sont 2 traductions dans des langages différents d’un mm msg : la réalité dépend d’un seul principe (seule la matière agit sur la matière et vis versa : pas d’agissement causal). Bergson : matière permet est le support de l’esprit (cerveau ou mots) LA VERITE Vérité = croyance ou opinion vérifiée et discutée (s’oppose au préjugé et à l’illusion, savoir //croire) : elle