Métaphore Océan Mer

marine poétique, il est écrit à la manière des impressionnistes. La présence de l'élément eau nous le montre, l'omniprésence des champs lexicaux de la mer comme : « océan, îlot, clapotis, flot, vague » accentue cette idée. Le jeux des allitérations en « r » et en « L » rappelle la présence de la mer. Le paysage délimite deux zones qui sont le ciel et la mer, comme sur la toile d'un peintre et qui peut faire penser à une aquarelle et nous pouvons également constater qu'une gamme de gris est présente :

comme un mouchoir, je plongerai ma tête (…) dans ce noir océan, ma main dans ta crinière lourde… » Ø      L’étude des indices d’énonciation montre la fétichisation de ce fragment du corps féminin : le poète s’adresse à elle comme à une personne, elle semble être la destinataire du poème, cf l’utilisation de la deuxième personne désignant la chevelure : « tes profondeurs, ton parfum, fortes tresses soyez la houle qui m’enlève, tu contiens mer d’ébène un éblouissant rêve, cheveux bleus (…) vous me rendez

le caractère dominant des rimes suffisantes tandis que les rimes riches sont nettement plus sporadiques. Il est normal de se demander pour quelle raison Charles Baudelaire débute le poème avec le terme "souvent". Au cour des trajets à travers le océans l'équipage ainsi que les passagers s'ennuient et ils se divertissent cruellement à maintes reprises en se moquant des albatros. Le verbe "prendre" a une connotation négative, en effet il implique l'idée de capture facile et sans scrupule. Cet acte

même soleil que le jour où j'avais enterré maman. " Il semblerait que la fatalité s'insurge dans l'histoire et fasse du personnage une sorte de jouet anticipant ainsi l'absurde à venir B/ La fatalité Une métaphore, «océan de métal bouillant" puis une personnification : « la mer a charrié un souffle épais et ardent contribuent à mettre en avant l’importance des éléments qui jouent un rôle fondamental. La lumière revêt aussi beaucoup d’importance ; elle semble être responsable de l'acte

suscitées par la contemplation, la respiration et le touché de la chevelure ; les images dominantes sont celles de la mer et du paradis exotique (mousson, grande mer, charment climat...) Enfin les paragraphes 4, 5 et 6 qui son symétriques développent chacun une métaphore : celle de l'océan (4) celle des mains qui caressent (5) ; il faut noter que le paragraphe 6 contient 3 métaphores : le feu, la nuit, la plage. S'il est donc possible de discerner une certaine progression à l'intérieur du poème

comme un attribut de la féminité. La métaphore qui ouvre le sonnet de Du Bellay, « ces cheveux d'or », donne un caractère raffiné à la femme, dont la blondeur est rapprochée du métal précieux. La couleur du cheveu est aussi mise en avant chez Baudelaire dans « La Chevelure » à travers les métaphore « noir océan » 22 et « mer d'ébène ». La couleur noire offre une image plus mystérieuse et magnétique de la femme, toujours associée à des éléments valorisants, la mer et l'ébène. L'attention est aussi portée

avait deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant ». Meursault lui-même renvoie cette journée à une autre ayant eu lieu au début du roman. « C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman. » comme si le temps n'avait pas avancé. nombreuses métaphores et personnifications de la mer (( océan de métal bouillant» « la mer haletait de toute la respiration rapide et étouffée de ses petites vagues» « vibrante d~ soleil»

de ses caractéristiques physique) -Le titre du poème est repris plusieurs fois au cours du poème "toison" (v.1); "boucle" (v.2); "chevelure" (v.4)... B) La sensualité 1) La femme associée à un monde animal et sauvage -Métaphore (V 6 et 7) --> Métaphore animale : "crinière" (v.31) 2) Un amour physique - Fortes connotations érotiques 3) Correspondance des sens : synesthésies -Sensation olfactive : "parfum" (v.17), "loisir embaumé" (v.25), "senteurs" (v.29) --> sensation

les principales images suscitées par la contemplation, la respiration. Les images dominantes sont celles de la mer et du paradis. Enfin, les paragraphes 4,5 et 6 qui sont symétriques, développent chacun une métaphore, celle de l'océan (paragraphe 4), celle des mains qui caressent (paragraphe 5), celle du feu (paragraphe 6). Il faut noter que le paragraphe 6 contient plusieurs métaphores accumulées : le feu, la nuit, la plage. S'il est donc possible de discerner une certaine progression à l'intérieur

3. Animalité et sensualité La femme est animalisée par le procédé de métonymique, la métaphore de la toison est d'ailleurs filée avec moutonnant, encolure et crinière lourde, ce qui plonge le lecteur en Afrique sauvage. Mais c'est une femme qui reste sensuelle de part son érotisme et qui rappelle de façon évidente Jeanne Duval. La couleur noir apparaît dans le 3e quintil, mer d'ébène, dans le 5e avec noir océan, et dans l'avant dernier avec goudron. De plus, les continents Afrique, Asie sont personnifiés