Métaphore Océan Mer

interprétation « le fleuve » « fertile » « doux serein, rafraichissant »(l.1), « Océan » « près des colonnes d’Hercules, cet endroit où la mer furieuse »(l.2) « Terre » (l.7) « Vallons et campagnes » (l.8) « Lauriers, grenadiers, Jasmins, Arbres vert fleuris » (l.9) « montagnes » (l.10) Champ lexical de la nature et adjectifs, Enumération, Compléments circonstanciels de lieu, et personnification de la mer Description d’un paysage, d’un lieu paradisiaque, d’un paysage varié, nature

la femme a des « cheveux d'or ». Cette couleur évoque la pureté. La couleur de cheveux est également évoqué dans le poème La chevelure au vers 26, mais ici les « Cheveux bleus » sont synonyme de la mer, l'auteur fait aussi une métaphore au vers 22 ou il compare les cheveux de la femme a un « noir océan ». La couleur noir est également attribué a la chevelure de la femme dans le poème Un hémisphère dans une chevelure à l'avant dernier vers « tresses lourdes et noirs » ici la couleur noir peut être

Le voyage Introduction I. Les poèmes a) « L'invitation au voyage » LIII b) « Moesta et errabunda » LXII c) « L'homme et la mer » XIV d) « Le voyage » CXXVI (VII-VIII) II.Les formes du voyage a) La réalité du voyage b)Le voyage imaginaire c)Le voyage métaphorique Conclusion Introduction Baudelaire est un auteur français du XIXe siècle, il publie en 1857 un recueil appelé « Les fleurs du Mal », ce recueil traite de nombreux sujet comme la mort, l'idéal, l'amour

représentant le ''spleen'' ou l'idéal. | Le Serpent qui danseQue j'aime voir, chère indolente,            De ton corps si beau,Comme une étoffe vacillante,            Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde            Aux âcres parfums,Mer odorante et vagabonde            Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille            Au vent du matin,Mon âme rêveuse appareille            Pour un ciel lointain. Tes yeux, où rien ne se révèle            De doux ni d'amer,Sont deux bijoux

les notes que vous avez prises lors de la lecture analytique effectuée en classe, et sur la fiche de vocabulaire de l’analyse littéraire que nous avons élaborée ensemble (voir en annexe). Texte d’étude La Tempête La mer des îles Salomon commençait lentement à s'apaiser, les vagues qui la balayaient étaient encore impétueuses mais elles se faisaient déjà plus longues, plus espacées, et peu à peu s'épuisait le tourbillon furieux qui avait torturé toute la nuit les coques

dieu. Elle avait des yeux pareils à des agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison.Ex : Ce garçon, c’est un dieu ! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. La métonymie : il s’agit d’une catégorie particulière de métaphore où l’on nomme une partie de quelque chose pour désigner en fait cette chose.Ex

COMMENTAIRE DE TEXTE LETTREThème : La poésie A PhilisEt la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère, et l'amour est amer, L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour, sa mère sort

* Outre l’aspect funèbre qui contamine cet instant, c’est le temps qui s’est immobilisé : « Il y avait deux heures que la journée n’avançait plus, deux heures qu’elle avait jeté l’ancre dans un océan de métal bouillant ». * La métaphore joue à la fois sur les rapports entre « journée » et « océan », superposition favorisée par un décor dominé par la lumière solaire, point de départ de confusions et de métamorphoses, agissant concrètement sur les sensations physiques.   II/ Des sensations

évidence sa famille par des champs lexicales au ver 2 « enfants » et « mes jeunes têtes », au ver 5 « douces âmes », au ver 7 « deux petits », au ver 9 « deux jeunes fleurs » où la il compare ses jeunes enfants par des jeunes fleurs, il y a donc une métaphore, au ver 10 « charmantes querelles », au ver 11 « père » et « deux aînés », au ver 21 « enfants » et « famille », puis au ver 24 « mère ». On peut ensuite remarquer qu'il y a une progression du ver 1 à 10 où il parle de l'enfance jusqu'au grand-père

ce mouvement face auquel ils sont impuissant 3. Cette strophe est riche en métaphore : ( nouveaux rivages V1):les jours qui ce succèdent ; (nuit éternelle):la mort ; (l’océan des âges) : le temps comparé a un océan car on ne peut pas l’arrêter ni voir sa fin , la fuite du temps; ( jeter l’ancre): s’arrêter , arrêter le temps ne serais ce qu’un seul jour = ces métaphores désigne le fait que plus le temps avance plus on est proche de la mort et ce demande si l’on ne pouvais