Métaphore Mort Sommeil

donne toute sa force au sonnet. C'est bien le cas ici puisque dans la dernière strophe, le lecteur comprend que ce soldat, allongé dans l'herbe n'est pas en train de dormir mais qu'il est mort. Ce sonnet repose donc sur une subtile opposition entre l'évocation d'un spectacle charmant et la réalité cruelle de la mort. Problématique : Comment, à travers la description surprenante d'un être sans vie, Rimbaud dénonce-t-il l'absurdité de la guerre ? Plan : I.Un tableau en apparence idyllique

vers on relève une métaphore « les crachats rouges de la mitraille » ; « la mitraille » représente ici les coups de fusil donc la guerre, et « les crachats rouges » qui représentent la blessure humaine, le sang qui coule, les morts au combat. On a donc a guerre qui est comparé grâce à la métaphore au mort. On a ensuite une deuxième métaphore au vers 4 : « Croulent les bataillons en masse dans le feu » ; « les bataillons » sont les hommes en guerre qui sont comparé par la métaphore a de vulgaire buches

alors qu’il avait a peine 16 ans, lors de guerre franco-prussienne. L’auteur témoigne de sa révolte contre la guerre puisque lors d'une fugue, il traversa un champ de bataille jonché de cadavres. Dans ce poème l’auteur parle avant tout le la guerre, la mort tout en introduisant des éléments idyllique, dans un cadre champêtre. Après avoir montré comment le poète nous dépeint la nature puis l'homme, nous verrons l'interaction réunissant les aspects contradictoires du poème. I - La Nature

« Le sommeil n’est pas un lieu sûr. » De Jean Couteau Selon le dictionnaire…, “Le　sommeil　est un état naturel récurrent de perte de　conscience du monde extérieur”. Occupant prés d’un tiers de notre vie, le sommeil nous est physiologiquement et psychologiquement essentiel, nous permettant ainsi de régénérer notre corps, notre esprit et souvent notre âme. Il nous ouvre en effet les portes d’un monde étrange dans lequel nos espoirs, angoisses et souvenirs prennent parfois des formes bien étranges

| |à la fin qu’en fait il n’est ni endormi ni paisible, il est | | | |mort. | |Soldat |Soldat, tête nue, nuque, étendu, pâle. | | |Verbes

Pauvre ; il n'y a personne ; il est rapide ; le prêtre est indifférent Rastignac paie l'enterrement Narrateur omniscient = focalisation zéro L'ingratitude de ses filles La compassion La mort d'un vieil homme pauvre. a) L'expression de la mort b) L'expression de la misère c) La tristesse du moment De la mort à la vie. Introduction de commentaire : 1) Préciser le titre, la date, l'oeuvre. 2) Moment où on se trouve dans l'oeuvre et son contenue ; 3) On annoce le plan du commentaire Il s'agit

Jean-Luc Lagarce, JFMExplication linéaire 1• Louis face à sa mort (première partie, scène 10, de « Parfois… » à « Pourquoi la mort me rendrait-elle bon ? ») Introduction [Présentation de l’auteur et de l’œuvre] Jean-Luc Lagarce est un auteur emblématique du théâtre contemporain, mort prématurément du sida en 1998 à l’âge de 38 ans. Peu reconnu de son vivant, il devient au XXIe siècle l’un des auteurs les plus joués en France. Ses pièces ressassent de

|Verdure (v.1), rivière (v.1), herbes des haillons (v.2), |États opposés | |Nature |soleil (v.3), montagne (v.3), val (v.4). |la vie et la mort | |Soldat | (v.5), jeune (v.5), nue (v.5), dort (v.7), étendu (v.7), | | |

point de vue que celui de Raphaël, le lecteur peut penser qu’il s’agit simplement d’un rêve de la part du héros. Plusieurs éléments contribuent à cette idée : - Le temps de l’action : l'action se passe le soir, c’est-à-dire le moment privilégié du sommeil. On peut citer ici un passage hors texte qui précède immédiatement notre passage « La nuit, l’heure de mourir, était subitement venue. » - Le passage s’ouvre et se clôt par une mention étonnante. Au début : « Il ferma les yeux » ; à la fin « au moment

Destinataire : le fils(?) du rêve et du sommeil bénéficiant de la valeur de l'Objet, de la valence --, dans une allitération de /b/ : "tombèrent au bas du bois", ces trois /b/ initiaux faisant écho au /b/ final de "aube" du titre et du texte. Dans le dernier paragraphe, le Sujet est enfin reconnu comme tel, c'est-à-dire comme rêveur "victime" de son rêve, qui apparaît ainsi comme étant le Destinateur final (judicateur) : le temps y triomphe de l'espace, le réveil du sommeil, le midi de l'aurore (voire de