Métaphore Mort Sommeil

romantiques c’est encore parler du monde. Victor Hugo écrit dans la préface de son recueil <<Les Contemplations>> : ‘Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous.’ En exprimant leur mal de vivre les poètes méditent sur l’amour, sur Dieu, sur la mort, sur la fuite du temps et sur la nature et sa gloire. Le poète romantique se fait missionnaire et guide et il est maître de ses mots. Dans le poème <<Qui sait si tout n’est pas un pourrissoir immense>> on peut voir le langage symbolique ou figuré

marqué par le pronom «  tu » et l’allitération en M « ô muse de mon cœur amante des palais » La figure féminine glisse vers une représentation masculine «  un enfant de chœur » «  un saltimbanque » = superposition de la figure de la Muse et du poète, métaphore du saltimbanque souvent utilisé chez Baudelaire pour représenter le poète ( le spleen de Paris) C. L’inspiration du spleen La fonction traditionnelle de la muse est d’inspirer le chant poétique «  Faire épanouir la rate du vulgaire » II. La muse

évoque le roman ou le film noir, et la narration elle-même utilise des procédés cinématographiques. Par exemple le gros plan qu’elle suggère sur le pied de la victime, d’abord en l’évoquant à de multiples reprises : « ce pied à demi-incliné par le sommeil » (noter l’emploi du démonstratif), « au dessous du pied », « ce pied », ensuite en le présentant en pleine lumière, avec le jeu de contraste des barreaux de la fenêtre, « comme pour en accentuer le volume et la vie ». Ou même le choix des formes

créatif : dans ce travail de composition en commun, mais aussi dans la mise en forme d’une écriture automatique. Man Ray dessine pendant un voyage dans le Sud de la France et en Cornouailles, deux années de croquis, d’esquisses, le soir juste avant le sommeil, le matin, juste au sortir des rêves, laissant affleurer les « merveilles », le « désir », ou, comme il le dit lui-même, « dans ces dessins, mes mains rêvent ». Eluard illustre ensuite ces dessins de ses textes. Le recueil se donne dès lors à lire

'se lie (enchaînement), 1er objet, piquer faux honneur, la belle chose... • Idée privation tous autres plaisir avec expressions - : 'qu'on renonce, qu'on n'ai plus' • Fidélité comparé sorte de mort : s'ensevelir pour tjrs, être mort : perdre désir amoureux, passion • A fin, reprise par métaphore sommeil 'endormons dans tranquillité' ==&gt; Marques jugements DJ, fidélité est uniquement statut social ridicule, morale tient pas debout b. Le thème de l'inconstance exalté : • Double réseau lexical

susceptibles de relier les objets en apparence les plus éloignés et lui découvre partiellement la mécanique du symbolisme universel. " L’étymologie fait de l’ésotérisme la doctrine des choses « intérieures », donc secrètes et spirituelles. Les métaphores, les comparaisons, les dessins et les peintures parlent de l'ésotérisme comme d'un œuf originel et plein, d'un château, d'un labyrinthe, d'une perle, ou encore d'une écorce et son noyau. On relève notamment six caractères permettant d'identifier

"Vagabonds" qui précède le second poème sur "villes". Ce premier des deux poèmes intitulé "villes" peut être lu à priori comme l'expression d'un âge d'or de l'urbanisation couronné par l'assomption de Vénus anadyomène, la Vénus sortant des eaux, métaphore de la beauté de la ville moderne, construction humaine à partir de la nature. 1 A la recherche d'un idéal, On se pose souvent la question des motivations des êtres humains à se rassembler de plus en plus nombreux dans des espaces de plus en plus

fait de placer les servantes dans un cadre mythologique prestigieux donne un registre héroï-comique avec un décalage entre le style noble et les sujet bas.II/ LE RÉVEIL DOULOUREUX DES SERVANTES Le second mouvement débute avec une autre métaphore du lever du soleil « Dès que l’aurore, dis-je, en son char remontait » v.10. L ’aube est personnifiée en divinité. L’auteur veut dénoncer l’exploitation des servantes par la Vielle et pour cela utilise des repères temporels

lui-même vers les horizons, — sa navigation immobile [16] me paraissait obscurément promise, — je le sentais tressaillir sous moi comme le pont d'un bon navire reconnaît soudain le pas d'un capitaine aventureux. Tout dormait à l'Amirauté, mais de ce sommeil atterré et mal rassurant d'une nuit grosse [17] de divination et de prodiges [18]" (chap. 2, p. 580) Cf. aussi deux pages auparavant la première occurrence de "navire(s)" sur 52 dans Le Rivage des Syrtes, et de l'épave, toujours associée à la magie

les manières de Winnie. Elle a un réflexe esthétique alors que personne ne la regarde. Sur scène, les didascalies nous font penser qu'elle est [...] "(sourire)", "(fin du sourire)". Il y a un décalage entre les doutes qu'elle exprime sur la vie, la mort entre autres et sa représentation. Elle change subitement de sujet: "Ou un bref... chapelet de rires, des fois que d'aventure je la trouverais encore bonne. (un temps. Elle a un sourire qui semble devoir culminer en rire lorsque soudain il cède à une