Métaphore Mort Sommeil

 Ronsard aborde à maintes reprises le thème de la mort dans son œuvre poétique, le plus souvent pour développer une méditation lyrique sur la fuite du temps ou sur les rapports de la beauté et de la mort comme dans l'Ode à Cassandre. A la fin de sa vie, épuisé par la maladie, en proie à de redoutables insomnies, Ronsard choisit d'évoquer dans ses Derniers vers, avec une émouvante simplicité, l'approche imminente de sa propre mort. Je n'ai plus que les os... , le sonnet liminaire de ce court recueil

l’originalité de sa construction et son thème original. | Pour moi, poète chétifTon jeune corps maladif,Plein de taches de rousseur,A sa douceur. | Le vin | Le vin de l’assassin | Thème: Sa femme et le vinRegistre: DramatiqueES: Gros contraste entre la mort de sa femme, et la liberté qu’il y gagne. | Ce texte m’a rappelait comme une histoire semblable déjà vécu, où l’alcool faire des ravages au sein d’une famille | Elle était encore jolie,Quoique bien fatiguée ! et moi,Je l’aimais trop ! voilà pourquoiJe

Nous verrons ensuite que le jeune homme perd ces repères dans l’espace, le temps et la réalité. Tout d’abord Balzac prend recourt au champ lexical de la fatigue avec les mots ‘’sommeil’’ ligne 1, ‘’rêverie’’ ligne 9, ‘’somnolence ‘’ l 10, ‘’fatigues’’ ligne 10, ‘’cauchemar ‘’ ligne 12 et enfin sommeil ‘’ligne 15. Balzac nous fait donc comprendre que le Hero de cet extrait est extrêmement fatigué, le lecteur peut donc se demander si les faits racontait sont réels ou font juste partie de

lumière. Sa représentation commence par une périphrase implicite « les haillons d’argent » au vers 2, et est suivie par le « soleil » au vers 4 & 13. L’impression est intensifiée par « mousse de rayons » et « la lumière pleut » : le jeu des métaphores est utilisé pour renforcer sa brillance. On trouve aussi une nature vivante. L’apparition successive de « verdure », « herbe », et « vert » nous manifeste la vitalité du val en entier. La rivière est un symbole de mouvement. Son dynamisme est révélé

L'étranger – Lecture analytique- le procès « Le procureur … aux sommeils innocents. » Chapitre III (fin) Situation de passage : Un an s'est écoulé depuis le meurtre. Changement essentiel. Meursault prend conscience de ce qui lui arrive et nous pouvons connaître en partie ses pensées. C'est la première séance dans la salle d'audience du tribunal. Les témoins sont passés à la barre. Deux axes : 1-La dénonciation de la justice à travers le regard de Meursault 2-La prise de conscience de son

(vers 2) ; Le rejet « D'argent »(vers 3) met l'accent sur la richesse des jeux d'eau et de lumière ; lumière renforcée au vers 3 et vers 13 par le soleil dont la luminosité est reprise au vers 4 « mousse de rayons » et vers 8 « lumière qui pleut » : métaphore qui donne une matérialité à la lumière. 12 sur le plan olfactif, « parfums» (vers 12), impression de bien-être et bonheur ; 13 sur le plan tactile, impression de fraîcheur : « et la nuque baignant dans le frais cresson bleu » (vers 6). 14

Comme on voit sur la branche – Pierre Ronsard Ce poème de Ronsard est une métaphore, la rose c’est Marie. De cette façon, Marie reçoit les qualités qu’une rose peut avoir. Notons, de fait, que « comme » indique déjà, que l’auteur fera une comparaison. Voyons maintenant les qualités de cette rose; elle nous apparaît « belle » et jeune (v.2), empreinte d’une certaine nouveauté, « vive » dans sa couleur (v.3). Mais cette description de la rose va au-delà de la jeunesse et la beauté :

ces 2 écrits St Mathieu : Jésus accepte son sort pour que mort soit vaincue et même si J demande à D de l'épargner, volonté de D supérieure à la faiblesse de Jésus Vigny : Montre une angoisse infinie et Jésus appelle vainement Dieu St Mathieu : Agonie passagère de Jésus se transcendant en 1 totale adhésion à la volonté de Dieu, dénonciation de la faiblesse de la chair humaine en se reconnaissant fils de Dieu Vigny : Au moment proche de sa mort, attente d'un espoir vain, il est seul et Dieu ne répond

Paris (comparé) est ici évoqué dans sa dualité de ville foisonnante et destructrice par la métaphore filée d’un champ (comparant) sans cesse renaissant, agité par une tempête d’intérêts et moissonné par la mort. Cette tempête des intérêts et la mort comme « faucheuse » sont des allégories. L’assimilation des hommes (comparé) à des épis moissonnés et toujours renaissants (comparant) est en revanche une métaphore. Texte 2 La personnification des éléments de la nature (l’onde calme [...] où dorment

Ses premières années comme infirmier de réanimation lui secoue la paillasse : il pénètre un outre monde,un espace souterrain ou parallèle, en lisière de l’autre et troublé par leur affleurement limitrophe et continuel, ce monde perfusé de mille sommeils où lui ne dort jamais. Dés le début du passage, le lecteur est renseigné :expression argotique pour montrer que cela le prend au ventre, le remue, le dérange/terme religieux quand le préfixe est séparé par un trait d’union qui désigne le paradis