Métaphore Mort Sommeil

Les infinitifs associent le voyage à la mort et au sommeil. "D'aller là-bas vivre ensemble" : que désigne "là-bas" ? Pourquoi "là-bas" ? Terme vague, imprécis ; cf. "N'importe où, hors du monde..." "ensemble" : vie à deux, isolement des amants. "Aimer à loisir Aimer et mourir..." : anaphore (répétition du même mot au début des deux vers. Loisir s'oppose à travail ; conception aristocratique, association de l'amour et de la mort (éros et thanatos). Le mot "mourir" précise

|vert»(v.8) |symbolise la mort. La nature est décrite par des | |lecteur vers une chute dramatique à la toute fin. | | |caractéristiques lumineuses, pleine de vie et de | |Il oppose la vie symbolisé par la nature et la mort | |

» est à la rime avec « apparence ». - « Consistance » > ce qui est réel, concret s'oppose à « apparence » > ce qui est illusoire. B- La vie et la mort dans un monde d'illusions Poète qui démontre que tout finalement revient au même malgré les oppositions apparentes. Cf. l'antithèse « veiller et dormir ». Cf. l'antithèse « le sommeil » ; « la vie ». Insiste sur le caractère vain de ce que l'on croit différent . Ex : « ont peu de différence » ; « plus de ressemblance » : proximité… Ex

couleurs sont à dominante blanche ce qui renvoi à l’idée de lumière. Le champ lexical de la lumière est important et est mis en relief par les trois métaphores : « haillons d’argent » ; « mousse de rayons » ; « où la lumière pleut » mais aussi par la versification avec les 2 rejets l.3 et l.4 et avec les 2 premières clausules qui sont des métaphores concernant la lumière et son aspect « liquide ». Trois personnifications (« chante », « follement », « fière ») décrivent la nature environnante comme

– dormir – sommeil – rêver – lit – songe »… -Veiller – dormir -> Peu de différences (différences entre le 1 et 2éme hémistiche). Pourtant des barreaux pensent que c’est la même chose. -« Grand maitre en l’art d’aimer » -> Périphrase : Ovide (cf. les métamorphoses : thème baroque). Présence du registre lyrique. (art d’aimer) Accentuation avec « bien fort » qui montre que Des Barreaux pensent le contraire. -Vie = Sommeil (comparaison) or le sommeil est l’image de la mort -> Donc

d’Afrique, la nuit Strophe 2 : début du sommeil 4 vers longs Anaphore voici Etale : sans mouvement Personnification de la lune Comparaison : comme les enfants Sens auditif : conteurs, éclats de rire chœurs Mouvement lent de la nuit qui tombe et du sommeil qui gagnent les gens: décline, s’alourdissent, dodelinent, danseurs Strophe 3 :la nuit Personnification de la nuit : nuit qui songe, drapée : et des toits que disent-ils Métaphore : son long pagne de lait : référence à la

et chocs funèbres laissent penser à la mort. - vers 4 : ce vers montre une image du bois que nous utilisons pour le chauffage, une image qui représente l'hiver. - A la 2ème strophe, le saut soudain, le passage de l'automne à l'hiver est très rapide, et inattendu. - Vers 5-6 : enjambement. - Ces mots représentent l'humeur caricaturée de l'hiver, la vision de cette saison où il fait froid et mauvais (exemple : haine - peur de la maladie, ou horreur - la mort…). - Labeur dur et forcé : On a l'impression

Tout d’abord les expressions  « les glaïeuls » ;  « cresson bleu » montre que la nature est colorée. De plus celle-ci est lumineuse, voir éblouissante par les citations « des haillons d’argent » ;  « le soleil » ; « rayons » ;  « luit » et par la métaphore « lumière qui pleut » qui qualifie la lumière comme omniprésente et imposante. Par ailleurs, « les parfums » ; « dans le frais » montrent une nature parfumée et vivante. ________|La nature est accueillante. En effet la nature est paisible et vivante

quotidienne sans consistance. Tout d’abord, nous analyserons la monotonie de la vie de Pierre, le rentier. Par exemple, les lignes 1 et 2 désignent le rentier, elles nous montrent son intérêt d’observer la sortie des travailleurs. La métaphore, « il étendait la main et saisissait quelque chose » à la ligne 13, nous montre l’une des habitudes du rentier qui est d’observer les autres, c’est peut-être un signe d’ennui. Le champ lexical de l’habitude est présent entre les lignes 25 et 29,

merveilleusement accueillante * Impression de luminosité avec champ lexical de la lumière : "les haillons d'argent" (v.2) ; renforcée au vers 3 et vers 13 par le « soleil » et reprise au vers 4 "mousse de rayons" et " lumière qui pleut" (v.8) : métaphore qui donne une matérialité à la lumière. * Nature très colorée : "les glaïeuls" (v.9) couleurs assez intenses * une impression de vie et de bonheur qui sollicite tous les sens. Sur le plan olfactif, "parfums" (v.12), impression de bien-être