Métaphore Mort Sommeil

| « Semper Eadem » est un poème de Baudelaire extrait des Fleurs du mal publié en 1857. Il se situe dans la première des six parties du livre qui est « spleen et idéal » où les principaux thèmes sont la fuite du temps, la peur de la mort, le regret ou encore les souvenirs. Le mot Spleen est opposé à Idéal dans cette partie car c’est ce vers quoi Baudelaire veut aller, il cherche à atteindre l’idéal. Ce poème se présente sous la forme d’un sonnet, composé d’alexandrins avec une inspiration

dis-moi qui tu fréquentes et je te dirais qui tu hais) Catachrèse → métaphore par nécessité, qui a un sens propre alors qu’elle tire son origine d’une image. ( ex : les pieds de la table, la tête d’un clou, de la laine de verre…) Chleuasme → dépréciation de soi-même dans le but de provoquer chez l’interlocuteur une réaction contraire. Circonlocution → tourner autour du pot. Concetti → fioriture, arabesque, métaphores exagérées… Diaphore → antanaclase spécifique, qui donne au mot répété

Séance 10 - CORRECTION LA MORT DE GAVROCHE LETTRES → Comment Victor Hugo fait-il d’un personnage un héros ? Durée : 1h CONSIGNES 1) Comparez votre travail de la séance 10 avec la correction. Les éléments en jaune sont les parties de réponse essentielles. 2) Complétez votre travail avec les éléments en jaune qui vous manquent dans le cahier, en partie Lettres. QUESTIONS DE LECTURE I. Gavroche sur les barricades 1. Rappelez en quelques mots qui est Gavroche dans Les Misérables

vie est aussi substance de mort pour la rêverie ambivalente. » | | |Cette double valeur se retrouve dans le recueil de Bonnefoy où l’eau est régulièrement évoquée en tant | | |qu’élément maternel, élément sécurisant propre à favoriser l’épanouissement du rêve : « Nous mettons nos pieds | | |nus dans l’eau du rêve / Elle est tiède, on ne sait si c’est de l’éveil… ». La métaphore assimile l’eau à la |

la culpabilité, Baudelaire sut donner la parole à ces insomnies de l’âme qui, dans une brutale dépossession, rendent chacun à soi-même.
Nous verrons dans une première partie l’éloge de la servante, puis dans une seconde partie l’omniprésence de la mort. Problématiques :     I Un éloge de la servante
 A/ La tonalité autobiographique
un personnage réel : Mariette. Partir de la dimension autobiographie de ce poème, et du personnage de Mariette, servante de Charles Baudelaire quand celui-ci était

comme « on » et « nous », il donne à sa conception personnelle un caractère très général On voit tout de suite que pour DJ la parole est un art : rythme de la phrase Don Juan exprime son mépris pour la fidélité qu'il assimile à travers la métaphore filée à la mort La valeur critiquée ici, la fidélité, est une valeur importante (en tout cas dans le discours) au XVII° puisqu'on se jure fidélité devant Dieu. DJ prend le contre-pied des valeurs chrétiennes et de la notion de devoir moral DJ écarte de façon

que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,Et plus que l'air marin la doulceur angevine Joachim du Bellay est un poète français né vers 1522 à Liré en Anjou, et mort le 1er janvier 1560 à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes auquel Du Bellay donna son manifeste, la Défense et illustration de la langue française. Son œuvre la plus célèbre, Les

Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où la route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière, Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence ait atteint la dernière, Peut-être en ces mûrs effrayés Le messager de mort, noir recruteur des ombres, Escortés d'infâmes soldats, Ébranlant de mon nom ces longs corridors sombres, Où seul dans la foule à grands pas J'erre, aiguisant

par "l'herbe" et au vers 8 par "vert".     Impression de luminosité avec "les haillons d'argent" vers 2 ; renforcée au vers 3 et vers 13 par le soleil et dont la luminosité est reprise au vers 4 "mousse de rayons" et vers 8 "lumière qui pleut" : métaphore qui donne une matérialité à la lumière.     Nature très colorée : vers 9 "les glaïeuls", couleurs assez intenses. Personnification de la rivière qui "chante" vers 1, animation.     Sur le plan olfactif, "parfums" vers 12, impression de bien-être

statue présente trois entités groupées dans une scène autonome. Le lion belge et un soldat mort sont couchés, couverts par un drap. La troisième entité est une femme et se tient debout au-dessus du soldat et du lion. La femme est stable et tient un drapeau. Elle a la tête tournée vers le ciel et porte une expression où se mêlent respect, tristesse et prière. Son habit est de style antique. Le soldat est mort, son bras gauche est en avant-plan. Cependant son visage n’est pas marqué par la douleur