Mythe De Phèdre

mythologie grecque est une des ressources de la civilisation occidentale, elle est l’ensemble des mythes provenant de la Grèce antique. Le mythe naît au VIII e siècle ou IX e siècle avant notre ère et s’enrichit au fur et à mesure. Tantôt il se développe en épopée, tantôt il appuie ou explique les croyances et les rites de la religion. Pour un Grec, le mythe ne connaît pas de frontière. Les premières épopées l'Illiade et l'Odyssée que faisait Homère sont déjà des mythes. Donc, jusqu’à la fin, elle

nomme un « mythe personnel ». Un roman est en effet une vie revisitée (« ceci n’est pas une pomme »), assortie de glissements et de condensations qui permettent l’expression de l’inconscient. A travers donc le portrait de deux caractères allégoriques (Gina et Clélia) Stendhal revisite deux types : la Mère incestueuse et la Sainte, chaste par définition. 2 L’inceste contournée. 2.1 « Phèdre » et consorts. Dans sa lettre admirative à Stendhal, Balzac compare la Sanseverina à Phèdre. Notre auteur

Poème qui nous apparaîtrait de fait (ce qui n’est pas évident à première vue) comme une méditation sur le désir. Remarquez que le deuxième vers, allusion au mythe de Mélusine, renvoie à une allégorie du désir de savoir puni par la disparition de la femme aimée et la ruine finale (la Tour abolie) de la prospérité qu’elle avait permise. (Le mythe de Mélusine raconte l’histoire de l’amour entre un prince et une femme mystérieuse qui demande à son époux de ne jamais chercher à savoir ce qu’elle fait un

Jean Racine, Phèdre (1677) Explications de texte Phèdre : Acte II, Scène 5 (623-670) Situation : ils viennent d’apprendre que Thésée est mort. C’est l’un des aveux les plus envoûtants et les plus tragiques de la pièce. C’est le moment où Phèdre tente de vivre son amour en confondant Hippolyte et Thésée. Par le mécanisme du fantasme, elle récrit l’aventure du minotaure et par une série de glissements successifs, elle remplace Thésée par Hippolyte et Ariane par elle-même. Problématique :

succès éclatant comme jadis le Cid. Malgré ses peintures si réalistes et si cruelles des passions, ses pièces s’imposent. Toutefois, les envieux et les cabales (complot pour faire tomber les pièces) sont légion et en 1677, ulcéré par l’échec relatif de Phèdre, il renonce au théâtre. A partir de 1670, c’est sa maitresse, madame de Champmeslé, belle, émouvante, à la voix magnifique qui interprétait c’est premiers rôles. c) L’historiographe du roi Racine rompt avec la Champmeslé, retourne au janséniste

autrement dit, il importe d'éclairer une certaine correspondance entre la parole et sa véridicité, précisément en fonction d'une référentialité à l'aune de laquelle se mesure le rapport de la langue à la réalité et à la vérité. en prenant appui sur le phèdre de platon (370 avant j.-c.), les fausses confidences de marivaux (1737) et romances sans paroles de paul verlaine (1874), nous nous appesantirons initialement sur l'idée que l'usage de la parole peut s'écarter de la pensée et flouer ainsi le rapport

participants. Le discours d’Aristophane suit celui de Phédre pour qui Eros est un être divin, celui de Posanias qui détermine deux formes d’amour : l’une terrestre et l’autre céleste et enfin celui de d’Erixymaque qui voit en Eros un principe cosmique harmonisant les formes contraires de l’univers. Le discours d’Aristophane, nous donne une approche originale de l’amour en essayant d’en déterminer l’origine et la nature à travers un mythe, ce que n’avaient pas fait jusqu'à présent les différents

français. Orphelin très jeune il est recueilli par les religieuses de Port Royal, ou il va recevoir une éducation janséniste. Il va se consacrer très vite au théâtre et la pièce Andromaque va le consacrer, il aime les mythe de la Grèce antique est les reprends en grand nombre avec Phèdre, Iphigénie en Aulide ou encore avec Alexandre le grand ... Nommé historiographe du roi louis 14, il renonce au théâtre puis y revient a la demande de madame de Maintenon pour qui il écrit des tragédies bibliques comme

temps employés, les alexandrins rendent difficiles une telle lecture. Personnellement j'ai beaucoup de mal à lire une pièce de théâtre classique du passé pour ces raisons. En effet, Le Cid de Corneille ne fût pas évident pour moi à lire et pire encore Phèdre de Racine. Le vocabulaire employé n'est plus du tout d'actualité et les trames de ces tragédies classiques sont bien éloignées de mon univers. Je pense que cela est également dû à l'évolution du contexte historique, religieux et politique. Les préoccupations

autres insatisfactions populaires. Mais surtout, Créon a vu naître la malédiction des Labdacides (les descendants de Laïos, en l’occurrence: Œdipe, Polynice, Étéocle, Antigone et Ismène) lorsque la première prophétie de Tirésias s'est réalisée (voir le mythe d'Œdipe), laquelle devait se réaliser, de par la volonté des dieux ; la fatalité. Le destin devait mener cette famille à poser des actes condamnable sinon monstrueux tout au long de sa lignée ; peut-être le roi espérait-il réparer ces fautes et briser