Moines Cisterciens

terroir au Moyen-Age LES MOINES ET LE VIN AU MOYEN AGE Viticulture épiscopale (évêchés)  garante de la survie du vignoble antique Puis accroissement des domaines viticoles des évêques et des princes Viticulture monastique : usages liturgiques et « alimentaires » des moines + devoir d’hospitalité + atout économique pas encore d’étude exhaustive sur le vignoble cistercien médiéval (de l’ordre de citeau) incertitudes sur la spécificité des pratiques viticoles cisterciennes omniprésence des vignes

en occident à partir du 9ème siècle. Elle est adaptable à des communautés assez diverses. Elle a été de multiples fois réinterprétée. En 817 elle a imposé a tout les moines (règne de Louis le pieux). Benoît d’Aniane (conseiller de Louis) la réinterprète en la déséquilibrant, allongement considérable de la durée des offices. Les moines sont de moins en moins paysans alors qu’ils ont de vastes domaines. Ils sont devenus des seigneurs du sol, ils concèdent leur terre à des paysans et leurs font payer

(seulement pour les prêtres) Encadrement spirituel et social II- …encadré par une Eglise conquérante et dynamique… Eglise : * Clergé séculier (prêtres, évêques..) ceux qui vivent dans le siècle, et encadrent les laïcs. * Clergé régulier (moines) – une règle : prient pour le salut de la chrétienté A) Le renforcement de l’autorité pontificale Fin du XIè siècle : Pape Grégoire VII (1073-1095) 1074 : Réforme grégorienne -> Faire de l’Eglise le centre de la société oxidentale, rendre

bébés) B/ Comment le clergé encadre les chrétiens ? Le clergé désigne étymologiquement l'ensemble des clercs. Un clercs peut être défini comme un homme qui à donné sa vie a Dieu (à l’Église). Il y a deux types de clergé : Le clergé régulier (moines, moniales) qui s'éloigne du monde pour cherché Dieu dans la prière. Le clergé séculier (évêques) qui est au service des laïcs*. *Laïcs : Chrétiens qui ne font pas partie du clergé, ils doivent payé un impôt à l’Église (Dîme → 10% des recettes)

clergé : -Clergé séculier  Vit dans le siècle avec les laïcs. Beaucoup de paroisses  Diocèses. -Clergé régulier  Moines soumis à une règle.  Ordre religieux. La foie est beaucoup plus vive Le meilleur moyen d’aller au paradis est d’être moine. L’ordre beaucoup plus important = Cluny (=Règle bénédictine)  Ordre riche en Bourgogne. -Ordre cistercien  Prière x100, pas le droit de parler, et travail manuel. L’ordre des bénédictions= -Prières, riches, pas de travail manuel

Ainsi l'artiste habile participe-t-il au salut du groupe tout entier. Origine des richesses monastiques L'oeuvre d'art n'est pas indépendante de son mode de production. Elle est à la croisée entre le spirituel et l'économique. La venue de l'art cistercien est précédée d'une période de forte croissance agricole. Les fruits de cette croissance sont distribués en fonction de la place occupée par chaque ordre dans le système féodal. Le seigneur accapare les résultats du labeur des plus pauvres. Il assume

Clairvaux. Il s’en prend aux moines clusiens, moines de l’abbaye Cluny, qui obéissent à la règle de Saint Benoit. Il leur reproche de s’être considérablement enrichis au profit de l’Eglise et d’oublier la loi Bénédictine. Ce que veut Saint Bernard de Clairvaux c’est revenir  d’une application plus stricte de la règle de Saint Benoit en insistant sur la pauvreté. C’est alors que Saint Bernard de Clairvaux  décide de fonder les monastères cisterciens où est appliqué la loi cistercienne qui consiste à une extrême

tensions avec les princes mais surtout les Empereurs. => La réforme Cistercienne. Au début du XI, la plupart des moines suivent la règle Saint-Benoît (= Bénédictin) mais certains ce sont éloignés de cette règle. Au cours du XI, une règle plus rigoureuse se met en place à partir de l'abbaye Citeaux, elle donne naissance au mvt Cistercien. Créé par Bernard de Clairvaux de l'abbaye de Fontenay. La journée d'un moine cistercien est de prier et travailler, ce qui ne leur laissent pas le temps de pécher

présence éphémère des occidentaux en Orient se terminant par la chute de St Jean d’Acre en 1291. L’autre dynamique est l’évangélisation en Europe centrale et en Baltique par les moines chevaliers de l’Ordre Teutonique. Enfin, le monachisme est en plein essor avec l’apparition de nouveaux ordres comme les Cisterciens, les Clunisiens et les ordres mendiants comme les Franciscains et les Dominicain I / LA CHRÉTIENTÉ MEDIÉVALE, UN MONDE DE CROYANTS ... o A / Vivre dans la paroisse, centre

pression seigneuriale restait trop grande pour qu’il pût le rejeter. Ces accommodements furent redéfinis avec rigueur à Latran IV. 3° Grand profit pour les monastères Ce sont eux qui recueillent les cures laissées sans patron, le plus souvent. - Les moines ont meilleure réputation que les évêques, soupçonnés, à juste titre, d’être souvent restés sous l’emprise des laïcs. - Les évêques, vers 1100, ont moins de ressources que les monastères pour payer les restitutions. Donc, jusqu’en