Metaphore Crepuscule Du Matin

satisfaire de notre action Etre prêt au malheur Supprimer nos désirs : le pessimisme Transformer nos désirs : la sublimation L'analyse de la sublimation (Freud) L'éloge de la sublimation (Platon, Nietzsche) Comment maîtriser les désirs ? Les métaphores platoniciennes : le lion et le cheval blanc Kant : la notion de « respect » Les trois instances freudiennes Annexes Autres idées Exemples, références, citations Introduction Le mot « désir » évoque les concepts suivants : besoin, volonté

par le regard, par la voix, par le placement dans l’espace, de l’opposition entre Électre et Oreste (signifiée dans le texte par l’emploi du pronom tonique, la modalité interrogative et négative, le recours à une métaphore mortifère pour Électre ; la modalité affirmative et une métaphore lumineuse et dynamique pour Oreste) ? « Je suis libre ; la liberté a fondu sur moi comme la foudre », lui dit Oreste. « Libre ? Moi je ne me sens pas libre » lui répond-elle. « Elles [les mouches] pendent du plafond

peu. Aujourd'hui s'ouvre Ours, mythes et réalités, au muséum d'Histoire naturelle de Toulouse. Je perçois le petit ronronnement mécanique de la climatisation. J'exorbite mon regard de verre sous les soleils artificiels. Je me pétrifie un nouveau matin, dans mon espace fait de rectitude et de surfaces polies, de tiédeur. Dans mon gros corps de plantigrade de paille et de bois, dans ma peau de suture polie et brossée, je pose. On m'a aligné là, avec d'autres congénères. Tous ours comme moi. Tous

3. Etre prêt au malheur C. Supprimer nos désirs : le pessimisme D. Transformer nos désirs : la sublimation D.1. L'analyse de la sublimation (Freud) D.2. L'éloge de la sublimation (Platon, Nietzsche) V. Comment maîtriser les désirs ? A. Les métaphores platoniciennes : le lion et le cheval blanc B. Kant : la notion de « respect » C. Les trois instances freudiennes Annexes A. Autres idées B. Exemples, références, citations Introduction Le mot « désir » évoque les concepts suivants : besoin

Nietzsche 23 3. Freud 24 V. Comment la raison peut-elle maîtriser les désirs ? 24 1. Les métaphores platoniciennes 25 2. Le lion de Kant : le respect 25 3. La tripartition freudienne 25 Annexes 26 A. Quelques idées supplémentaires 26 On désire toujours dans un contexte 26 La dimension antisociale du désir 26 L’impératif publicitaire : « tu dois désirer » 26 Critique de l’idée de sublimation 26 Métaphore et métonymie 27 B. Quelques exemples, citations et suggestions de lecture 27 Quelques

la manière dont « on y travaille, [dont] on y aime et [dont] on y meurt » (l. 21-22). Des précisions relatives aux dates apparaissent dans le deuxième chapitre : « le matin du 16 avril » (l. 1), « le soir même » (l. 15), « le lendemain 17 avril, à huit heures » (l. 37), « l’après-midi du même jour » (l. 114), « le lendemain matin, 18 avril » (l. 177). Ces mentions sont souvent placées en début de paragraphe, et permettent de contrebalancer l’indistinction 3 La Peste  Arrêt sur lecture

2. Nietzsche 23 3. Freud 24 V. Comment la raison peut-elle maîtriser les désirs ? 24 1. Les métaphores platoniciennes 25 2. Le lion de Kant : le respect 25 3. La tripartition freudienne 25 Annexes 26 A. Quelques idées supplémentaires 26 On désire toujours dans un contexte 26 La dimension antisociale du désir 26 L’impératif publicitaire : « tu dois désirer » 26 Critique de l’idée de sublimation 26 Métaphore et métonymie 27 B. Quelques exemples, citations et suggestions de lecture 27 Quelques exemples

Comment la raison peut-elle maîtriser les désirs ? 24 1. Les métaphores platoniciennes 25 2. Le lion de Kant : le respect 25 3. La tripartition freudienne 25 Annexes 26 A. Quelques idées supplémentaires 26 On désire toujours dans un contexte 26 La dimension antisociale du désir 26 L’impératif publicitaire : « tu dois désirer » 26 Critique de l’idée de sublimation 26 Métaphore et métonymie 27 B. Quelques exemples, citations et suggestions

Maupassant s’est inspiré de la maison de Flaubert, à Croisset, qu’il a beaucoup fréquentée dans sa jeunesse. Le journal s’ouvre sur une journée de printemps. 3. Le début et la fin du texte renvoient à la matinée (l. 1 et 23). Le déterminant employé (« ce matin ») permet de comprendre que le narrateur a tenu son journal l’après-midi ou le soir du même jour. 4. a. et b. Le narrateur retranscrit un état d’apparente sérénité. Rien ne se passe, ou si peu : le seul événement mentionné est le passage du convoi

populaire auprès des autres et de forte tête. Au début il se joint aux autres qui se moquent de Bonnet. Progressivement Julien et Bonnet distinguent leurs intérêts communs pour la musique et la littérature. Après s’être perdus tous les deux au crépuscule dans la forêt d’où ils se font ramener à l’internat par deux soldats allemands sympathiques, ils se lient d’amitié. Bonnet prétend être protestant, que son père est prisonnier de guerre en Allemagne et que sa mère vit dans la zone sud. Mais Julien