Méditations cartésiennes

une fois dans sa vie de mettre toutes choses en doutes. " (Descartes) Doute gnoséologique (des sens) : Le soleil tourne autour de la Terre, il est plus petit qu'elle. " On ne peut se fier à ceux qui nous ont une fois trompé." (Descartes - Méditations métaphysiques) Doute antologique : Qui me prouve que je ne suis pas en train de rêver ? " Peut-être que c'est moi qui imagine toucher et voir une Terre alors qu'il n'exister aucune Terre réelle en dehors de mon imagination et de mes sensation

bureau. Mais, comme, lorsque je rêve, je ne rêve pas que je rêve mais je rêve que je suis éveillé, « il n’y a point d’indices concluants ni de marques assez certaines par où on puisse distinguer nettement la veille d’avec le sommeil »(Descartes, Méditations Métaphysiques, I, 3-5). Descartes est un philosophe du XVII° siècle et cet argument dit "argument du rêve" est très banal à son époque (cf., en 1635, l'oeuvre théâtrale de Pedro Calderón de la Barca, la Vida es Sueño, "la Vie est un Songe"). Descartes

d'une conscience conçue comme un sujet universel et porteuse de tout jugement valide. * La passion , action du corps subis par l'âme... Meditations Métaphysiques Il publie en 1637 Le Discours de la méthode, la Dioptrique (partie de la physique qui s'occupe de la réflexion de la lumière) et La geometrique. Ensuite, en 1641 il a écrit les méditation métaphysiques, en latin, est dirigé aux plus forts d'esprit. Elle ne pouvait pas être lue par des gens sans préparation. En 1644 il écrit Principe

Avoir une bonne conscience dans ses actes, par exemple de pas suivre des opinions douteuses. Consiste à ne rien désirer. Appliquer sa méthode pour cultiver sa raison et ainsi s’avancer dans la connaissance de la vérité. MÉDITATION PREMIÈRE Tout d’abord, l’époque subit beaucoup de changement, il y a notamment les sceptiques qui émergent, une toute autre vision de monde, on remet la religion en question et plusieurs autres choses, tous ces facteurs vont mener Descartes à

couvrir des spectres ou des hommes feints qui ne se remuent que par ressorts ? Mais je juge que ce sont de vrais hommes, et ainsi je comprends, par la seule puissance de juger qui réside en mon esprit, ce que je croyais voir de mes yeux. Descartes, Méditation métaphysique Ce texte a été expliqué par nos professeurs : Texte De Descartes : "Le morceau de cire"

(Suite) 3.2 Éléments qui pourrait mettre en danger le bien-être des membres Le critère « La vérité absolue » n’est pas présent, puisque les membres ne sont pas obligés de lire uniquement les livres en lien avec la méditation transcendantale, et ils ne sont pas empêchés d’avoir accès à d’autres façons de penser, ils sont libres de leurs choix de lecture. Il n’y a pas de « dérive sexuelle » dans notre groupe religieux, puisque le gourou n’a absolument aucun pouvoir sur la vie sexuelle des membres

part, autrui est essentiel à la construction morale : son jugement est implacable, au point où le regard des autres peut constituer un enfer. ILe besoin de l'Autre AL'hypothèse d'un monde sans autrui 1L'être cartésien, un être autosuffisant Pour avoir conscience de soi, le sujet cartésien n'a pas besoin de l'Autre. Par la technique du doute méthodique, Descartes affirme dans le Cogito (Discours de la méthode, 1637), la certitude absolue de la conscience de soi malgré l'incertitude que l'on a du

nous connaître, car nous ne pouvons pas nous contempler, nous saisir comme un objet que nous regardons et que nous jugeons. Descartes d’ailleurs, au détour du doute méthodique n’apporte que la certitude de son existence. Le fameux passage des Méditations Métaphysiques où il écrit : Qui suis-je ? Une chose qui pense s’explique autrement que comme un passage autoritaire si nous expliquons que pour Descartes comme seule la certitude que nous pensons est indubitable, notre être se limite à l’activité

est contraire s'oppose au fait de remettre en question les croyances normatives. Descartes nous avons pas montrer les limites de ce doute radical mais n'y a-t-il pas des limites au doute ? Tout comme Socrate, Descartes admet au début de ses Méditations métaphysiques , la méthode du doute en cherchant la vérité. Mais on dit que pour douter il faut abandonner toutes les croyances que nous avons eues jusqu'à ce moment là : celles-ci ne sont autres que ce que Spinoza appelle les connaissances par

LA PERCEPTION Notions du programme: Perception Espace Art Sujet Introduction Descartes, dans les Méditations métaphysiques, I, met en doute la réalité du monde qu'il perçoit. Il s'inquiète d'une possible confusion du rêve et de la réalité, de l'imagination et de la perception. Comment distinguer les deux? Certes, quand nous percevons, nous savons, avec une évidence naturelle, que nous ne rêvons pas. Notre "foi originaire" (Husserl) dans la réalité du monde perçu est un fait. Cependant, comment