Méditations cartésiennes

réflexions que l’on peut avoir, c'est-à-dire bonnes ou mauvaises. On peut mêler connaissance de soi et conscience de soi. Nous avons tous une conscience, car toutes nos pensées sont conscientes. Nous n’avons pas besoin de corps pour être. Dans les méditations métaphysiques, Descartes pose une hypothèse, comme quoi nous passons notre temps à nous tromper. « Je pense, donc je suis ». Ceci n’est pas un raisonnement mais une intuition. Chaque fois que l’on pense, on sait en même temps que l’on est. Ici le

l'erreur et la tromperie, marques de mon impuissance et de ma finitude, la certitude et la vérité comme « connaissance claire et distincte », preuves de mon existence d'être pensant, et que l' « âme est plus aisée à connaître que le corps » ( voir Méditations métaphysiques) b) La vérité comme horizon de la recherche scientifique : Descartes et Malebranche à la recherche d'une méthode pour « bien conduire sa raison » c'est-à-dire se donner les moyens de prendre une chose pour vraie si je peux en

substance matérielle => Cf. Essai, II, 23, 5). 1) Remarques sur le texte. Hume expose d’abord la thèse qu’on pourrait qualifier de cartésienne selon laquelle le moi est un principe, c’est-à-dire à la fois le point de départ de toute connaissance et la première réalité que l’esprit saisit. Il fait une sorte d’exposé ramassé du cogito. Dans la seconde de ses Méditations métaphysiques (1641), Descartes (1596-1650) arrivait à montrer que le « je suis, j’existe » (« ego sum, ego existo ») est une vérité

critère de l’ultime évidence, de l’évidence absolument indubitable, s’il existe des évidences trompeuses ? Une seule évidence semble ne pas pouvoir nous tromper, une seule évidence semble pouvoir résister au doute : c’est le cogito. Dans la seconde méditation métaphysique, Descartes nous montre que le cogito s’offre comme évidence suprême : Enfin, il faut conclure que cette proposition : « je pense, j’existe » [=je pense donc je suis] est nécessairement vrai toutes les fois que je la prononce ou que

troisième temps, nous verrons quels sont les pouvoirs de la conscience et nous essaierons de répondre à la question « Qui suis-je ? ». QU’EST-CE QUI PEUT NOUS AMENER A CROIRE QUE NOUS SOMMES REELLEMENT CE QUE NOUS AVONS CONSCIENCE D’ETRE ? Le cogito cartésien D’après Descartes, « Je pense donc je suis ». Il n’y a donc pas de différence entre être et penser être. Le fait de penser se ramène au fait d’exister. Avoir conscience d’exister correspond alors à se connaître avec certitude. En effet, comment

problème philosophique, et les différents concepts élaborés par Nietzsche. Nous noterons également l’importance du travail de comparaison avec ce que vous avez vu en cours. Il fallait être capable de distinguer l’approche nietzschéenne du cogito cartésien, et de l’inconscient freudien. Bonne lecture. Même si elle ne vous apporte pas le même plaisir que lorsque vous lisez un roman, j’espère qu’elle sera instructive.] Descartes en élaborant son cogito développe une idée de l'homme comme

cependant différentes formes de doutes, dont le doute sceptique (le « pyrrhonisme », tiré du fondateur de l’école sceptique Pyrrhon, et qui affirme que l’esprit humain est incapable d’atteindre aucune connaissance certaine) et le doute cartésien (énoncé dans les méditations métaphysiques du philosophe Descartes ; selon ce dernier il faut remettre en questions tous fondements même les plus élémentaires et les démontrer pour prouver qu’ils sont bien vrais). Le doute est propre à l’homme : à l’inverse des

Passions de l’Âme, 1649) qui les analyse de manière à montrer leurs causes physiologiques et psychique.Cette façon de procéder a pu surprendre chez le philosophe des Méditations Métaphysiques (1641) où était faite une distinction nette entre la substance pensante (l’âme) et la substance étendue (le corps). Néanmoins, la sixième méditation fait intervenir une troisième notion primitive qui est précisément « l’union de l’âme et du corps » que nous expérimentons de manière claire dans le sentiment, même

mathématiques – la célèbre phrase « je pense donc je suis » (cogito, ergo sum), qui permet à Descartes de sortir du doute, lui servira à ce titre de premier principe. Par ailleurs, il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu, dont il donnera une version beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques, quatre ans plus tard. Le Discours de la méthode est aussi l'occasion pour Descartes de présenter une morale provisoire, tenant en quelques maximes de conduite, et de développer des considérations

généraux 2) Niyamas : Différents contrôles de soi 3) Asanas : Postures yoguiques 4) Pranayama : Contrôle de la respiration 5) Pratyahara : Détachement mental 6) Dharana : Concentration 7) Dhyana : Concentration prolongée (méditation) 8) Samadhi : est atteint lorsqu’on perd le sentiment d’être une existence séparée ( l’éveil) Les bienfaits du yoga : Le yoga minimise l’impact du stress. Selon la science du yoga, la pratique régulière des asanas et du pranayama renforce