Medaf

Analyses et prévisions * Analyse des marges : marge d’exploitation * Analyse des marges : marge nette * Analyse de la rentabilité comptable, rentabilité économique, rentabilité des Capitaux Propres 2 : Evaluation financière * Modèle DCF * Medaf et CAPM * Prévisions cash flows et valorisation de l’entreprise * Modèle des multiples * Analyse boursière du secteur des clubs côtés : cadre de référence * Analyseboursière : PER, Price to sales, Price to Book, Price to cash flows *

Voici le modèle du MEDAF : ERi = rf + (ERM – rf) βi ERi = rendement attendu pour l’actif i rf = taux sans risque ERM = rendement attendu pour le portefeuille du marché (ERM – r’f) = prime de risque pour la rémunération du risque non diversifiable βi = coefficient de risque systématique de l’actif i qui mesure la sensibilité de l’actif i par rapport aux variations du marché Ce modèle permet d’évaluer la valeur théorique des actifs financiers. Attention : le MEDAF repose sur un certain

diversification: ”ajout” ou ”division” des risques? . . . 126 4 Le mod`le d’´quilibre des actifs financiers avec un grand nombre d’investisseurs e e (BKM 9, Aft. 4) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 4.1 Hypoth`ses et cons´quences du MEDAF . . . . . . . . . . . . . . 128 e e e e 4.2 Rapport des esp´rances de primes de risque et B´ta . . . . . . . . 130 4.3 Droite du march´ des actifs ou des B´tas (security market line): . 133 e e 5 Le mod`le ` indice boursier (facteur explicatif unique)

titres qui le composent -Risque qui se calcule à partir de la covariance des titres - Diversification moyenne pondéré du titre sans risque et le portefeuille de marché Pour le titre -droite de marché Modèle Sharpe (1964) et Lintner (1965) MÉDAF ou CAPM -le beta -l’espérance du rendement en fonction du beta Conception Nadia Smaili 3 Rappel et introduction Ce qu’on a vu jusqu’à date:   L’espérance d’un titre Le risque d’un titre Qu’est ce que le risque ? Peut-on l’éliminer

taux de rentabilité est calculé par la différence entre un taux de rentabilité observé à l’annonce de l’opération et un taux de rentabilité théorique (ceteris paribus). Ce taux de rentabilité théorique est estimé à partir de modèle de marché ou du Medaf (modèle d’équilibre des actifs financiers). à long terme (ex-post) : un nouveau taux est calculé par la différence entre un taux de rentabilité observé et un autre taux moyen calculé avec un échantillon de sociétés identiques. Les résultats obtenus

théorique. [Dérouler]Démonstration Critiques [modifier] Le mathématicien de renom Benoît Mandelbrot a travers ses nombreux travaux sur le sujet remet totalement en question la validité de la théorie de Harry Markowitz et de ses corolaires le MEDAF, développé par William F. Sharpe et la formule de Black-Scholes. Il considère que ces théories, si belles soient-elles en apparence et si simples dans leur application, comme totalement déconnectées de la réalité des marchés financiers. Elles ont été

l’événement. On calcule donc ce qu’on appelle. La rentabilité normale (R.N) ou rentabilité théorique, calculée par le M.E.D.A.F Ra : rentabilité anormale Ro : rentabilité observée Rn : rentabilité normale MEDAF : modèle d’évaluation des actifs financiers E (Rit)  espérance par le MEDAF Rf : actif sans risque. i : la sensibilité du titre i, par rapport aux variations du marché. E (RM) : la rentabilité espérée du marché. Actif sans risque : Ex : bon du trésor ; Obligation Assimilable du Trésor ;

de rentabilité exigé par les actionnaires, cette espérance de gain a été mesurée par deux model théorique. Le premier fonde son raisonnement sur l’action (model de Gordon) le second sur le marché financier (model d’équilibre des actifs financiers MEDAF). 1.1.3.2.3.1) La formule de Gordon : La théorie financière admet que la valeur d’une action est égale à la valeur actuel de l’ensemble des dividendes espérés, calculée aux taux de rentabilité exigé par les actionnaires. La formule de Gordon

abilité du risque.   À partir de ce moment‐là, plusieurs travaux de recherche se sont enchaînés afin  de  développer  le  modèle  de  H.  Markowitz.  tout  en  maintenant  l’hypothèse  de  la  rationalité des investisseurs.   A  l’époque  où  le  MEDAF  s’imposait  comme  seul  modèle  expliquant  correctement  la  formation  des  cours  sur  les  marchés  financiers,  paraissaient  les  premiers  travaux  de  Daniel  Kahneman,  Amos  Tversky4  (1979)  et  Vernon  Smith  comme premiers fondateurs de la «finance comportementale»5

la rentabilité requise par les actionnaires pour investir dans la société et pas ailleurs. Deux modèles sont utilisés pour la détermination du coût des capitaux propres : le modèle de Gordon Shapiro et le modèle d’équilibre des actifs financiers (MEDAF) ou Capital Asset Pricing Model (CAPM). Le modèle de Gordon Shapiro L’évaluation d’une action repose sur l’actualisation de ses cash-flows futurs mesurés par les dividendes Dt et son prix de revente à une date T, noté VT : V0 = ∑ (1 + k t =1