Matrice Bcg Procter And Gamble

Conclusion 51 xii. La matrice BCG (Boston Consulting Group) 51 i. Description des différents types 52 ii. Les implications stratégiques en fonction des classes 52 La star 52 La vache à lait 52 Le dilemme 53 Le poids mort 53 iii. Les options stratégiques 53 iv. Les erreurs stratégiques 53 v. Le cycle de vie dans la matrice BCG 54 vi. Les critiques 54 xiii. La matrice General Electric / McKinsey 55 i. Les atouts de l’entreprise 55 ii. Explication de la matrice General Electric

permet de savoir si certains domaines | | |d’activités doivent être développés, maintenus, exploités, abandonnés | | |Le modèle BCG, le modèle de la General Electric | |Non-price competition |La concurrence entre les intermédiaires se joue en offrant des services aux | |

marché P 30 1) La matrice BCG P 30 2) La matrice d’Ansoff P 30 3) La matrice FCB P 31 4) La typologie des innovations P 31 5) Le triangle d’or du positionnement P 32 6) Les 3 stratégies de Porter P 32 7) Les 5 forces de Porter P 33 8) Matrice de McKin Sey P 33 9) Matrice APL P 34 IV. Objectifs Stratégiques

complémentaire de ces mêmes sociétés a montré que ceux avec des systèmes de gestion stratégiques formels ont continué à surpasser ceux avec des systèmes informels et avaient, en fait, élargi leur marge18. Président and chef executive Chair manet président-directeur général office Président and chef executive Chair manet vice-président, Exécutive en chef opérations Départements de personnel Vice-président, finances Groupes d'exploitation Vice-président, opérations téléphoniques Région

10. Les ressources de l’entreprise 1. Les actifs de l’entreprise comme unité d’analyse 2. La gestion dynamique des ressources 38 38 39 III. Les choix stratégiques 11. La gestion de portefeuille 1. Les matrices d’analyse de portefeuille 2. Les intérêts et limites des matrices 12. Les stratégies de diversification 1. Les différents types de diversification 2. Les implications des stratégies de diversification 13. La stratégie de recentrage 1. Les raisons et intérêts d’une stratégie

standardisation et adaptation 3.2 Le potentiel de globalisation des produits et des marques Table des matières XI 10 LE CHOIX D’UNE STRATÉGIE DE MARKETING 1 L’analyse du portefeuille d’activités 1.1 1.2 1.3 1.4 La matrice « croissance-part de marché relative » La matrice « attractivité-compétitivité » L’analyse SWOT L’utilité des analyses du portefeuille d’activités 303 304 304 310 316 318 321 321 322 325 327 328 333 334 338 338 339 340 341 342 342 344 351 352 354 355 356 357 358 359 362

et des marques 284 287 289 289 290 292 294 295 298 299 Table des matières 10 LE CHOIX D’UNE STRATÉGIE DE MARKETING 303 1 L’analyse du portefeuille d’activités 304 1.1 1.2 1.3 1.4 La matrice « croissance-part de marché relative » La matrice « attractivité-compétitivité » L’analyse SWOT L’utilité des analyses du portefeuille d’activités 2 Les options stratégiques de base 2.1 Les conceptions de la stratégie 2.2 Les stratégies de base dans les marchés existants

marketing international (origines du marketing relationnel). INTRODUCTION Les méthodes et outils d’études et d’action marketing ont été forgés, initialement, surtout pour le compte d’entreprises vendant des biens de grande consommation, (comme Procter et Gamble, Coca Cola, Danone ou L’Oréal), avant de s’étendre au secteur des biens durables (Renault, Darty, Thomson) et au secteur industriel (IBM, Strafor, Schneider). Sans doute, des différences d’application existent-elles à l’intérieur même du marché

pour des produits innovants, de mesurer l’accessibilité du marché et enfin de repérer les opportunités. a. Comment mesurer l’attractivité d’un marché Pour mesurer l’attractivité d’un marché il faut tout d’abord regarder sa croissance, c’est le BCG. Puis on regarde sa part de marché relative par rapport au premier et au second. Tout les cabinets en stratégique on leur propre approche, mais on revient toujours à la même chose. On ne peut pas schématiser et dire qu’un marché est attractif en

[pic] L’étude de toutes ces marques et de leur environnement serait bien trop longue pour être exposée ici. Ce qu’il faut retenir ici, c’est qu’un groupe international comme Unilever ne peut se permettre d’entretenir des « poids morts » (cf. matrice BCG ci-dessous). Ce qui assure le succès d’un si grand groupe, c’est le choix stratégique de son portefeuille de marques lui assurant un revenu à 9 chiffres. Il ne faut néanmoins négliger aucune catégorie. Sachant que chaque produit a son cycle de