Math Sup

a ’A ’ ✝ 2.3 ☎ ✆ Op´ erateurs num´ eriques Il existe diff´erents op´erateurs num´eriques, qui repr´esentent les op´erations arithm´etiques standards. Nous connaissons d´ej`a les op´erateurs + et * qui reprennent l’addition et la multiplication math´ematique. Il existe aussi l’op´erateur incr´ement ++ qui peut ` a la fois se mettre avant ou apr`es la variable. Observons pour cela le code source suivant. ✞ int i =3; i ++; // i d e v i e n t 4 ++i ; // i d e v i e n t 5 ✝ ☎ ✆ N´eanmoins leur

se fait aux e e e d´pends de la stabilit´ en boucle ferm´e. e e e 8.4 Crit`re de Routh e Pour savoir si les pˆles d’une fonction de transfert sont ` parties o a r´elles n´gatives, on peut les calculer. Mais pour des polynˆmes de e e o degr´ sup´rieur a 2, la r´solution devient difficile. Le crit`re de Routh e e ` e e est un crit`re alg´brique qui permet de savoir si les racines sont toutes a e e ` partie r´elle n´gative (donc si le syst`me est stable) sans avoir ` calculer e e e a ces pˆles

cette fin, un indice de similitude s ("similarity index"), qui devra satisfaire des conditions analogues à celles de d : 1)  iI, s(i,i) = smax 2)  i, i’I, s(i,i') = s(i',i) smax est la valeur maximum que peut prendre s : smax = Sup {s(i,i') | iI, i’I} elle dépend de la formule retenue, vaut généralement 1 mais peut être parfois infiniment grande. Supposons s défini, sur I x I. Si pour tout i, et tout i' de I on pose d(i, i') = smax - s(i, i') alors d sera un indice

est con¸ue pour ˆtre tr`s souple. Elle accompagne les auteurs et les utilisateurs en c e e leur permettant de travailler librement et au jour le jour. Il est devenu impossible de travailler sans internet (y compris pour r´diger des probl`mes e e de math´matiques) mais il est ´galement impossible de ne travailler que sur ´cran. Le papier e e e garde donc toute sa validit´ et la publication de livres sous la forme imprim´e habituelle (` cot´ e e a e d’autres types de services) est encore totalement

op´rationnel, e e e – Allocation de fonds propres : ´valuation du capital ´conomique, calcul du coˆt du e e u risque, impl´mentation des recommandations Bˆle 2. e a March´s de capitaux e Les ing´nieurs du GRO poss`dent de solides comp´tences en finance math´matique, en e e e e calcul actuariel et en corporate finance : – Audit des pricers : analyse des mod`les et des choix m´thodologiques, r´-impl´mentation e e e e des pricers sur syst`me ind´pendant du Front, v´rification des calculs de prix et de e e

malheureusement n'existe plus. Elle a été remplacée par le hideux immeuble de Sfax Center. J'ai fait après le Lycée Route El Ain et le Lycée Technique de Sfax. J'étais un passionné fou de Technologie et d'aéromodélisme notamment. Après le Bac, j'ai fait Math Sup/Spé T au Lycée Louis Blériot à Belfort … deux années bien difficiles… J'ai intégré les Arts et Métiers en 1981 à Bordeaux et ensuite à Paris. J'ai commencé ma carrière chez Shell où j’ai été accepté suite à une candidature spontanée et une série

consid´ r´ es en prenant en compte n´ cessairement e e ee e la complexit´ algorithmique des calculs. Ceci explique l’implication d’une autre discipline, l’informatique, e dans cette probl´ matique. Le souci de calculabilit´ l’emporte sur la d´ finition math´ matique du probl` me e e e e e qui se ram` ne a l’optimisation d’un crit` re d’ajustement de φ sur un ensemble de solutions plus ou moins e ` e ´e e riche. Ces m´ thodes ont souvent et´ d´ velopp´ es dans un autre environnement disciplinaire : informatique

aux mod`les structurels e 27 3.1 Mod`le de Merton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 e 3.2 Mod`les de premier instant de passage . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 e 4 Mod`les ` forme r´duite e a e 41 4.1 Pr´liminaires math´matiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 e e ´ 4.2 Evaluation des actifs risqu´s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 e 5 D´fauts corr´l´s e ee 5.1 Produits d´riv´s sur un panier de cr´dits e e e 5.2 Corr´lation dans

Universit´e de Paris Ouest-Nanterre Licence de Sciences ´Economiques 1`ere ann´ee Ann´ee 2008-2009 Cours de Math´ematiques I Patrice Bertail (UPA) Fran¸cois M´etayer (UPC) Philippe Soulier (UPB) Notes r´edig´ees par Salah Mehdi, Laurent Mesnager et Philippe Soulier Table des mati`eres 1 Fonctions num´eriques d’une variable r´eelle 4 1.0 Intervalles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 1.1 Fonction num´erique d’une variable r´eelle . . . . . . . . . . . . .

direction de J.L.!Bobin, E.!Huffer & H.!Nifenecker) • Physique et biologie. Une interdisciplinarité complexe (sous la direction de B.!Jacrot) ÁÒØÖÓ Ù Ø ÓÒ Le pr´sent ouvrage reprend avec beaucoup de compl´ments un cours de “Licence e e de Math´matiques” – ex troisi`me ann´e d’Universit´ – donn´ ` l’Universit´ de e e e e e a e Grenoble I pendant les ann´es 1985-88. Le but de ce cours ´tait de pr´senter aux e e e ´tudiants quelques notions th´oriques de base concernant les ´quations