Maryse Condé

mange le bois, je dévore le vernis. » (lignes 23 à 25). Réécrivez ce passage en conjuguant les verbes à l’imparfait et en remplaçant le pronom « je » par « nous ». Vous ferez toutes les modifications nécessaires. ©HATIER ■ Dictée (6 points) Maryse Condé Hugo le terrible Éditions Sépia, 1989 L’annonce d’un cyclone Et pourtant tout le monde en parle de ce cyclone qui doit venir sur nous. Il paraît qu’à la météo, on l’a déjà baptisé : Hugo. Victor Hugo est mon poète préféré. Je connais ses vers

Édouard Glissant dans les années 1960. Cette fois-ci, l’idée n’est pas de promouvoir une identité africaine mais antillaise. L’objectif est alors d’intégrer l’histoire de l’esclavage, l’héritage africain et la langue créole et de se les réapproprier. Maryse Condé s’est intéressée au courant de la négritude puis à l’antillanité. La Créolité littéraire est un courant dans la continuité de la négritude et de l’antillanité. Ses représentants sont Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant. Son ambition est de

années, les pompes-caïmans et les pompes-éléphants finiront par trouver à la fois des producteurs et des clients. Récit vivant, cocasse, à mille lieues de la phraséologie culpabilisante trop souvent employée pour parler de l'Afrique. CAMARA Laye CONDE Maryse L’ENFANT NOIR SEGOU - DIOP Boubacar Boris tome 1 : les murailles de terre, tome 2 la terre en miettes épopée dans le Macina (empire Peul) du XVIIème-XVIII ème siècle. Ecrit par une auteure guadeloupéenne passionnée par l’Histoire et

Nuit de l’erreur, 1997. a Tunisie - Yamen Manai, La Sérénade d’Ibrahim Santos, 2011. a Martinique - Patrick Chamoiseau, Chroniques des sept misères, 1986 ; Solibo Magnifique, 1988. - Raphaël Confiant, La Jarre d’or, 2010. a Guadeloupe - Maryse Condé, Moi, Tituba, sorcière... noire de Salem, 1986 ; Célanire cou-coupé, 2000. a Haïti - Gary Victor, La Piste des sortilèges, 2002.

Ardan, l’imitèrent dans la fiction au moyen d’appareils plus légers ou plus lourds que l’air. Jules Verne parvint ainsi à exprimer son époque positiviste à travers sa fascination pour le progrès technique. Dans un tout autre registre, l’écrivaine Maryse Condé propose, dans son roman Ségou, un chant à la gloire de la société bambara, ce peuple d’Afrique de l’Ouest dans lequel elle retrouve ses racines. La valeur de son roman réside dans le legs des traditions de tout un peuple à l’Occident oublieux des

pas un Dialogue de sourds, c’est une échelle à plusieurs barreaux que nous devons gravir vers une véritable Rencontre entre les Etres : « La parole est un fruit dont l’écorce s’appelle bavardage, la chair, éloquence et le noyau, bon sens. » Maryse Condé 1 ère Année – Marketing de Soi – Mieux Parler en Public – Marcelio TEVOEDJRE 5 Marketing de Soi : Mieux Parler en Public Exercices d’Application 1. Maîtrisez le verbal : affûtez votre langue ! Exercez-vous à la diction en prononçant

( langues différentes , littérature postcoloniale Francophone , Anglophone , Hispanofone ) ces littératures sont issues d'aires géographiques différentes ex : l'Afrique ( Amadou Koutouma , Mongo Béti , Alain Mabanckou ) les Caraibes : Maryse Condé , Edouard Glissant , Césaire , Dany Laferrière , Zoé Valdès Océan Indien : N. Appanah( de l'ile Maurice ) , Raharima enjeux : un besoin de s'inscrire dans 1 histoire littéraire avec l'intertextualité et aussi : Témoigner de l'histoire

des bateaux qu'on appelait des négriers. Les conditions à bord étaient terribles et beaucoup mouraient pendant le voyage. Une fois aux Antilles, les esclaves sont vendus aux propriétaires terriens, des Français qui possédaient les plantations. Maryse Condé évoque grandement cette partie de l’histoire dans son roman Moi, Tituba sorcière noire de Salem, bien qu’il ne s’agisse d’une antillaise anglophone dans l’œuvre. En effet, il faut plonger dans l’œuvre, l’arpenter en profondeur, pour découvrir l’esclavage

du monde s’opère de telle sorte qu’au lieu d’une distinction entre humains et non-humains, il existe en réalité une forte interdépendance de ceux-ci. En effet, l’homme n’est pas un « maître parcourant à cheval son royaume » nous disait Maryse Condé dans Moi, Tituba sorcière de la même manière qu’il n’est pas « un empire dans un empire » (Spinoza). Qu’est-ce que cela signifie ? Cela traduit simplement le fait que l’homme, enasservissant la nature, en l’exploitant de manière

esclavagistes, la définition de l'autre comme Autre. « Il y a que pour l'Afrique, écrit-il, la préhistoire est plus importante peut-être que l'histoire » (idem 29). Pour Fanon, Depestre – puis la génération suivante, Soyinka, Glissant Ouolumguem, Condé La négritude fondée sur le radical – nègr – même à une impasse, et plus encore à un trouble psychique : Glissant qui suit Fanon de très près, écrit : « Serait-il dérisoire ou odieux de dire que notre histoire est celle d’une névrose cinq fois centenaire