Marx Oppose Ricardo

valeurs (c’est la réalité observable du développement). Exemples de changement social : émancipation des femmes, passage d’une société holiste à une société individualiste… Pour Marx, le passage du holisme à l’individualisme est non recommandé car les classiques c’est bien. Marx et Durkheim parlent du holisme méthodologique : étude de l’individu dans le groupe (l’individu ne peut exister en dehors du groupe). Boudon lui parle d’individualisme méthodologique : les individus

absolus ou la théorie des coûts comparatifs ou des coûts relatifs (Ricardo), justifie l’échange international. • L’épargne est source de croissance et d’accumulation du capital. • L’État doit avoir un rôle minimal, cantonné à ses missions régaliennes (ordre, justice, administration publique). C’est le concept de l’État-gendarme. II. Thomas MALTHUS (1766-1834) • La loi des rendements décroissants (RICARDO) de la terre énonce que toute nouvelle terre mise en exploitation

que les membres de « l’école de Chicago », dont le plus célèbre aura été Milton Friedman. Les prix équilibrent offres et demandes L’habileté de Marshall a été de concilier deux approches de la valeur apparemment contradictoires : celle de Ricardo et Marx qui liaient la valeur au coût du travail, celle des marginalistes qui privilégiaient l’utilité des produits. La vérité est toute simple, dit Marshall : les coûts c’est l’affaire des producteurs, c’est la courbe d’offre, l’utilité c’est l’affaire

Section 1 : L'émergence de l'approche macroéconomique 12 I- Les mercantilistes 12 II- Les économies du circuit 13 A- Du plaidoyer libéral de Boisguilbert... 13 B- ...au tableau économique des physiocrates 14 III- L'approche macroéconomique de Karl Marx 15 A- L’État substitut du marché défaillant 15 B- Aliénation marchande et exploitation capitaliste 15 Section 2 : La spécificité de la macroéconomie, le clivage macro/micro 16 Section 3: L'équilibre macro-économique 17 I- Le cadre comptable de

Granovetter (séance 8) 3.7.1 Les formes d’intégration de l’économie 3.7.2 La grande transformation (1944) 3.7.3 Les marchandises fictives IV. Quelques thèmes abordés par la sociologie économique 4.1 L’argent (Séance 9) 4.1.1 Les économistes et l’argent 4.1.2 Marx et le fétichisme de l’argent 4.1.3 Les sociologues classiques et l’argent (fin 19e-début 20e) 4.1.4 Polanyi : l’argent marchandise fictive 4.1.5 L’analyse de Viviana A. Zelizer 4.1.6 Aglietta et Orléan : la monnaie et le sacré 4.2 La consommation (Séance

économie » vient du grec « oika » (maison) et de « nomos » (règles). Elle est la science des règles domestiques et partie intégrante de la philosophie. Toute controverse économique est par nature philosophique. A cette époque, la controverse la plus vive oppose les sophistes (Protagoras, Gorgias) et les socratiques (Socrate, Platon). Sophistes (Protagoras, Gorgias) Rhétorique Monde de l'expérience Individualistes (libéralisme) Monnaie valeur Socratiques (Socrate, Platon) Dialectique Monde des idées Etatiques

jusqu’au cocktail. Travail de montage : Associer la lecture voix off d'un texte d'Elie Faure sur Vélasquez et des scènes parisiennes, le tout associé aux violons de Delerue. Rôle de la culture, glorification de la vie esthétique, de l'amour du cinéma opposé aux contraintes sociales exprimées par la femme du héros (retrouver du travail, relations publiques et familiales etc…). Durant le cocktail, les scènes monochromes représentent l'homme unidimensionnel dont parlait Herbert Marcuse. Les personnages

proposent des façons différentes d’aborder les mécanismes de la vie économique. Séance 5 : I. Le courant classique : La Richesse des Nations A. Smith (1776) Principes de l’Economie Politique et de l’Impôt D. Ricardo (1817) 4 principaux auteurs : A. Smith (1723-1790) D. Ricardo (1772-1823) J.B. Say (1767-1832) T. Malthus (1766-1834) I.1. Le triomphe des nouveaux principes : l’environnement dans lequel est né le courant classique Siècle des lumières et des grands encyclopédistes

suite des multinationales). LA DOCTRINE DU LIBRE-ÉCHANGE Cette doctrine date de Smith et Ricardo, qui serra ensuite reprise par les néoclassiques et par Keynes. Les classiques et les keynésiens sont des libre-échangistes. Le point de départ chez Ricardo et Smith est l’individu et sa rationalité. Elle va permettre de définir l’équilibre général, c’est-à-dire l’équilibre entre l’offre et la demande sur les marchés

pays. Se développent un certain nombre de courant qui essaient d'organiser les sociétés en temps de paix pour éviter le retour de ces bouleversement. Il y a les réactionnaires (légitimistes) veulent revenir à l'ordre d’antan. Les libéraux (Smith, Ricardo) définissent l'état comme facteur de contrariété économique et individuelle, le bien commun doit résulté du fait que chaque individu puisse rechercher son intérêt particulier sans limites ; l'état doit garentir la paix entre les citoyens (fonctions