Macédonien

les plus fécondes pour la production d’Aristote : c’est à cette époque qu’il systématise les traités philosophiques et scientifiques qui nous sont parvenus. En 323, Alexandre étant mort, il y a eu à Athènes une forte réaction anti macédonienne, qui visait aussi Aristote pour avoir été le maître du roi décédé. Pour fuir ses ennemis, Aristote se retire en Chalcis et laisse la direction du Lycée à Théophraste. Il meurt quelques mois après, en 322

Philippe II de Macédoine prétend à une hégémonie de son royaume sur la Grèce, c'est son fils Alexandre qui va réaliser ce projet en bâtissant un empire qui s'étend non seulement sur les Balkans mais aussi sur l'orient et sur l'Égypte. Cet impérialisme macédonien et bien provoque le déclassement politique d'Athènes qui n'est plus qu'une entité incluse dans cet empire et on constate donc que parallèlement au déclin de la liberté interne d'Athènes on assiste au déclin de sa liberté externe, cela signifie donc

langues et de religions. Cette diversité constitue une des sources des problèmes actuels et nous y reviendrons plus loin. Les deux grands peuples de la péninsule sont les Grecs, les Slaves, les bulgares, les serbes, les croates, les slovènes, les macédoniens, les monténégrins et les musulmans. Il convient d’ajouter d’autres ethnies d’appartenance roumaine, albanaise, les Tzigane, Turque, bulgare, Tchèques et Slovaques. 1.2. L’HISTOIRE L’histoire des Balkans est avant tout celle de la confrontation

politiques.) • démocratie inégalitaire. • critique des philosophe sur le principe de démocratie. B) La chute de la démocratie. • Guerre Péloponnèse qui oppose le Sparte à Athènes de 431 à 404 av JC. • Les Athéniens vaincus par les Macédoniens, doivent renoncer à leur régime politique.

Cotys en - 359) - 338 (1er septembre) : Bataille de Chéronée. Philippe et Alexandre battent la coalition grecque emmenée par Athènes et Thèbes. Cette victoire marque sa domination définitive sur la Grèce. Paix de Démade : l'orateur athénien pro-macédonien Démade négocie un traîté de paix plutôt favorable à Athènes : la cité est épargnée, elle peut garder sa flotte. Elle doit intégrer la Ligue de Corinthe et faire de Philippe un citoyen athénien. - 337 : Philippe projette d'attaquer la Perse.

|l'indépendance de Babylone et de toute la Mésopotamie. | |539-331 |Empire Perse Achemenide (Cyrus II, Darius, Xerxes). Darius III vaincu par le Macédonien Alexandre en 331 | |331-311 |Début de la période Hellenistique. Luttes entre les Diadoques à la mort d'Alexandre. | |311-126 |Dynastie

bataille de Chéronée remportée en 338 av. J.-C. par Philippe II fit entrer Athènes dans le nouvel empire macédonien. La cité, qui demeura le grand foyer de la civilisation grecque, bénéficia jusqu'au IIe siècle av. J.-C. de nouveaux aménagements et de travaux d'embellissement menés sous la houlette de Lycurgue. Après la mort d'Alexandre le Grand en 323 av. J.-C. et le découpage de l'empire macédonien, la ville, encore sous domination des rois de Macédoine, sombra dans l'oubli. L'Acropole d'Athènes

ou les esclaves ne pouvaient accéder à la citoyenneté. La démocratie athénienne connut son apogée au Ve siècle av. JC, à l'époque de Périclès (495-429 av. JC) et déclina au IVe siècle, après la fin de la guerre du Péloponnèse et la conquête macédonienne. L’impérialisme démocratique La stèle de la démocratie. Le fonctionnement de la démocratie Athénienne 1. L’Ecclésia 2. Les autres organes 3. La place des citoyens Les limites de la démocratie athénienne 1. Une petite

Ctésiphon (« Sur la couronne »). Impliqué dans scandale financier d' Harpale (vers -324) et condamné à payer une amende qu'il ne put acquitter, il dut s'exiler d'Athènes, mais revint à la mort du roi. Après sa défaite contre le nouveau gouverneur macédonien, Antipatros, Démosthène fut condamné à mort et se réfugia sur dans l'île de Calaurie où il s'empoisonna, dans le temple de Poséidon, en 322 avant J.C. Source:Centre régional de documentation pédagogique de l'Académie de VersaillesEVENE 1999-2010Dictionnaire

Lycée apportent une somme considérable de découvertes et la bibliothèque de l’école est particulièrement bien fournie. Mais la mort d’Alexandre va bientôt mettre fin à cette période de travail intensif. Sa disparition exacerbe les sentiments anti-macédoniens et pousse les Athéniens à la révolte. Aristote, qui n’approuvait pourtant pas les actes de son ancien élève, est forcé de quitter Athènes avec sa famille en 323 av. J.-C. Il se réfugie en Chalcis, dans la maison maternelle. Malade, il sent sa fin