Macédonien

Ainsi après la phase d’influence étolienne   on a l’impression que se ferme une parenthèse de 150 ans d'abus et d'usurpations  Georges Daux écrit "L'Amphictionie échappait pour toujours aux intrigues étoliennes et macédoniennes. Son rôle désormais ne sera plus jamais politique", En conclusion L’amphictionie de Delphes est bien un organisme internationale, puisqu’elle réunit en son sein les représentants de plusieurs cités. Celle-ci est fondamentalement dirigée

La démocratie athénienne n'est donc pas vraiment juste. Également, on peut noter qu'Athènes avait des difficultés à organiser sa défense. Le système démocratique d'Athènes a souvent rendu les armes devant Sparte d'abord, puis à terme devant les Macédoniens. Au final, la démocratie a fini par disparaître, les Grecs ayant perdu leur indépendance. En conclusion, il parait utile de replacer la démocratie athénienne dans son contexte historique. Auparavant les peuples étaient régis par des systèmes royalistes

Cléopâtre et Marc Antoine Estelle & Mathilde Sommaire: 1) Brève biographie de Cléopâtre 2) Brève biographie de Marc Antoine 3) Leurs vies amoureuses 1) Brève biographie de Cléopâtre Cléopâtre, dernière reine de la dynastie macédonienne des Ptolémées Lagides, est née à Alexandrie en 69 avant Jésus-Christ. A l’âge de 17 ans son père Ptolémée XII meurt, et comme le veut la tradition, elle épouse son frère Ptolémée XIV a l’âge de 11 ans, qui a pour tuteur Pompée. En 48 avant Jésus-Christ, l'Egypte

l’Athènes du Ve siècle, qui était alors une démocratie directe où tous les citoyens votaient directement les lois. Or, Aristote a aussi connu la période où Athènes pouvait jouir d’une certaine autonomie politique tout en étant sous domination macédonienne. Voir à ce sujet les nombreux écrits de Jacqueline de Romilly ou de Pierre Vidal-Naquet. 11Aristote : l’homme, animal politique Grégory Vatin titulaire d’un mastère en philosophie DR Bibliographie Aristote - La Politique - L’Éthique à Nicomaque

romaine 2.3) Conquète du bassin méditérannéen, première période Au cours des IIIe et IIe siècles av. J.-C., Rome est impliquée dans un conflit avec la Macédoine pour la domination de la mer Égée, conflit connu sous le nom de guerres macédoniennes. Du côté macédonien, les deux premières guerres sont dirigées par Philippe V et la troisième par son fils, Persée, dont l'armée est mise en déroute à Pydna. La Macédoine devient une province romaine en 146 av. J.-C. La même année, une ultime révolte de

économique de l’empire et période de faiblesse pour les civilisations contemporaines car l’Islam connait son premier essoufflement, l’occident reste un territoire pauvre, pas encore d’expansion, stabilité politique dans l’empire byzantin, dynastie macédonienne : basile 867-886, il n’y a pas de crise interne, Basile 2 963/1025, anecdote : les bulgares sont un peuple slave, les bulgares forment un royaume, leur chef est Khan, en 811 ils font le siège de Constantinople, en 864 le khan Boris il adopte le

civils des deux côtés, Rome parvient à conquérir le territoire carthaginois et à raser Carthage, devenant le plus puissant État de la Méditerranée occidentale. II) Conquête de l’Espagne, la Grèce. N'arrivant pas à se délivrer seule du joug macédonien, la Grèce s'allie finalement aux Romains. Le conflit entre Rome et la Macédoine éclate lorsque Rome établit une tête de pont sur l'Adriatique orientale après deux expéditions contre les pirates illyriens (229-228, 219 avant J.-C.) ; il se transforme

commence lors des premières migrations indo-européennes, 2000 ans avant notre ère, et agit jusqu'aux premières constructions étatiques de la région (décrites dans l'Iliade neuf siècles avant notre ère, mais probablement antérieures); l'influence macédonienne et la civilisation hellénistique, inaugurées par le règne de Philippe II, trois siècles avant notre ère, et jusqu'à la prise de la Grèce par Rome ; la romanisation, qui a contribué à l'unification balkanique à travers le réseau des routes et des

L’Age classique (VIème siècle av JC – IVème siècle av JC) marque l’apparition des Cités-Etats et donc du principe de citoyenneté. Leur déclin commence à la fin du IVème siècle avant notre ère, lorsque ces Cités vont être englobées par la monarchie macédonienne ; c’est la période hellénistique. Les citoyens grecs tous regroupés formaient le corps civique, indissociablement lié à la cité, sorte de micro-État fonctionnant avec ses entités politiques propres. La citoyenneté athénienne, modèle phare de la

chapitre 2) L'historien anglais Arnold Toynbee montre dans son ouvrage Guerre et civilisation5 combien la division du travail sans cesse plus poussée de l'Infanterie chez les Spartiates (phalange de type spartiate), puis chez les Macédoniens (phalange de type macédonien), puis chez les Romains (plusieurs modes successifs d'organisation et de déploiement de la Légion) explique la supériorité et les succès militaires sur le champ de bataille. Les puissances victorieuses sont le plus souvent celles