Macbeth Tyran

Les caprices de la mode, Montesquieu, les lettres persanes Les lettres persanes : - rédigé par Montesquieu, et publié pour la première fois anonymement en 1721 à Amsterdam - roman épistolaire, genre littéraire dont Montesquieu est l’un des précurseurs. - ce roman regroupe 161 lettres, témoignant de la rassemblant la correspondance fictive échangée entre deux voyageurs persans, Usbek et Rica, et leurs amis respectifs restés en Perse, leur voyage dure 8 ans Roman qui a plusieurs facettes :

maître si ce n’est d’en avoir plusieurs. Il se demande par ailleurs comment est il possible qu’un tyran seul puisse asservir toute une nation qui pourtant pourrait l’écrasé par le moindre soulèvement. Il semble en effet pratiquement contre nature que des nations entières puissent être asservies par l’autorité, le prestige peut être d’un seul homme car, dit la Boétie, point n’est besoin ni de craindre le tyran car celui-ci est seul ni de l’aimer puisque ses qualités sont sauvages et inhumaines. La Boétie

comprend pas comment la société a pu accuser d'impiété l'homme le plus éminent de son époque et ainsi le condamner à mort. Déçu par la démocratie, il effectue de nombreux voyages notamment dans la grande Grèce où il va être vendu comme esclave par le tyran de Syracuse. Une fois libre il revient à Athènes, crée l'Académie où on y enseigne la philosophie mais aussi les mathématiques et la gymnastique. Platon va y écrire ses plus grands ouvrages, résultats de ses réflexions sur les Idées, la Nature, Dieu

dont il vient de tuer le fils à répéter qu’il n’est pas de mauvaise humeur, « au contraire » ! Il fait preuve de cruauté morale autant qu’il se livre à  des exactions physiques. Il règne par la terreur que répand sa folie. Ubu, de Jarry, est aussi un tyran déséquilibré et grotesque. Aux mauvaises manières partagées avec Caligula, il ajoute la grossièreté dans le langage, ponctuant son discours de « cornegidouille » ou autre « merdre ». C’est un roi fantoche mais tout aussi redoutable, ne réfrénant pas

de Périclès, Agaristè, est une descendante de la puissante famille noble et controversée des Alcméonides et ses liens familiaux ont joué un rôle crucial dans le démarrage de la carrière politique de Xanthippe. Agaristè est l'arrière-petite-fille du tyran de Sicyone, Clisthène, et la nièce du réformateur athénien Clisthène, un autre Alcméonide,. D'après Hérodote et Plutarque, Agaristè a rêvé, quelques nuits avant la naissance de Périclès, qu'elle porte un lion,,. Une interprétation de cette anecdote

Correction de la composition Sujet: La citoyenneté à Athènes au 5eme siècle Avant J-C. A Athènes , comme dans les autres citées Grecques , se met en place des régimes politiques différents. ( Monarchie, Oligarchie , Tyrannie … ) . Toutefois , au 5eme siècle Avant J-C, Athènes va inventer la démocratie. Problématique: Quels sont les aspects de la Citoyenneté à Athènes? Dans une première partie , nous verrons qui est citoyen , puis , dans la deuxième partie nous étudierons les droits des

son destin ne peut être que d'aller à la ruine. Cf. la façon dont Platon montre l'évolution naturelle qui tend à faire dégénérer la démocratie en une tyrannie: l'excès de liberté conduit à l'excès contraire, celui de la servitude qu'instaurera le tyran pour rétablir l'ordre (illustration historique dans l'histoire moderne: la conquête du pouvoir des nazis en Allemagne par des élections démocratiques). b)Héritage des thèmes platoniciens dans les sociétés modernes Ces thèmes platoniciens antidémocratiques

2.surrenchère des détails féeriques. - Redondances : " les grands officiers et les grandes officières ", " les fontaines d’eau…, fontaine d’eau….". Emploi systématique de " mille ". A la fin, cela n’a plus de sens. - Clichés qui surchargent : élevés jusqu’aux nues, fontaines d’eau pure, ornés de mille colonnes. 3. Naïveté de Candide et de Cacambo. - Empressement enfantin ; ils sautent au coup Ecart comique qui prouve que les personnages n’ont pas de recul pour juger objectivement de

CHAP. 16. On atteint au cœur du chapitre XVI un § qui a un sens et une portée politiques extraordinaires. Il énonce et commente les termes d'un pacte (pactum) par lequel seul chacun (unusquisque) s'unissant (coetus) avec les autres forme une société (societas) où il est tenu d'obéir sans que pour autant soit nié son droit de nature. Non seulement ce problème difficile, presque autant que la quadrature du cercle, a une réponse, qui s'appelle la démocratie, mais la solution énoncée ici aura manifestement

accusations contre Alcibiade afin de prendre sa place et d’atteindre sa côte de popularité en l’éliminant et en le dénonçant comme coupable de sacrilège, donc contre la communauté athénienne. De même il cite le « Parti populaire », dirigé par Pisistrate, un tyran qui implique donc la prise du pouvoir par la force. Ainsi, ceux dont parle le texte sont des personnes qui veulent prendre le pouvoir et rétablir une tyrannie sur Athènes, plutôt que la démocratie actuelle. Ils tentent ainsi de mouiller Alcibiade dans