Mac Mahon 16 Mai 1877

de l'opinion dont elle est source. On peut résumer l'analyse de Mona Ozouf en ces termes : la difficile naissance de l'école selon l'opposition entre Eglise et République au travers du prisme de la presse. Chapitre 1 : L'école et les partis 1871-1877 Au travers de ce premier thème, l'auteur dresse le bilan de ce qu'a été l'opposition générale entre parti républicain et parti conservateur au sujet de l'école. Dans un premier temps, Mona Ozouf réinscrit les origines de l'école et pourquoi ce

national qui devient ensuite constituante) au 26 octobre 1795 (date à laquelle expire la convention). En 1788 ce sont des finances catastrophiques qui obliger Louis XVI à réunir les états généraux. Il est accordé le doublement du tiers état, réunis le 5 mai 1789, les états généraux sont encore dans leur forme archaïque, historique. A) La monarchie limité : Après 1789 on tente d’instaurer une monarchie limitée par une constitution écrite. On se trouve dans une atmosphère explosive et la conscience d’être

déchéance de Napoléon III et l'établissement de la République en lieu et place de l'Empire. Un gouvernement provisoire est formé, c’est le Gouvernement de la Défense nationale. Dans lequel Jules Ferry fut Secrétaire du Gouvernement. Nommé maire de Paris du 16 novembre 1870 au 18 mars 1871, il eut la charge, au demeurant quasi-impossible, d'assurer le ravitaillement de la capitale assiégée par l'armée prussienne. Les restrictions alimentaires qu'il impose lui valent les surnoms de « Ferry-Famine » et « Ferry

les quartiers bourgeois où la population ne risquait pas de réagir violemment). Le 2 mars, l'Assemblée approuva la paix à une majorité de 80%; une partie des opposants démissionna, ce qui renforça encore la majorité royaliste. Le traité fut signé en mai à Francfort. C) Conséquences de la défaite sur l'image de l'Allemagne en France. Le 18 janvier, avant même l'armistice, l'Empire allemand avait été solennellement proclamé dans la galerie des glaces du château de Versailles. La volonté d'humiliation

Empire ; s’appliquera jusqu’en 1870) - Constitution de 1875 (composée de 3 lois constitutionnelles : loi du 24 février 1875 relative à l’organisation du Sénat, loi du 25 février 1875 relative à l’organisation des pouvoirs publics et la loi du 16 juillet 1875 relative aux rapports des pouvoirs publics) - Constitution du 27 octobre 1946 (IVème République) - Constitution actuelle du 4 octobre 1958 organisant la Vème République Chapitre 1 : Le cadre du pouvoir politique : l’Etat

qu’on doit l’idée que l’H est détenteur de droits inaliénables, naturels, inhérents à la personne humaine. Dans la DDHC il y du Rousseau (art 6), du Montesquieu (art 16). Deux catégories de règles ds cette DDHC : règles qui contraignent les pouvoirs publics, la souveraineté nationale(art 3 et 6), la séparation des pouvoirs (art 16), le consentement à l’impôt (art 14) et une autre catégorie : les droits naturels de l’homme qui s’imposent à l’Etat. Ces droits naturels ont une vocation universelle

est la m^me pour tous soit qu'elle protège ou punisse. On trouve aussi la condamnation de la vénalité des offices, il est dit tous les citoyens st admissibles à toutes les places et emploi public. 4/ Les orientations sonstitutionnelles L'artcile 16 : tte société ds laquelle les garantie des droits n'est pas assuré ni la sépration des vprs déterminée n'a point de contitution. En réalité cet article veut dire qu'un gvt despothique est un gvt sans consitution. Art 3, aborde le pbm de la svnté et

républicains veulent continuer la guerre. Les monarchistes ont gagnés les élections avec une simple majorité, car les français en ont marre de la guerre surtout en campagne. 396 députés monarchistes et 162 républicains sont élus dans l'assemblée. Le 10 mai 1871, le traité de Francfort, la France perd l'Allemagne et la Lorraine. Les monarchistes auraient du mettre en place une monarchie, mais ils sont divisés en deux camps : les légitimistes qui sont partisans du comte de Chambord (petit-fils de Charles

élections. - Mars-mai 1871 : échec de l’insurrection de la Commune de Paris contre le gouvernement monarchiste. - 24 mai 1873 : Ministère d’ordre moral – mesures contre l’idéal républicain. - Février 1875 : lois constitutionnelles organisant la Troisième république - 1876 : majorité républicaine à la chambre des députés. - 16 mai 1877 : le président de la république monarchiste Mac-Mahon dissout la chambre. Les Républicains l’emportent à nouveau aux élections législatives d’octobre 1877. - 1878 « révolution

si elle n’est pas dénuée d’un esprit de classe face à la bourgeoisie et à la paysannerie. Très vite, la Commune est isolée : les autres mouvements à Lyon, Narbonne et Marseille sont vite réprimés. Thiers constitue une armée de 130 000 hommes sous Mac Mahon face aux 160 000 communards. Lorsque les combats commencent en avril, ils prennent immédiatement un caractère impitoyable : les communards pris les armes à la main sont fusillés, à quoi la Commune répond par l’exécution d’otages. Les forts sont pris