Mac Mahon 14 Décembre 1877

untitledJ E A N E L G A M M A L L E S C O U R A N T S M O N A R C H I S T E S S O U S L A I I I e R É P U B L I Q U E DES MONARCHISTES ENTRE 1870 ET 1940, il a souvent été ques- tion, au travers d’épisodes parfois spectaculaires, d’engage- ments ou d’entreprises plus ou moins discrets, de filiations ou de tradi- tions politiques, ou encore de tentatives de renouveau ou de synthèse1. Le recul électoral de forces qui avaient obtenu une écrasante majorité en sièges lors du scrutin de février 1871

dès les 1ers jours, la France est mal en point. Le 6 aout, l'Alsace est prise. En quelque semaine, les principaux corps d'armée française engagés dans le conflit sont neutralisés. Le maréchal Bazaine est enfermé dans la ville de Metz. Le maréchal Mac Mahon se retrouve lui même encerclé à Sedan avec l'empereur Napoléon 3. La supériorité allemande est écrasante. L'empereur capitule le 2 septembre 1870 : il se rend à l'ennemi. C'est la fin de l'empire. Hors du champ politique, le conflit a marqué les

les plus modérés des monarchistes et bonapartistes de s'y rallier. • Le programme conservateur de l'Ordre moral. ◦ Au printemps 1873, les monarchistes écartent Thiers du pouvoir et portent à la présidence l'un des leurs, le maréchal Patrice de Mac-Mahon qui avait écrasé la Commune de Paris. ◦ Le nouveau gouvernement impose le programme conservateur de l'Ordre moral. Il promet de renouer avec les valeurs de l'Ancien Régime. La loi sur le septennat est votée pour se donner le temps de préparer le

plus et ose affirmer que le retour de la monarchie est impossible. Ses relations avec la majorité monarchiste de la chambre se détériorent et celle-ci l’accule à la démission le 24 mai 1873. Pour le remplacer, l’Assemblée élit le Maréchal de Mac-Mahon, monarchiste convaincu. La réconciliation entre les deux branches dynastiques est alors réalisée. Un compromis est adopté : le prétendant orléaniste, le comte de Paris, s’efface au profit du prétendant légitimiste, le comte de Chambord. Ce dernier

l’Assemblée, il était seul investi par elle d’où l’accroissement de son autorité à la tête du Gouvernement et dans ses rapports avec le Parlement. 2 – Le renforcement des attributions du Président du Conseil . initiative des lois (article 14 C°), exécution des lois (article 47 C° donc suppose la détention du pouvoir réglementaire), pouvoir de nomination, direction des forces armées, il pose seul la question de confiance . Restauration du droit de dissolution (article 51 C°) : le président

encore les républicains de gauche en 1914. Jean-Pierre Minaudier. Lycée La Bruyère, Versailles, octobre 17, 2004. Fr 4.3 Gambetta organisa quatre offensives, mais toutes ses armées se firent battre (ainsi à la bataille du Patay sur la Loire, en décembre). Il y eut aussi des tentatives de poursuivre le conflit sous la forme d'une guérilla: des compagnies de francs-tireurs se constituèrent, mais Gambetta s'en méfiait, les plaça sous le contrôle étroit de l'armée régulière, et ne les utilisa guère

la prod° de soie ou de films. Un capitalisme novateur et audacieux s’affirme : doc 6p81 Si une grde partie des ent restent de petite taille (1à5 salariés). Les secteurs nvx comme électricité ou l’automobile embauchent un personnel abondant : en 14 Cie Gale d’Electricité emploie 3000 salariés à Ivry et Renault 4000 salariés. Mais ce n’est ptt pas la grde ent qui domine et en 1906 seuls 200 étab dépassent les 1000 ouvriers. La majorité travaille dans les petits ateliers. Certains ingénieurs et

force des baillionetes. Le 27 juin, le roi a été obligé de cédé et d’ordonner à la noblesse et au clergé de se joindre au Tiers Etat. A ce moment là, les Etat Généraux, se sont proclamés Assemblé Nationale Constituante. Bien que l’émeute populaire du 14 juillet est accélérée l’évolution, cette assemblé a mis deux ans pour élaborer la constitution. En revanche la DDHC, qui sert de préambule à la constitution de 1791, cette déclaration a été très vite rédigée. In va d’abord étudier cette déclaration

parlementaire : pas de motion ni de droit de dissolution. Mais il y a la distribution des pouvoirs, le roi peut entrer dans la fonction législative, il dispose d’un veto. Veto suspensif pendant deux ans. Cela ressemble à un régime présidentiel 7 décembre Le roi peut bloquer une loi, article 2 il refuse de la promulguer et le parlement doit la refaire. Rien n’est fait pour qu’il ait une issue pacifique en cas de blocage. Le roi utilise systématiquement son droit de veto. Ceci ne plait pas à la population

par des notables provinciaux, monarchistes ou républicains modérés. Une tendance qui se confirme durant toute l’année 48, pendant laquelle aucune voix ne s’élève à droite contre le SU. Ainsi après l’élection au SUD de Louis Napoléon Bonaparte le 10 décembre, l’Opinion publique (journal du parti de l’ordre) écrit : « il nous conduit bien, ne nous défions pas du suffrage universel ».Ils triompheront aux élections du 13 mai 1849. Mais les conservateurs prennent peur du SU qui reste un « sphinx politique »