Lutter Contre Les Superstitions

roman (p. 17-20) et en annexes, les possibilités d’ouverture de l’étude. George Sand et la musique populaire (p. 152-156 et 165) ; les avatars du thème des voyageurs égarés, récurrent dans l’œuvre de l’auteur (p. 57-162) ; les légendes et les superstitions (p. 162-165) ; l’image des paysans (p. 165-166). Exploration • Résumer l’œuvre en différenciant les étapes (les chap. I et II qui ont valeur de Préface, le récit, l’appendice). Qui parle ? Pourquoi ces trois étapes ? Comprendre la signification

passé Chapitre 1: essoufflement démographique XIXs: France (Fr) pays le plus peuplé du vieux continent 1991: Fr au 5eme rang I) vieillissement de la population fr XIXs: déclin natalité en Fr jusqu'en 1911 où taux est de 18,8 pr mille contre 30 en Europe centrale. L'Allemagne et l'Angleterre n'ont pas ce pb. Chute de la naissance liée à la baisse de fécondité (pas nuptialité) car contraception qui passe de l'aristocratie et haute bourgeoisie à ttes les autres classes. Cette contraception

sort.Esclavagisme. 28Candide et Martin écoutent l’histoire du baron et de Pangloss, toujours Optimiste.Luxure, superstition. 29Enfin Candide retrouve Cunégonde, affreusement amochée, et la rachète ainsi que la vieille dame.Enlaidissement de Cunégonde, relativité de la beauté 30Candide achète une propriété où s’installe toute la petite société qui se met au travail pour lutter contre l’ennui. Candide conclut son enseignement en décidant qu’ « il faut cultiver notre jardin. »Exploitation du travail

comme responsable, c’est une malédiction de Dieu. Ex : V.1-2. Cette croyance augmente la terreur des animaux parce qu’on peut pas lutter contre Dieu. * Pour montrer la toute Puissance de la peste, elle est personnifiée «  faisait aux animaux la guerre » , « son nom », « capable », « repent la terreur ». * La terreur de la peste est si forte que les gens par superstition évitent de dire son nom. Au XVIIe siècle, il y a encore des épidémies. La 1ere phrase est très longue avec un recul du sujet

dénigrent les productions des autres » ; ensuite l’ignorance et la fatuité criminelles des médecins : enfin la corruption, la vénalité et les abus de pouvoir des fonctionnaires en la personne de Saint-Pouange. Voltaire entend surtout mener le procès contre certaines formes de religion. Il poursuit là une idée qui lui est chère et qu’il a déjà exposé dans Le Siècle de Louis XIV. De même il relève l’ignorance du bas-clergé incapable de répondre aux questions du Huron concernant la bible. L’évêque n’est

race sémitique[83] qui a la gloire d'avoir fait la religion de l'humanité. Bien au delà des confins de l'histoire, sous sa tente restée pure des désordres d'un monde déjà corrompu, le patriarche bédouin préparait la foi du monde. Une forte antipathie contre les cultes voluptueux de la Syrie, une grande simplicité de rituel, l'absence complète de temples, l'idole réduite à d'insignifiants theraphim, voilà sa supériorité. Entre toutes les tribus des Sémites nomades, celle des Beni-Israël était marquée

L’homme pourra tendre vers le bonheur. Le bonheur réside dans le savoir. Cette relation entre connaissance et vertu dépasse le 18ème (partout). Tous les collaborateurs de l’Encyclopédie ont cherché à lutter contre l’esclavage, pour la liberté (physique et de penser), la libre circulation des idées, contre certaines vérités de l’Eglise, … Bref, toutes ces idées provoquent des gros remous dans la société. TEXTES : A) Quelques aspects de la société ➢ Montesquieu : Né en 1689 et mort en 1755

par un rapport dialectique, et s'il devait donner un fondement à ces rapports, ce fondement ne serait pas économique, mais intellectualiste. Parce qu'il est mathématicien au siècle des Lumières, l'obstacle majeur au progrès est, à ses yeux, la superstition sous toutes ses formes -principalement le catholicisme (84) - ; il ne voit dans les préjugés que l'inertie de l'habitude et, dans les religions ou les mauvais systèmes politiques, que des inventions passionnelles guidées par des intérêts égoïstes

raison et donc de la connaissance. Le secret s’impose pour se protéger des anti-lumières que sont les adeptes de la censure et l’obscurantisme de l’Eglise. Le groupe voulait promouvoir l’éducation de la raison, la philanthropie et s’opposer à la superstition et à l’influence religieuse. Leur fonctionnement est calqué sur celui de la franc-maçonnerie à laquelle Weishaupt appartenait, à priori davantage pour s’approprier les rites que par conviction. On retrouve une initiation, une organisation

malveillants de toutes sortes. Aussi faut-il expliquer le sens original de « démon ». Daimôn, en grec, ne désigne pas le diable, mais une divinité, une puissance divine par opposition à théos, un dieu en personne. Pros daimona, chez Homère, signifie « contre la volonté des dieux », et sun daimoni « avec l’assistance des dieux ». Les daimones étaient des dieux « inférieurs », des « génies ». A posteriori le mot fut pris en mauvaise part : le daimon était mis en rapport avec le destin criminel ou funeste