Lutter Contre Les Superstitions

convaincu une bonne part de la noblesse française – dont la sœur du roi, Marguerite de Navarre, et créent les conditions d’une rupture entre catholiques et protestants. Ces derniers jugent sévèrement les excès scandaleux de l’Eglise de Rome, ses superstitions et la corruption de ses prélats, son influence politique grandissante, renforcée par par les richesses qu’elle dérive de son commerce florissant avec ses principaux alliés, l’Espagne et le Portugal. Les partisans de la Réforme réclament un retour

conjonction astro…) pour choisir le sexe de l’enfant (la fille est un danger pour le patrimoine et l’honneur). _ La compréhension du monde n’est pas rationalisée mais sensible : on croit aux monstres, aux miracles, aux pratiques magiques, notamment contre la stérilité (culte des saints), à toutes choses étranges. Cette « crédulité » n’est pas l’apanage des gens simples mais concerne tt aussi bien le paysan que le médecin, le savant et le roi : c’est un élément constitutif de la culture. _ Le

du débat. Les républicains veulent réduire la religion au domaine privé sans pour autant mettre en cause la liberté des cultes. Ils veulent également développer un enseignement qui échappe à l’emprise de l’Eglise. C’est pourquoi ils décident de lutter contre les congrégations ; « le cléricalisme ; voila l’ennemi » dit Gambetta alors président de la chambre. Dès 1880, les congrégations non-autorisées par l’Etat sont expulsées. Au premier rang les jésuites (acteurs principaux de l’enseignement catholique)

humaine mais qui a aussi parti lié avec les forces du mal et des ténèbres≠Chez Érasme dans son Éloge de la folie, apparaît une folie avc laquelle la raison dialogue mais qu'on évoque pour critiquer l'illusion humaine et sa prétention (religion, superstition). -> une folie tragique/folie apprivoisée. L'écart va se creuser jusqu'au XIX° s. La folie appr, celle de la conscience critique, va aboutir à la science médicale (psycho etc), l'autre qui doit se taire ressurgira dans les œuvres de Goya, Van Gogh

INTRODUCTION : Historiquement, le XVIII e siècle débute à la mort de Louis XIV en 1715, et se termine à la Révolution en 1789. Le siècle des Lumières s’oppose au Moyen Age que l’on a surnommé l’époque des « ténèbres ». C’est le combat de la raison contre la superstition. C’est une période marquée par la pensée rationnelle, l’esprit critique et le discours argumentatif. Le savoir est considéré comme une valeur fondamentale. Pour comprendre le monde environnant, l’homme fait appel aux sciences, à la philosophie

l'homme.   Une autre particularité du philosophe, selon Dumarsay, tient à la conception de sa morale : elle est laïque et non religieuse. Il agit au non de la société civile, qui a remplacé toute forme de divinité. Refusant l'obscurantisme de la superstition, entretenue par l'Eglise, du fanatisme, il s'éloigne de la religion.   Marivaux, dans son « cabinet du philosophe » se pose en observateur du monde et aborde tous les sujets. Il donne un aperçu représentatif de la définition du « philosophe »

éclairant à cet égard.2. Oubli de mots d’une langue étrangère.Pour les noms étrangers, Freud reconnaît qu’il existe une tendance à oublier les mots d’une langue étrangère en fonction de notre état, alors que la langue maternelle semble être mieux protégée contre cet inconvénient. Le mécanisme de ce type d’oubli peut être assimilé à celui de l’exemple de Signorelli. Freud cite l’exemple d’un vers de Virgile, le célèbre vers de Didon : Exoriare aliquis nostris ex ossibus ultor

Homme > être raisonnable (science est son « aliment »), sociable, et actif (« esclave de ses affaires et de ses occupations »). >> Donc genre de vie mixte. Distinction entre Philosophie facile et philo profonde > philo doit lutter la superstition sous toutes ses formes, contre l’obscurantisme > justification de son œuvre qui est une enquête sur la nature de la raison humaine : les pouvoirs / facultés de l’esprit et ses lois. SECTION 2 : A propos de la différente entre ressentir et se souvenir

que les femmes étaient capables d’assumer des tâches traditionnellement confiées aux hommes. Elle demandait que les femmes fussent associées aux débats politiques et aux débats de société. Opposée au régime de la Terreur, elle signe une affiche contre Robespierre et Marat les accusant d’être responsable des effusions de sang. Elle y déclare que le sang même des coupables, versé avec profusion et cruauté, souille éternellement les révolutions. Après la mise en accusation du parti girondin, elle

sur le crâne, à quoi bon le lire ? […] Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous »[2]. Pour lui, une œuvre littéraire doit réveiller la conscience sociale, politique ou historique du lecteur. La littérature est un acte de violence contre cette torpeur dans laquelle nous nous résignons trop souvent. Lire devient alors pour lui, quelque part, un acte de résistance[3]. Mais cette vision de la littérature n’est-elle pas un peu réductrice ? C’est ce que nous allons essayer de voir en nous