Lutter Contre Les Superstitions

Villiers-Cotterêts en 1539 marque la volonté de rendre accessibles les actes administratifs par leur promulgation en français et non plus en latin. Le groupe des poètes de la Pléiade, réuni autour de Ronsard et de Joachim du Bellay défend le français contre le latin. Leur manifeste est l’ouvrage publié par Joachim du Bellay (1522-1560) en 1549 : Défense et illustration de la langue françoise.  L’Italie est un foyer essentiel de la Renaissance européenne. Les échanges économiques, culturels et politiques

spécialise pas, il touche à tout (botanique, mécanique, philosophie, théâtre, médecin etc) La chine: un miroir d’idées (jusqu’à la moitié du XVIIIème)  Voltaire et la sagesse des gouvernements chinois:  « Les Chinois n’eurent aucune superstition, aucun charlatanisme à se reprocher comme les autres peuples. Le gouvernement chinois montrait aux hommes, il y a fort au delà de quatre mille ans, et leur montre encore qu’on peut les régir sans les tromper. »  Voltaire: le philosophe ignorant

religions. Ces dernières ont instauré des règles alimentaires comme des interdits alimentaires et des superstitions. En effet, dans cette œuvre on note la forte présence du pain sur la table. Celui-ci est l’un des symboles les plus important du dernier repas. Ainsi, il était de coutume de faire une croix avec la pointe d’un couteau avant d’entamer le pain. On peut parler aussi de la superstition du « 13 à table ». Le fait d’être 13 à partager un repas « porte malheur ». Cela s’explique par le fait

ailleurs des fruits précoces ; l’on force la terre et les saisons pour fournir à sa délicatesse : de simples bourgeois, seulement à cause qu’ils étaient riches, ont eu l’audace d’avaler en un seul morceau la nourriture de cent familles. Tienne qui voudra contre de si grandes extrémités ; je ne veux être, si je le puis, ni malheureux, ni heureux ; je me jette et me réfugie dans la médiocrité.(Ed. 5.) Il y a une espèce de honte d’être heureux à la vue de certaines misères. (Ed. 4.) L’on voit certains

les autres croyances et toutes les autres pratiques prennent un caractère de moins en moins religieux, l’individu devient l’objet d’une sorte de religion. Nous avons pour la dignité de la personne un culte qui, comme tout culte fort, a déjà ses superstitions. C’est donc bien, si l’on veut, une foi commune […] C’est bien de la société qu’elle tire tout ce qu’elle a de force, mais ce n’est pas à la société qu’elle nous attache : c’est à nous-mêmes. Par conséquent, elle ne constitue pas un lien social

conservateur au patriarcat très présent, et un nord plus libéral. La vie des paysans est remplie de labeur, ils doivent subir au quotidien la difficulté d’avoir du pain à manger tous les jours, de lutter contre la maladie et la mort, le tout sous le poids de la religion et des superstitions. Sans anachronisme, on peut supposer juste titre, que les sentiments amoureux n’ont pas eu autant d’importance pour les villageois qu’ils peuvent en avoir pour nous aujourd’hui. 1. Jean-Louis Rioux, Les

honte ! (Il tourne le dos à la glace.) Comme je suis laid ! Malheur à celui qui veut conserver son originalité ! (Il a un brusque sursaut.) Eh bien tant pis ! Je me défendrai contre tout le monde ! Ma carabine, ma carabine ! (Il se retourne face au mur du fond où sont fixées les têtes des rhinocéros, tout en criant) Contre tout le monde, je me défendrai ! Je suis le dernier homme, je le renterai jusqu’au bout ! Je ne capitule pas ! Texte M : Médée de Sénèque SCÈNE XI : Médée, Jason. […] MÉDÉE Maintenant

la philosophie humaniste du XVI eme siècle, les Lumières ont confiance en la Raison, qui apporte la connaissance et qui peut mener ensuite au progrès. Ceux-ci défendent certain droits et luttent contre certain principes de vis acquis à l'époque A. La Tolérance religieuse Les Lumières luttent contre le fanatisme religieux, qui est un état d'esprit ou une attitude qui considère qu'il n'y a aucune limite dans les actions légitimes d'entreprendre pour faire triompher une religion. Voltaire est l'un

Introduction :Contexte : les femmes pendant la RévolutionAu XVIIIème siècle, sont relancées les luttes des femmes contre les inégalités que leur impose le pouvoir, entre les mains des hommes, aussi bien sous la plume des plus lettrées, telle Émilie du Châtelet, qu’avec l’appui des écrivains qui débattent de la condition féminine et écrivent sur ce thème. Il est alors logique que, quand éclate la Révolution de 1789, les femmes y participent activement.Quelques cahiers de doléances ont laissé la parole

qui serait le point de départ des Lumières. Cette décision, qui relança les persécutions contre les protestants et poussa ces derniers à l'exil, provoqua en effet un mouvement de réaction contre l'absolutisme monarchique et, surtout, contre le fanatisme religieux. Certains, comme Fontenelle, ou Bayle, accusèrent l'Église d'être à l'origine d'un certain obscurantisme, contre lequel la raison devait lutter : les Lumières étaient nées. Ce mouvement prend fin, vers 1804 année du sacre d'empereur de