Loi Du 16 Et 24 Aout 1790

exercer. ! Rendre la justice est aussi un devoir de l’Etat. L’Art. 4 du Code Civil punit le déni de justice par des sanctions disciplinaires: « Le juge qui refusera de juger, sous prétexte du silence, de l'obscurité ou de l'insuffisance de la loi, pourra être poursuivi comme coupable de déni de justice. » ! ! b) L’assouplissement du monopole de l’Etat: l’arbitrage Depuis plusieurs décennies on constate un très net développement du règlement des litiges en dehors de l’intervention

Montesquieux) sans séparation pas d’etat de droit. Révolution de 1789 receulli ses idées et les posa de la facon la plus dogmatique a l’atcl 16 de la DDHC. « Toute société dans laquelle la séparation des pouvoir n’est pas déterminer n’a pas de constitution »= cela montre l’importance de la séparation des pouvoirs. Pvrs juri apparait dans la loi du 16 et 24 aout 1790, il est proclamer que se pouvoir est independant du pvr legislatif et executif, cela pose l’independance du juge. Independant n’est pas que

continuité de la construction et de l’évolution de la République et affirme la liberté des consciences, qui permet à chaque citoyen le choix de ses convictions religieuses. C’est en effet une notion très ancienne qui apparaît déjà avant 1905 et la loi du 9 décembre 1905 qui établit une séparation entre les Églises et l’État. C’est principalement l’action des républicains en 1879 et 1905, soutenus par une majorité électorale pourtant massivement catholique, qui a donné à cette séparation les traits

une nécessite. Cela vient du principe fondamental : nul ne peut se faire justice a lui même, donc on désigne des personnes qui seront habilité a trancher, juger ces litiges. Ils doivent être impartial, respecté pour son autorité qu’il va tenir de le loi. Pour que cette justice puisse être rendue, il y a donc des institutions qui permettent que justice soit rendue. Il existe donc différentes institutions, différent juges et différentes façon de juger. Institutions judiciaire : composition de chaque

qui guidait ses rédacteurs est lui, toujours actuel. En offrant une vision d’ensemble des textes, la codification concourt d’abord à la lisibilité et à l’intelligibilité de la norme ; elle facilite l’accès au droit et participe donc au respect de la Loi. Eprouvée au fil des codifications antérieures, la méthode suivie par les rédacteurs du Code de 1810, comme leur source d’inspiration est remarquablement restituée par les documents présentés. L’exposition révèle aussi combien demeurent actuels les

Institutions juridictionnelles. Titre 1 : l’organisation des juridictions. Énoncé dans la loi de 1790 et de 1892. On observe aussi qu’il existe des juridictions qui relèvent ni de l’ordre judiciaire ni de l’ordre administrative. Le conseil constitutionnel est incontestablement une juridiction, il ne relève d’aucune juridiction. Les juridictions de l’ordre judiciaire constitue une organisation a la tète de laquelle se trouve la cour de Cassation, toute juridiction qui relève directement

suivent ce mouvement et se dotent d’une municipalité et d’une garde nationale. Les fédérations servent de relais au processus de révolution dans les provinces (en 1790 : une seule et unique fédération) - grande peur dans les campagnes - nuit du 4 Août 1789 : abolition des privilèges par l’Assemblée. Egalité civile votée - Août 1789 : le Roi est vu comme un mandataire naturel et héréditaire qui conclut un pacte avec la nation. Il n’a plus le pouvoir constituant mais son existence physique

accentue cette tendance avec les lois des 16 et 24 aout 1790 dans son article 13 qui dispose que le juge a pour interdiction de troubler les opérations des corps administratifs. Cela est dû à la mauvaise expérience de l’ancien régime et de plus car les juges ne sont pas élus et ne sont donc pas des représentants. Le juge ne doit donc pas faire la loi mais seulement l’appliquer. Hors juger l’administration ce n’est pas faire une application stricte de la loi, il ne se cantonne pas à un texte, il est

JAVARY Le Conseil dʼEtat et la loi Lʼarticle 6 de la déclaration des droits de lʼhomme et du citoyen proclame que la loi est lʼexpression de la volonté générale. Ce principe est au coeur de la philosophie de Jean Jacques Rousseau et explique lʼhostilité des révolutionnaire vis a vis de toute forme de contrôle de la loi par une autorité autre que le pouvoir législatif. Cette méfiance s'exprime bien dans lʼarticle 10 du titre II de la loi des 16 et 24 aout 1790 sur lʼorganisation judiciaire au

avec ses faiblesses, ses passions, ses imprudences Jusque 1870 ( principe de l’irresponsabilité de l’état, du fonctionnaire et du service ( première application BLANCO Loi de 1957, quelque soit la nature du véhicule c’est le juge judiciaire qui est compétent. Application de droit privé est compétence du juge judiciaire. + Loi Badinter. Faute simple ou lourde, il faut faire une distinction entre l’activité matérielle (sur le terrain) faute lourde et l’activité juridique (dans les bureaux) faute