Loi Definit Ce Qui Est Juste

ce  « ius » était distingué de la « lex » (projet de loi) qui ne prend valeur qu’une fois qu’il a été approuvé. Ce terme de « ius » est en rapport direct avec le verbe « iurare » qui signifie prêter serment. Il y a un lien entre le « ius » et l'oralité et également avec le sacré. Le terme de « iudex » (le juge) est celui qui dit avec autorité de « ius » et qui en disant ce « ius » le révèle. Le juge à Rome est celui qui révèle le droit. La loi, « lex » est lié par la lecture qui vient de « lection » 

Définition du droit : * c’est la faculté de faire quelque chose, d’en jouir, d’y prétendre, de l’exiger * ce qui est juste * se dit de l’ensemble des lois écrites ou non écrite Le droit objectif peut être scindé en plusieurs catégories  Plan : 1- aperçu général du droit objectif 2- droit subjectif I- le droit objectif le droit peut être définit comme un ensemble de règle destiné a organiser la vie social. Il s’agit de délimiter la part de liberté et de contrainte

 La justice et le droit (la politique) Si la morale nous dit ce que nous devons faire (le devoir), le droit définit ce qu'il nous est permis de faire. La justice est souvent considérée comme la principale vertu morale : la justice est la source des autres vertus et la condition de leur exercice harmonieux car elle renferme tout ce que l'on doit à soi-même et aux autres. Pour autant droit et justice coïncident-ils exactement ? Il y a bien des cas où la réponse est négative : que penser

prétendent experts, comme les sophistes par exemple, ou qu'ils soient simples citoyens de la cité. "qu'est-ce que le juste?" ou "qu'est-ce qu'être juste?", "qu'est-ce que le vrai?" Or ces deux questions en apparence très éloignées sont en fait étroitement apparentées car la justice ne peut être rendue sans que ne soit établie la vérité des faits que l'on juge, et de même la vérité se définit toujours comme un jugement, une sentence rendue sur le réel qui se désigne comme vraie à condition qu'elle corresponde

individu, cela se rapproche de “la liberté de pensé”. Cependant la libeté aux sens pure implique l’absence de contrainte qui n’est pas possible dans un système politique et social, donc dans une société qui repose sur des règles strictes sur la loi. La loi implique forcément une contrainte pour l’individu. Nous voyons ici la problématique du sujet.Dans ce contexte, est-on libre d’être soi ? Comment être soi dans une société reposant sur des conventions et des lois contraignants les individus de cette

tous les même libertés et respecter celle des autres. De plus, pour assurer toujours ce savoir vivre et pour assurer les liberté individuelles de chacun, il est essentiel de rappeler que la société humaine est une société politique. La politique se définit par l’art de gouverner les Hommes. Une société politique est donc une société régis par des institutions et des lois, de sorte à former une organisation politique au sein de cette société que l’on appelle l’État. L’État a pour but de veiller au respect

l’aide juridictionnelle en 1991. Arrêt : Décision de justice rendue, soit par une cour d'appel, soit par la Cour de cassation, soit par les juridictions administratives autres que les tribunaux administratifs. Citoyenneté : La citoyenneté se définit comme un statut politique étroitement lié a la nationalité, c’est le statut politique des individus formant la communauté nationale Clause compromissoire : Clause d’un traité ou d’un contrat, le plus souvent commercial ou privé, par laquelle les

Introduction : Le droit et la morale entretiennent depuis que l’homme s’est érigé en société, car ubi societas, ibi jus, de proches rapports. On pense notamment aux premières règles du début de la civilisation par exemple : les tables de la loi chez les hébreux. Il y était inscrit un certain nombre de commandements, de règles, toutes à caractère moral. On retient à ce propos un commandement de nos jours célèbre : « tu ne tueras point ». Cette règle vise ostensiblement le bon maintien de la vie

Chapitre 8 Idéal démocratique et inégalités I- L’idéal démocratique A- Le dilemme égalité-liberté • On parle d’égalité dans trois cas: → Égalité des droits: tous les individus sont égaux devant la loi (il n’y a plus de privilèges juridiquement institués) → Égalité des chances: tout individu peut accéder aux positions sociales que lui permettent ses talents. Permet d’avoir une société méritocratique. → Égalité des faits: rapprochement des situations concrètes, du niveau

l’état. Il relève clairement de nos relations. Ce n’est pas parce qu’on trouve qu’une loi est mauvaise, qu’on peut ne pas y obéir … elle est valable pour tous ! Les règles juridiques, on peut les discuter mais tant qu’elles sont en vigueurs, on doit les appliquer. On voit ainsi apparaître des conflits majeurs, par exemple pour l’avortement. D’un point de vue moral, on peut être pour ou contre, par contre si la loi l’autorise, on ne peut pas empêcher que quelqu’un aie contre. Donc dans les sociétés