Leçons Pronoms Personnels

Mais un certain nb d’allusions à l’actualité de La Fontaine confèrent à cette fable une dimension critique et ce ds le domaine sensible de la politique conquérante de Louis XIV. Le recours au pronom personnel de 4ème personne du vers 31 « Défions-nous … à nous » permet à l’auteur de jouer sur les différentes valeurs du « nous ». Sa fonction généralisante plus réduite que celle de l’adjectif indéfini « tout » semble limiter la portée de la moralité à un groupe ou un domaine relativement restreint

ces verbes est le pronom indéfini « on ». Remarque : attention à la formulation de la question – « Quel en est toujours le sujet ? » signifiant « Quel est toujours le sujet (grammatical) des verbes (de la question précédente) ? ». c. Les verbes « harcèle », « traverse », « brise », « cherche », « tourmente » et « lance » appartiennent au champ lexical de la violence, de l’agressivité ou de la persécution. 4. a. Dans les vers 1 à 5, les trois formes différentes du pronom personnel qui désigne le

sont à l’impératif, rappeler que, dans ce cas, le verbe n’a pas de sujet exprimé ; les phrases réduites ne contiennent donc plus que des groupes verbaux. * Faire souligner les compléments des verbes. * Demander à l’oral de distinguer le GN des pronoms compléments * Demander d’indiquer le GN représenté par chaque pronom.Introduire l’expression complément d’objet. (direct car il est directement relié au verbe), il fait partie du groupe verbal, c’est un élément de la phrase minimale qui ne peut

s’intercaler entre le déterminant et le nom : « Elle a jeté ses vieilles robes ». On peut le remplacer par « son » ou « sa » (déterminants possessifs au singulier). Ex: Elle est allée voir ses frères. Elle est allée voir son frère. c’est : « c’ » pronom démonstratif + verbe « être » à l’indicatif présent, 3e personne du singulier. c’ est le sujet du verbe être. On emploie souvent c’est comme présentatif, dans une phrase à présentatif : « C’est mon frère qui téléphone », et c’est… que : «C’est

puis le discours hypocrite de Tartuffe. I] L'éloge d'Elmire fait par Tartuffe Tartuffe complimente,avance et justifie son amour par certains propos : L'amour qui nous attache : Tartuffe considère donc que Elmire est amoureux de lui → pronom personnel « nous », implication de Elmire aux beautés éternelles : termes mélioratifs des ouvrage parfaits : périphrase qui caractérise la femme ( c'est à dire Elmire) et ses atouts Adjectifs parfaits qui monte une certaine dévotion, admiration presque

. Enfin Rabelais crée une chute «est sortie par l'oreille gauche(enfant) sorte de dénouement à ce récit.on a bien récit structuré, rythmé B. Ce texte est discourt vivant 1.Le genre de ce texte est un discourt L1«je me doute» emploi du pronom personnel «je» «nous avons déclaré» 2.Rabelais va parler de Trivial L12 «en la tâtant vers le bas». Il y a aussi un discourt vivant par les mots «Brisepail, St Genoux... Travail sur les sonorités et sur le plaisir de raconter C.Une naissance étrange

attitudes, sans le recours à la parole. Faire une pose dans le programme. Faire une pause dans le programme. Fais vite que je ne sois pas en retard. Fais vite afin que je ne sois pas en retard. Fais-le pas ! Ne le fais pas (on place le pronom avant le verbe). Faut mieux venir ! Il faut venir ! Mieux vaut venir ! Féliciter ce qui le mérite. Féliciter ceux qui le méritent. Filer du mauvais coton. Filer un mauvais coton. Fini les vacances au bord de la mer ! Finies les vacances

Cette peur est soulignée par la triple répétition de "aucune" (l.6) dont le rythme ternaire insiste sur le grand soin qu'elle apporte à sa réputation, à son "renom" (l.5). Le poids du qu'en-dira-t-on est également marqué par la répétition du pronom personnel sujet "on" aux lignes 3, 6, 7 et 9. Face à cette crainte, elle s'impose "sagesse" (l.2) et "prudence" (l.3) dans son comportement habituel exprimé par le temps de l'imparfait dans le premier paragraphe (...)

sont mis en valeur et exprimée par la répétition du pronom personnel "elle" : "elle n'avait", "elle contemplait", "elle arrêta", "elle s'oublia". Il s'agit aussi pour l'auteur de montrer le début de l'adultère avec l'expression "Ce regard droit semblait pénétrait en elle" qui semble avoir une connotation sexuelle ; dans cette phrase "ce regard droit" désigne Laurent, "semblait pénétrait" exprime l'allusion sexuelle et "elle" est le pronom personnel qui désigne Thérèse. II) Le portrait physique

présent de répétition. Elle subit ces assauts de façon répétitive. b-Le sujet de ces verbes est toujours le pronom « on ». c- Ces verbes appartiennent tous au champ lexical de l’agression. 4- Les pronoms désignant le locuteur sont « moi » vers 1, « me » à 7 reprises dans les vers 2 à 5 et le pronom personnel sujet « je » au vers 5. b- La forme la plus fréquemment employée est le pronom « me ». Sa fonction grammaticale est COD au vers 2. 5- Elle subit des agressions nombreuses et répétées de