Lexique De La Souffrance

en évidence le caractère contradictoire de ce passage : le smots “chasse” et “frémir” orientent vers le registre épique, l’expression “coûta cher” vers le tragique et l’expression “chasse aux pommes” vers le comique. -le statut de l’épisode : le lexique et l’indicatif présent créent un effet d’insistance pour montrer la persistance du souvenir pour l’auteur. Le reste du paragraphe renforce cette idée de persistance par l’énumération de nombreux détails précis (“j’étais seul”, “j’allai chercher”

dernière passerelle" répétition de la même conjonction de coordination au début de chaque phrase "en la voyant belle de terreur et d'amour" antithèse "les souvenirs des scènes cosécantes","des joies délirantes de sa passion triomphèrent dans son âme" lexique de la volupté Face à ce tableau Pauline est tiraillée par des sentiments contradictoires qui réveillent le désir violent de Raphael "passion triomphèrent dans son âme depuis longtemps endormis et s'y réveillèrent comme un foyer ma éteint" comparaison

réelle à la lumière du jour : la personnification de la lumière avec l'adjectif « palpitante « renvoie à l'état dans lequel est Dorian Gray : c'est son cœur qui palpite face à cette découverte  : autrement dit il a peur.Cette idée est renforcée par le lexique de l'épouvante : la bouche est «  une grimace » , lignes de cruauté » « horrible » = la déformation de sa bouche est la marque de sa méchanceté , de son vice ( voir ce qu'il a fait à Sybille) et l'image du miroir appuie l'idée que le portrait déformé

parler son cœur, d’où un certain lyrisme parfois. Quels sont les caractères intimes et familiers qui permettent à l’auteur d’exprimer sa souffrance. La problématique se décline en deux temps. Dans une première partie, il y est détaillé les caractères intimes et familiers au poème. Dans une deuxième partie nous prouverons comment Eluard y exprime sa souffrance. Notre vie, est composée de trois quintiles organisés en alexandrins. Les vers ne se terminent pas par une forme fixe de rimes. Nous

tragique avec un lexique affectif très marqué : la dénotation affective est présente, avec « tristesse » et « tendresse » qui riment ensemble et sont ainsi mis en valeur, dans les vers 9 et 10, et« pleurs » dans le vers 10. Mais Clytemnestre attaque Agamemnon en argumentant que cette tendresse est fausse. Ainsi, elle emploie le verbe « feindre » dans le vers 9, le nom « artifice » dans le vers 6, qui mettent en relief l’hypocrisie qu’elle reproche à Agamemnon. Elle oppose ce lexique affectif à des

tragédies comportent aussi d’autres registres : le pathétique, le délibératif, l’épique, le lyrique. Notes personnelles : Le pathétique : Origine : Du grec pathos : la souffrance. Objectif : susciter la compassion du lecteur ou du spectateur, toucher sa sensibilité, l’émouvoir Les procédés du registre pathétique : lexique : champ lexical de la douleur et des larmes, forte charge affective phrases interrogatives, exclamatives, points de suspension, interjections, rythmes brisés énonciation :

rationalité, les décisionnaires sont des « sages », la décision est appuyée par des instances sérieuses : « l’université de Coïmbre », = raison et du savoir. Efficacité assurée, ton de la certitude : « moyen plus efficace »/ « secret infaillible ». Lexique religieux (spécialisé) : « san-benito », « mitres », « procession », « sermon », « faux-bourdon », « prêché », « absous », « béni ». L’événement est présenté comme habituel et rituel : « quoique cela ne soit pas la coutume ». b) Un spectacle

est extraite. 2. a. L’énonciateur est Gaston Biron et le destinataire est sa mère et au-delà sa famille (« vous tous », l. 19). Ils entretiennent des rapports très affectueux : « ma chère mère » (adresse l. 1, 11, 22), « ce fut ma plus grande souffrance que l’idée de ne jamais vous revoir » (l. 20-21), « Ton fi ls qui te chérit et t’embrasse un million de fois » (formule de clôture l. 34). b. La lettre est écrite après l’un des combats qui constituent la bataille de Verdun, le samedi 25 mars

l’université de Coïmbre », le mot université renvoie bien sûr au règne de la raison et du savoir. Présence du connecteur logique « en conséquence ». • Efficacité assurée, ton de la certitude : « moyen plus efficace »/ « secret infaillible ». • Lexique religieux (spécialisé) : « san-benito », « mitres », « procession », « sermon », « faux-bourdon », « prêché », « absous », « béni ». • L’événement est présenté comme habituel et rituel : « quoique cela ne soit pas la coutume ». b) Un spectacle

(dans les quatrains) et le processus de la passion (tercets), si bien que l’on rencontre de nombreux termes appartenant au champ lexical de l’affectivité. Ces derniers s’organisent autour d’une antinomie plaisir/ souffrance (plaisir : je vis/ joie/ je ris/ plaisir/ désiré heur et souffrance : je meurs, je larmoie, tourment, j’endure, douleur, grands ennuis, premier malheur). Louise Labé emprunte également à la lyrique amoureuse traditionnelle certaines métaphores naturelles (eau, feu, végétal) :