Lexique De La Souffrance

action est intense ( = rythme, tension,suspense,violence) ; cela vient du mot grec « drama » signifiant action. Tragique : quand un personnage sent peser sur lui la fatalité qui le conduit vers la souffrance ou la mort. Pathétique : quand une scène est très émouvante car elle montre la souffrance humaine. Lyrique : expression des sentiments personnels (fréquent en poésie). Réaliste : L’inverse du romanesque : donne l’illusion de la réalité en soulignant ses aspects ordinaires, imparfaits

camps : dire l’indicible ? La libération et la victoire apportent la révélation des « camps de l’enfer » et permettent le rapatriement des déportés. La poésie a été, pour certains d’entre eux, une source de réconfort et un moyen de conjurer leur souffrance : ils composaient des poèmes dans leur tête, sans crayon, ni papier ; ils les ont retranscrits plus tard, de mémoire, à leur retour. Une poésie ancrée dans un contexte Les poèmes de la Résistance et de la déportation portent la trace du contexte

expression de l’animation et de l’incarnation (animation des objets, apparitions). Il y a une ambiguïté entre le réel et l’irrationnel. Le personnage ne sait pas si ce qu’il perçoit est réel ou non. LE REGISTRE PATHETIQUE Il naît de l’évocation de souffrances poignantes : des personnages généralement faibles sont confrontés à la violence, à la maladie, à la mort d’êtres chers. LE REGISTRE COMIQUE Il peut faire appel à l’humour, au comique verbal, à la parodie, au burlesque, à la caricature. On

présidente avant sa mort, son dernier échange de courrier car sa santé se dégrade de plus en plus rapidement depuis son entrée au couvent. Par ailleurs, la présidente est très tourmentée, se sent abandonnée et perdue. Cela est visible par le lexique dépréciatif de la mort, elle veut en finir. A de nombreuses reprises elle fait référence à Dieu, la religion s’inscrivant dans un registre fantastique « Laisse-moi: je frémis! Dieu! C’est ce monstre encore! », « Le ciel a pris ta cause; il te venge

ans, le 2 mai 1857, à peu près oublié : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise. Analyse : * Alfred deMusset y parle des sentiments, émotions personnelles . Ses thèmes de prédilections sont la douleur, la solitude, la souffrance, l’incompréhension,.. et bien d autres. On retrouve dans son œuvre destraces du Mal du siècle , des themes recurrent : la nature, la déception, la frustration, mal aise, la mélancolie, la solitude et la fuite du temps. Son double est la solitude

moment dramatique. I) Un monologue lyrique A. Une forme poétique Cette Stance est formée de 6 dizains hétérométriques. Chaque dizain s’achève par une rime féminine (peine, Chimène) B. Un registre lyrique * Présence du « je », * lexique affectif : ma peine, mon âme. * Accentuée, portée par l’expression du sentiment amoureux « feu, flamme » * Désignation classique de Chimène : «mon plus doux espoir » * Intonation élégiaque, pathétique : « Malheureux objet », « mal infini »

……..: « boitant légèrement », « il réussit péniblement à s’asseoir »Les signes de la souffrance physique : « Aïe ! Mes jambes, mes reins. », « Il est devenu bien dur ce trône »Les réactions de Marie : personnage qui porte tout le pathétique envers le Roi, avec son « air désolé » l. 358 : « vous avez mal, je vais vous soutenir » et qui refuse

différentes figures des exilés - le cygne = double de l’albatros (cf. oxymore « ridicule et sublime ») ; souffrance au vers 36 renforcée par allitération en [r] « rongé d’un désir sans trêve » et l’exclamation (exil dans un monde hostile qui n’est pas le sien) - Andromaque = double du poète également dans la mesure où elle tente de retrouver le paysage de sa patrie perdue (exil spatial) (souffrance soulignée dans la déploration lyrique par « hélas » et exclamations du vers v 40 de même que par une syntaxe

nobles, de périphrases et de lieux communs mythologiques particuliers. La poésie romantique va se dégager de ces contraintes. Le premier succès romantique fut les Méditations poétiques de Lamartine, qui restent classiques par bien des aspects (lexique, syntaxe), mais où l'on trouve des mots du langage ordinaire, des vers impairs et des strophes novatrices. Les romantiques expérimenteront ainsi toutes sortes de strophes et de versifications. Le romantisme est moins une libération des contraintes

d'une morale et d'un écrit implicite -Morale implicite => "terrible" II- Le poéte exprime une dénonciation explicite. (= argumentation) • Procédés d'insistance => Gradations • Lexique violent Conclusion : Ainsi, ce poème argumentatif dénonce la solitude et la souffrance du pauvre, de celui qui a faim et sera condamné pour crime. Le poème mêle les registres, il va du pathétique au tragique mais ce que l'on retient de son poème c'est son originalité, sa fantaisie