Les éléments Constitutifs De La Banqueroute

dirigeants engagent aussi leur responsabilité pénale dans l’exercice de leur fonction. B : La responsabilité pénale des dirigeants sociaux. Dans l’exercice de la mission qui leur est confiée, les dirigeants sociaux peuvent commettre des faits constitutifs d’infractions pénales (1). Ils engagent de ce fait leur responsabilité pénale et se voient appliquer des sanctions (2). 1) Les infractions imputables aux dirigeants sociaux. Le droit pénal a prévu un certain nombre d’infractions relatives

II : La détermination des sanctions relatives aux infractions commises par les banquiers : 10 1) Les sanctions relatives à la complicité pour banqueroute par l’utilisation des moyens ruineux : 10 1-1) La définition et présentation du contexte du délit de la banqueroute : 10 1-2) Les sanctions relatives à la complicité de la banqueroute : 11 2) les sanctions pour violation du secret professionnel : 12 2-1) la détermination du champ d’application : 12 2-2) L’application

théorie générale de la responsabilité pénale et les règles régissant l'incrimination et la sanction. Le droit pénal spécial traite, quant à lui, de chacune des infractions prévues par un texte en fixant, conformément au principe légaliste, leurs éléments constitutifs et la peine encourue. Ainsi, peut-on dire que « le droit pénal général est au droit pénal spécial ce que le droit civil des obligations est au droit des contrats spéciaux » . (Référence, J-H.Robert, « Droit pénal général », PUF, coll. «

fiscal, le droit pénal douanier etc… On peut donc observer que le droit pénal prend en compte cette réalité économique et va donc juridiquement la définir. Le professeur Despax explique que l’entreprise se définie juridique à partir de deux éléments. Le premier élément consiste à dire que l’entreprise est une structure qui a une activité économique organisée. Cela exclut l’activité économique fortuite. L’auteur ajoute que l’entreprise possède un but lucratif. Le droit propose donc une diversité, plusieurs

disciplinaire………………………………………….14 Introduction : Le banquier est un commerçant dont le rôle est primordial dans la vie économique, cependant son commerce est dangereux, car les biens qu’il reçoit et qu’il véhicule sont matérialisé par l’argent, cet élément qui confère la puissance et qui suscite les convoitises. La responsabilité est donc soit contractuelle soit délictuelle : * En matière contractuelle, le banquier sera réputé en faute en cas de non exécution ou d’exécution défectueuse du contrat

constater, sans pouvoir agir. Néanmoins, il aura toujours la possibilité de solliciter la saisine d’office par le tribunal de commerce en communicant officieusement au président du tribunal du commerce, ou officiellement au juge-commissaire les faits constitutifs de cette sanction patrimoniale. Il peut également, lorsqu’il intervient en tant partie jointe, jouer un rôle positif en fournissant au tribunal de commerce un avis réfléchi. Il est à souligner que l’extension de la procédure de redressement ou

Délit; 3ans pour déposer plainte, contravention 1an, amende) Peines privatives de liberté et civiles (Dommages et intérêts). Pour qu'il y'est "infraction" faut relever 3 éléments légal Matériel (Ex: Cambriolage bijouterie " l'action en elle-même") Intentionnel (lorsqu'on agit en toute conscience) Si l'un des éléments est manquant  pas d'infraction Il existe deux actions en justice: 1) Action publique: même si la victime pardonne le procureur n'accepte pas le pardon (donc la peine sera

pénal n'est pas applicable à des actes commis avant son entrée en vigueur. Il y a alors survie de la loi ancienne, même si ces infractions donnent lieu à un procès après l'entrée en vigueur de la loi nouvelle. « Seuls sont punissables les faits constitutifs d'une infraction à la date à laquelle ils ont été commis. Peuvent seules être prononcées les peines légalement applicables à la même date. Toutefois, les dispositions nouvelles s'appliquent aux infractions commises avant leur entrée en vigueur

les clients puissent développer leur activité Le banquier est un commerçant dont le rôle est primordial dans la vie économique, cependant son commerce est dangereux, car les biens qu’il reçoit et qu’il véhicule sont matérialisé par l’argent, cet élément qui confère la puissance et qui suscite les convoitises. La responsabilité est donc soit contractuelle ou délictuelle, pénale et disciplinaire : * En matière contractuelle, le banquier sera réputé en faute en cas de non exécution ou d’exécution

droit. Les statuts des villes commerçantes européennes de l’époque pré- capitaliste (XVème siècle) traitent sans ménagement le commerçant qui fait faillite ; en Italie, ou casse, au sens propre, son banc ou son échoppe (banca rota, origine de la banqueroute), et lorsque le Pouvoir Royal se penche en France sur la question avec les ordonnances sur le commerce de terre de 1673, c’est avec le souci de protéger le développement économique naissant et la sécurité des échanges commerciaux. Le Code de commerce