Les élites Des Cités

Sénat de Rome. Néanmoins, en 48, grâce au discours de l'empereur Claude, le droit d'accès au Sénat a été octroyé à toutes les provinces gauloises. Les élites gauloises ont largement accepté le contrôle romain elles s'intègrent à l'Empire et fournissent de nombreux sénateurs. Les territoires des peuples gaulois sont transformés en cités, ces dernières forment « l'unité de base » à l'intérieur de chaque province gauloise. Les bâtiments sont construit sur le model Romain, comme les théatres par

Salamine. Cette victoire a donné à Athènes le rayonnement de sa flotte marine. Mais, pour Athènes, cela signifie que « la classe des gens de peu » est mise en avant. Au final, ce qu'on mesure, c'est que les guerres médiques ont continué à diviser les cités grecques, non seulement entre elles mais aussi au sein d'elles-mêmes. On voit Platon se désolidariser d'Athènes, ces guerres ayant ruiné son rêve de mettre en avant les intellectuels, les « meilleurs ». Pour Platon, de plus, ce qui est grave avec ces

un concept assez lointain. Il ne date pas du XIXème siècle, comme nous pourrions le penser mais bel et bien de l'Antiquité. Cette idée chez les philosophes grecs se retrouve dans un cadre particulier qui est la cité. La démocratie est née dans les cités grecques, Athènes en particulier, aux VIe et Ve siècles avant J-C. La démocratie antique est une démocratie limitée et directe, dans ce cas, le pouvoir va directement être exercé par le peuple ou représentative, c’est-à-dire que le pouvoir va s’exercer

exercice d'archevêque et évêque dans les paroisses des campagnes, inversement avec des migrations religieuses vers des villes de pèlerinage où reposent les reliques de Saints, concentration des élites en ville (noble, officiers, notables citadins) qui renforcent la supériorité culturelle et politique des cités. B) La ville comme lieu de commandement économique → villes marchés, lieu traditionnel des marchés et des foires là où le sprooduits des campagnes sont commercialisés → essort du grand

même, en -184, Caton l'Ancien, dans ses discours transmis par Tite-Live, flétrit le philhellénisme ambiant4 et combat l'abrogation de lois somptuaires (loi Oppia). Toutefois, certaines familles, notamment les Scipions5, vont faire évoluer le goût des élites. Au printemps 215 avant Jésus Christ, Hannibal s’allia avec Philippe V de Macédoine. C’est ainsi que débuta la première guerre de Macédoine[8]. Cependant, cette alliance ne fut pas des plus heureuses. [pic] Buste de Philippe V, musée

général  : Athènes est une cité parmi d’autre : la plus puissante et la plus riche au moment où nous parlons, certes, mais pas pour autant la seule. Vous voyez sur la carte de nombreuses cités qui sont indépendantes les unes des autres : Sparte, Olympie ou Corinthe, en sont quelques-unes. Ces cités sont reliées entre elles par un réseau d’alliance ou se font la guerre (doc 1 p42). Ce n’est pas non plus une simple ville avec des murs et des maisons : la polis grecque regroupe

naissance mais ont des droits civils identiques aux citoyens romains (commerce, mariage, propriété, justice…) Les pérégrins (étrangers vivant dans l’empire). Ils sont les plus nombreux (40 millions au 2ème siècle) et restent des membres des tribus ou cités des provinces conquises. Les esclaves, très nombreux, ils n’ont aucun droit. Seuls les hommes peuvent être citoyens, les femmes et les enfants sont soumis à l’autorité du père, chef de la famille. II. La Romanisation de l’empire et l’extension

conquises → gouverné par ancien magistrats tiré au sort Pax romana → assuré par armée (150000 hommes) Devenir citoyen → par naissance ou décision de l'empereur Toge virile → 17 ans Droits politiques → tres limité (volontaire seulement) et membres élites sociale Ordre sénatorial → avoir au moins 1M de sesterces Ordre équestre → avoir au moins 400.000 Eux seulement peuvent devenir magistrat ou administrateurs. Donc la prééminence des riches est renforcé par Auguste Pour pas de révolte → distribution

à l'ouest. Antiquité. Des traces d'occupation humaine sont attestées dès le néolithique sur le site de l'Acropole (voir Pélasges), sous la forme d'un petit fort. Mais ce n'est que suite aux invasions ioniennes que l'Attique se voit organisée en cités, parmi lesquelles Cécropia, la future Athènes. Vers 1400 av. J.-C. elle devient un centre important de la civilisation mycénienne. Au contraire des autres villes mycéniennes (dont Mycènes et Pylos), elle n'est ni pillée, ni abandonnée lors de l'invasion

leur système administratif et transformèrent profondément les peuples conquis. Ils n'imposèrent pas vraiment le latin aux vaincus; ils ignorèrent simplement les langues «barbares» et s'organisèrent pour que le latin devienne indispensable pour les élites local Cependant, il ne faudrait pas croire que c'est le latin de César et de Cicéron, qui s’imposa dans les colonies. Le latin employé par les fonctionnaires, les soldats, les colons romains, de même que celui des autochtones assimilés, était différent