Les Stratégies De Gestion De Portefeuille Obligataire

défaillance brutale, perte = valeur d’achat Si dégradation progressive, possibilité de céder les instruments sur le marché, mais avec une décote. ! : Pour les instruments dérivés négociés de gré à gré, cette facilité disparaît souvent. 1.2. La gestion du risque de contrepartie :  Le risque de contrepartie comporte 2 aspects :  un aspect externe lié à l’insolvabilité de l’emprunteur, et un aspect interne qui tient à la façon dont la banque organise la fonction distribution de crédit.

défaillance brutale, perte = valeur d’achat Si dégradation progressive, possibilité de céder les instruments sur le marché, mais avec une décote. ! : Pour les instruments dérivés négociés de gré à gré, cette facilité disparaît souvent. 1.2. La gestion du risque de contrepartie : Le risque de contrepartie comporte 2 aspects :   un aspect externe lié à l’insolvabilité de l’emprunteur,  et un aspect interne qui tient à la façon dont la banque organise la fonction distribution de crédit. Aspect

symbolisant la confiance • Les Systèmes d’Information & la Réingénierie : des processus au service du développement du Groupe 06 10 14 GOUvERNANcE D’ENTREPRISE • Des règles de gouvernance en phase avec les meilleures pratiques • Une gestion des risques aux meilleurs standards 34 AcTIvITÉ DU GROUPE • Les Particuliers et les Professionnels : des politiques marketing et commerciale porteuses d’une dynamique nouvelle • Le Private Banking : une ligne métier dédiée à la clientèle

Anne Pezet La décision d’investissement occupe une place singulière dans la littérature de gestion. Décision éminemment stratégique dans bien des cas[1], elle intéresse avant tout le champ de la finance. Il n’est qu’à voir le contenu des ouvrages standard dans les deux spécialités pour apprécier la forte tonalité financière du traitement de l’investissement en gestion. Celui-ci correspond cependant peu aux pratiques et à l’impératif d’exercer un contrôle qui ne soit pas qu’a priori

des titres plus rémunérateurs. Il échappe ainsi au risque de revenu, mais les obligations qu’il détient, offrant une rémunération inférieure au reste du marché, sont décotées. On appelle risque de capital le risque de perte de valeur d’un portefeuille obligataire, suite à une augmentation des taux d’intérêt. En ce qui concerne le risque de marché, il s’avère que sur certains marchés, en particulier le marché des actions et des matières premières, les prix évoluent en fonction de facteurs différents

autres sociétés du groupe 3.5.3.2. Les achats ou ventes d’immobilisations corporelles ou incorporelles financières ou autres éléments d’actif avec les sociétés du groupe 3.5.3.3. Les prestations de services reçues ou données 3.5.3.4. Les contrats de gestion 3.5.3.5. Les contrats de location 39 39 39 45 47 48 49 49 49 49 51 51 51 51 52 52 52 54 54 57 57 3 3.6. Relations avec les autres parties liées au 31/12/2005 3.6.1. Informations sur les engagements 3.6.2. Transferts des ressources 3.6.3. Relations

cas deux situations : lorsque l'opération s'adresse à des personnes qui fournissent un nouveau service d'investissement (gestion de portefeuille pour compte de tiers, c'est-à-dire une prestation qui consiste pour un professionnel à gérer des actifs financiers qui appartiennent à l'un de ses clients. Dans la gestion de portefeuille pour compte de tiers, le mandat de gestion donné au prestataire lui confère une totale liberté). Les investisseurs qualifiés (art. L411-2 II 2° al. 2 CMF : personne

ATTIJARIWAFA BANK NOTE D’INFORMATION Emission d’un emprunt obligataire subordonné Montant global de l’émission : 1 000 000 000 Dh Maturité : 7 ans Tranche A cotée Plafond Nombre Valeur nominale MAD 1 000 000 000 10 000 obligations subordonnées MAD 100 000 Tranche B cotée MAD 1 000 000 000 10 000 obligations subordonnées MAD 100 000 Révisable annuellement, en référence au taux 52 semaines (calculé à partir de la dernière adjudication sur le marché primaire précédent chaque date d’anniversaire)

ce marché. Accroissement du phénomène de désintermédiation. En Europe les entreprises restent encore tournées par les banques. Mais les banques accordent plus difficilement les crédits. Lactalise, Soufflet commencent à émettre sur le marché obligataire. Elles émettent 100 millions € et bien c’est 100 000€ qui ne sont pas placés pour la banque. 300-350 banques en France. Certaines banques sont spécialisées qu’on voit peu 7000 banques aux US. (11 000 il y a quelques années). Notion de banques

fronts |Page 12 | | c) Des résultats en constante progression |Page 13 | | 3° Une stratégie solide, tournée vers le futur |Page 14 | | a) Une structure de projets bien établie |Page 14