Les Règles Du Jeu Démocratique

Rapport sur les enjeux économiques et démocratiques de l ‘économie sociale et solidaire Réalisé par : OTHMAN MANSOURI Encadré par : Mr Louizi [pic] La démocratie participative constitue une autre manière de concevoir les rapports entre la population et ses élus. Sans remettre en cause la démocratie représentative, elle vise à accroître le rôle du citoyen dans le devenir de la cité. Ainsi, plusieurs objectifs sont poursuivis : Le premier est celui de recréer du lien social ou, en d’autres

division internationale du travail héritée de la période coloniale. Cette interconnexion est largement perceptible dans l’impact de la crise financière mondiale sur les sociétés africaines. Ce qui est de nature à faire voler en éclat les acquis démocratiques et économiques de l’Afrique. Et, ce n’est pas par hasard que nombre d’analystes plaident pour la mise en place d’une nouvelle gouvernance africaine. Force est de constater que l’Afrique, dont la part dans le commerce mondial ne cesse

et qu'il faut donc nuancer : Certains, au vu de l'abstentionisme ou de l'extrémisme, ainsi que des "incivilités", diagnostiquent une crise du civisme marquée par un manque d'attachement des citoyens à leurs devoirs civiques et aux valeurs démocratiques. On a montré qu'il fallait plutôt y voir une crise de la représentation, une défiance des citoyens dans le personnel politique et qui les conduit à adapter en conséquence leurs comportements. D'ailleurs, au même moment, pour les associations

l’alternance démocratique a du mal à se concrétiser ? I. INTRODUCTION : Les années 1990 marquent l’entrée de l’Afrique dans un nouvel période d’une vague transition démocratique. Ce processus a dirigé à presque tous les pays africains à l’adoption des nouvelles constitutions et à lutter pour consacrer une démocratie dont la reconnaissance de la liberté, le pluralisme, l’opposition politique et la proclamation des droits de l’homme soient les traits fondamentaux. Le renouveau démocratique dont que nous

Exercer un esprit critique pour mettre en lumière les processus à l’œuvre dans la formation, l’interprétation et l’application des règles relatives au pouvoir. Il s’agit ensuite de comprendre pourquoi et comment on pourrait les réduire pour que la démocratie ne reste pas une chimère Mais peut-on considérer que le droit constitutionnel existe seulement dans les pays démocratiques ou existe-t-il aussi dans les régimes autoritaires, voir totalitaires ? De même, des constitutions ont elles toujours existés

s’est mis en place, serait-ce dû à une perte de confiance ? B) Une crise de confiance dans les institutions démocratiques et les hommes politiques Cette crise de confiance dans les institutions démocratiques et les hommes politiques pourrait se traduire par un refus de choisir, une hostilité envers les hommes politiques étant en compétition durant les élections ou même envers les règles de fonctionnement du régime. Ce qui se caractérise par ailleurs avec l’abstention qui suscite une crise de la

dans tous les pays l’instauration du multipartisme, du pluralisme politique, économique et syndical, l’organisation d’élections disputées, la rédaction de nouvelles constitutions et leur adoption par référendum ; bref, l’organisation de la vie démocratique. L’effervescence qui a accompagné ce processus était telle que certains observateurs n’ont pas hésité à annoncer le caractère irréversible de la démocratie pluraliste au plan universel, et en particulier en Afrique 2. La remarquable convergence

base même du système juridique fondé par T homas Hobbes. o Lé viathan: ouvrage principal de Hobbes : anthropologie et système juridique o O util mé thodologique(utilisé par tous les naturalistes) :l’é tat de nature: pour savoir qui nous sommes sans règles, sans lois, sans système juridique, dans la nature, seuls. Hobbe s: dans l’état de nature : l’homme est un loup pour l’homme, pas de justice, pas d’injust ic e i l n’y a pas de notion de : juste e t d’injuste a priori. Thomas Hobbes 1588-1679

politique peut prendre des formes différentes : dans une grande majorité des cas, le pouvoir se conquiert grâce à une victoire électorale dans un cadre démocratique . Néanmoins, la conquête du pouvoir se fait aussi parfois de manière violente . L’exercice du pouvoir dépend souvent de la façon dont il a été conquis . Dans un cadre démocratique, le pouvoir s’exerce dans le respect des lois en vigueur . Le politiste (ou « politologue ») cherche à comprendre comment s’organise la vie politique

Dans la mesure où la loi du plus fort est acceptée par la majorité c'est à dire par la moitié plus une personne, la société sera démocratique. Mais peut-on accepter la loi de la majorité si l'on refuse la loi du plus fort ? La loi de la majorité doit-elle être systématiquement gouvernée par cette confrontation et ce rapport de force ? La question posée sous-entend que la majorité implique un rapport de force avec la minorité et que par conséquent c'est elle qui détient le pouvoir. Mais ne peut-on