Les Mots De Champ Lexical Les Derniers Vers

retrouve de nombreuses fois le champ lexical de la mer : “cordages” v.2,”navire” v.3, “mers” v.11, “brises passagères” v.24, “la côte” v.25. Le champ lexical de la nature est aussi présent,de façon explicite comme avec ; “terre” v.8 , "arôme" v.11 , “îles aux myrtes vertes” v.13 , “fleurs écloses” v.13 ,, "jardins de roses” v.16 , “désert rocailleux” v.19, “fleur” v.22, “la côte” v.25, “trois branches” v.27, “cyprès” v.28 et enfin "pâture" v.29. Mais le champ lexical est aussi présent de façon plus

Bélise utilise le champ lexical de la discrétion aux vers 284 et 285 avec des mots comme "secrètes" ou encore "muets" qui nous permettent de déduire que les codes de la préciosité engendrent souvent des quiproquos. On retrouve ici le champ lexical de la transparence : "pur", "aveu" ou encore "âme". L'emploi de ce champ lexical met en exergue une pseudo-transparence dans le langage précieux. Cette hypocrisie déguisée apporte une touche comique à l'extrait. Le champ lexical de la transparence

poèmes, s'élever, quitter le monde noir qu'est celui où il vit. Le champ lexical ne fait allusion à aucune verticalité même pour la pluie v-9 «  étalant ses immenses traînées ». L'obscurité est très présente dans le poème et le champ lexical de la noirceur revient tout au long du texte, une oxymore est présente au v-4 « un jour noir » pour augmenté l'impression de noirceur. Le « cachot » au vers 5 est aussi apparenté à ce champ lexical car il accentue l'obscurité avec « araignées » v-11. La victoire

chevreuil et le champ lexical relié à ce dernier est le suivant : « brouter, bois, flanc, printemps, mont, vallée (vers 3, 4, 14, 1, 6, 6) ». Le mot «bois (vers 4)» signifie que lorsqu’il est dans la nature, il se sent en sécurité, puisqu’il est à l’abri de tous les chasseurs. Cependant, quand il en sort, il sera à découvert et à risque d’être abattu. L’autre mot tiré du champ lexical est le mot «flanc (vers 14)» et ce dernier représente le cœur du poète. Ensuite, au troisième vers, Ronsard utilise

| Vers 1 « trou de verdure », « ou chante un ivière » | Champ lexical de la nature | Il y a une description du cadre qui est une belle nature. Cela détourne l'attention du lecteur. | Vers 1 « chante une rivière » vers 3 « montagne fière » vers 11 « Nature, berce le chaudement » | Personnification | Cette personnification nous donne l'impression que c'est la nature qui est vivante et non l'homme. | Vers 1 « trou de verdure » vers 6 « frais cresson bleu » vers 14 « trous

l’opposition entre le soldat et la | | | |vert. |nature. Le soldat suggère la mort, avec les mots | | | | |choisis. Alors que la nature suggère la vie avec ses | |

Intro Nous allons étudier Prose du Transsibérien, un poème en prose, extrait du recueil de poésie intitulé Du monde entier écrit par le romancier et poète Blaise Cendras qui fut publié en 1913. Commençons par quelques mots sur l'auteur. Blaise, né Frédéric-Louis Sauser, le premier septembre 1887 à La Chaux-de-Fonds, canton de Neuchâtel en Suisse, mort le21 janvier 1961 à Paris, est un écrivain d'origine suisse, naturalisé français en 1916. Il mène d'abord une vie d'aventurier et de

1 : Thèmes principaux = Mort et vieillesse * Preuve 1 : Champ lexical à propos de la mort * Explication : Les champs lexicaux représentent les thèmes du texte en général * Preuve 2 : Champ lexical à propos de la vieillesse * Explication : Les champs lexicaux représentent les thèmes du texte en général * Idée secondaire 2 : Nostalgie par rapport aux thèmes nommés précédemment * Preuve 1 : « Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant : Ronsard me célébrait du temps que j’étais

parlerons du champ lexical. Au démarrage du texte, le narrateur, Jean Giono enfant, est dans la réalité. Nous démarrons directement par un mot de dialogue « lis », qui nous introduit dans le concret du narrateur. Il se trouve dans un endroit de la vie quotidienne, le lavoir, où lui a été donné l’Iliade par le prêtre appelé « l’homme en noir ». Le rythme est lent, le narrateur nous dit que le temps est orageux. Très rapidement, l’auteur change le décor : on passe du lavoir, aux champs de la moisson

Le soleil C-BLe soleil Charles Baudelaire 1er mouvement : “Balade du poète dans la ville en recherche d’inspiration” ou “La balade du poète dans une ville délabré” Vers 1: - L'utilisation du verbe "pendre" suggère la lenteur et l'ennui dans cette ville étouffante accentuée par le paradoxe avec la ville qui semble vide et pourtant qui est le lieu de “secrète luxure”. - vocabulaire dévalorisant "vieux", "pendent", "faubourg", "masures" qui évoque l'aspect misérable du quartier elle apparaît comme