Les Moralistes Du Xviième

 faire  avec  la  censure   (argumenta&on  indirecte,  fables…).   -­‐  Thèmes:   1)  «  Plaire  et  Instruire  »   2)  Goût  de  l’Analyse   3)  Respect  des  règles   4)  Ecrivain  moraliste     En  Bref:  Le  Classicisme  est  un  courant   esthé&que  surtout  caractérisé  par  la   recherche  de  l'harmonie  et  de  l'équilibre.   Lumières:   -­‐  Apogée:  XVIIIème

Le classicisme 1) La période du classicisme est le XVIIème siècle, de 1660 à 1715. 2) Le classicisme est un mouvement littéraire. 3) Le classicisme, c’est une langue sobre et réglé, un langage codifié pour plaire, alliant qualités corporelles dont l’élégance, et vertes chrétiennes, faisant preuve de sensibilité et de délicatesse. Le classicisme est aussi évoqué sous le nom de « mouvement littéraire de l’honnête homme ». Au contraire, le baroque est un mouvement littéraire et architecture

Séquence 1, texte 3 Fénelon, Les voyages de Télémaque, La Bétique Fénelon (François de Salignac de La Mothe) écrit Les Aventures de Télémaque à la fin du XVIIème siècle. Ce roman, variation sur le modèle de L’Odyssée d’Homère et de L’Enéide de Virgile était destinée à l’éducation du duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV. Il relate, dans un registre épique, les aventures du jeune Télémaque à la recherche de son père, Ulysse. Il est accompagné par le sage Mentor, qui n’est autre que Minerve/Athéna

roman, l’ouvrage est publié alors que le classicisme multiplie ses analyses aiguës des passions humaines, de la passion amoureuse en particulier. · Morale : Le XVIIème siècle, l’Age classique, est le Grand Siècle des moralistes. On appelle « moralistes » les écrivains qui, comme Pascal, La Fontaine, La Rochefoucauld, ou La Bruyère, décrivent les caractères et mœurs d’une société. Leurs essais, portraits, maximes, fables et « caractères », livrent moins

grande mais aussi de mettre en scène des défauts universels ? 1er mouvement  : Le texte s’ouvre par une négation totale, cela suggère la portée négative de l’ éthopée (portrait moral) · Le moraliste recourt d’emblée d’un ton moqueur en recourant à l’ épanorthose (figure de style) qui consiste à avancer un propos pour ensuite le corriger. 3 verbes de paroles impérieuses. Il traite les autres avec snobisme en les prenant

les tragédies de Corneille et Racine, ou pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de

troisième remarque compare le courtisan à une machine, à l’aiguille d’une montre, qui fait le tour d’un cadran, image d’un cercle qui l’enferme et le déshumanise. Problématique : Comment La Bruyère s’efforce de donner une vision juste de la cour du XVIIème à travers une image fragmentée ? ANALYSE : Par touches, à l’aide de trois images, La Bruyère peint la cour de Louis XIV. 63 : Formule initiale qui rappelle le conte « Il y a un pays ». Le substantif « pays » amplifie le cercle relativement restreint

propositions alternatives qu’elle doit évaluer. C’est pourquoi les humanistes prisent particulièrement les genres de l’essai (Montaigne) et du dialogue. L’humanisme est remis en question. Des écrivains ont montrés les limites de l’humanisme. Fénelon au XVIIème siècle, Rousseau au XVIIIème siècle, puis des romantiques au XIXème siècle ont pointé la futilité de la culture en comparaison des enjeux de la morale et du droit. Ils ont fait l’éloge de la simplicité et valorisé la vie au contact de la nature. Pour

Théodecte, Les Caractères De la Bruyère. introduction : Au XVIIeme siècle, de nombreux auteurs font partie du mouvement du classicisme. Parmi eux, Jean de La Bruyère, moraliste français qui a su plaire aux autres personnalités de son temps, Il est connu pour son œuvre « les caractères » qui décrit les mœurs du 17e. Notre extrait apparaît dans les caractères de « la société et de la conversation ». La Bruyère nous fait le portrait d’un noble grossier. comment La Bruyère décrit-il un noble qui ne

l’impersonnel : il parut, on dut croire). II. Les conseils d’une mère - Dans ce portrait, l’éducation reçue par l’héroïne occupe une place importante. La narratrice glisse du portrait à une réflexion de moraliste sur les dangers de l’amour. A. Le portrait, prétexte à un discours moraliste - Mme de Lafayette donne la parole à Mme de Chartres (son programme éducatif est présenté d’abord sous forme de discours narrativisé puis indirect. - début discours : elle faisait souvent à sa fille des