Les Fondements Du Multipartisme

Montesquieu III- La démocratie libérale, pluraliste A/ Les principes de la démocratie libérale, pluraliste  Une légitimité démocratique  Organisation d’élections libres, régulières transparentes et sincères  Une démocratie représentative  Un multipartisme et un Etat impartial B/ La démocratie procédurale : K. Popper  Une pluralité dans l’unité et un ordre politique dans la pluralité citoyenne  Toute démocratie est un combat d’idées C/ Souveraineté populaire et démocratie directe  Démocratie

démocratique inégal. - des différences : - pour l'Inde, la colonisation peut être vue comme un apprentissage de la démocratie (fin des guerres et début d'une culture du compromis civil, principe électoral, système quasi parlementaire dans les provinces, multipartisme (Parti du Congrès dès 1885 ou Parti communiste en 1921), introduction de discriminations positives en faveur des basses castes (dès la fin du XIXème siècle). - en Chine, la démocratie constitue un des trois « principes du peuple » du Guomindang

l’État d’un statut juridique. Elle donne à l’État une existence juridique, fixe les conditions d’exercice du pouvoir (rôle comparable aux statuts d’une association, d’une université, etc.). Dans une perspective normativiste, la Constitution est le fondement de la validité des normes inférieures. Elle n’est pas seulement un outil d’encadrement du pouvoir, elle vise également à être une « norme d’habilitation », c’est-à-dire qu’elle confère des compétences, elle autorise les organes politiques à agir

Depuis plus d'une décennie, l'Afrique est le théâtre de mutations sociales et économiques profondes. Parallèlement à ces changements socio-économiques, se produisent fatalement des transformations politiques importantes, instaurant le multipartisme à la place des systèmes monopartistes décriés par les peuples, dans le contexte d'une transition qui prépare l'établissement des institutions futures plus responsables et plus démocratiques. C'est donc exactement à partir de 1990 que la plupart

........................................................... 64 1) La justification historique du régime représentatif ........................................................................................ 64 2) La souveraineté nationale comme fondement du régime représentatif ......................................................... 65 ¤ La souveraineté nationale : N.B. : Cette théorie de la souveraineté nationale a marqué de manière forte la tradition constitutionnelle française, depuis Révolution

L'étude des fondements du pouvoir étatique, dans le cadre du droit public, impose une mise en garde préalable. On pourrait s'attendre, en effet, à rencontrer sous cet intitulé des développements sur l'origine de l'Etat ou une analyse des raisons qui expliquent l'existence du pouvoir politique (c'est ainsi qu'on présente souvent le pouvoir comme « fondé » sur les besoins de relations pacifiques entre les individus). Or, ces questions ne relèvent pas des disciplines juridiques, mais de l'histoire ou

sont leurs pratiques ? Ce sont les principales questions auxquelles l’auteur tente de répondre. Il est arrivé sur le terrain en 1990, pour essayer de comprendre la situation que connaissait l’Algérie à cette époque, c'est-à-dire une situation de multipartisme, l’Algérie étant le seul pays arabe qui avait choisi cette voie. Il a alors voulu comprendre pourquoi un pays dit socialiste basculait dans une situation de violence. Le conflit qui se déclenche en 1992, suite à la dissolution du FIS,

une Afrique des Peuples Africains, la chose se comprendrait. Mais ce n’est justement et malheureusement pas cela. Nous sommes donc purement et simplement face à une imposture historique, même s’il est vrai que l’Histoire abonde d’impostures. Les fondements objectifs de cette démarche spécifique de la bourgeoisie africaine méritent d’être mis en lumière. C’est l’économie néocoloniale, totalement dépendante de l’économie mondiale capitaliste et de ses évolutions. Cette économie mondiale est, dès le

définissent des droits et libertés des individus et prévoient également des mécanismes pour les garantir concrètement la tradition allemande, s’est fondée autour du Rechtsstaat et elle a correspondu à la fin du 19e siècle à la volonté de trouver un fondement juridique au Contrôle par le juge des actes administratifs, cette action allemande s’est constituée autour de la notion de droits fondamentaux de l’individu. Dernière cette notion d’état de droit peu importe la forme du gouvernement, la protection

représentent l’Etat (président de la république, premier ministre). L’Etat normes : l’Etat en réalité est un ensemble de normes, le droit tout comme l’Etat est un ensemble de normes. Le président, premier ministre, administration, agissent sur des fondements normatifs. Au sein de ce droit public existe : Le droit administratif, le droit constitutionnel. Droit constitutionnel : Droit qui constitue (fonde), cette constitution qui se trouve à l’origine de cet ordre normative (l’Etat), fonde le droit