Les Enjeux Moraux

hCoefficient : 2,5Épreuve : HISTOIRE – GÉOGRAPHIE – ENSEIGNEMENT MORAL ET CIVIQUEBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL/BREVET DES MÉTIERS D’ARTSession 2017CORRECTION DE LA SOUS-ÉPREUVE D’HISTOIRE-GÉOGRAPHIE-ENSEIGNEMENT MORAL ET CIVIQUECONSIGNES GÉNÉRALESLe règlement d’examen précise que la sous-épreuve d’histoire-géographie-enseignement moral et civique vise à évaluer « la maîtrise des savoirs et des capacités en histoire-géographie et enseignement moral et civique » des candidats. « L’épreuve […] comporte trois

philosophique. Ces économistes sont redevables d’une certaine façon à la philosophie de leur temps. Exemples : - Adam Smith « La richesse des nations ». Il est connu avant ce livre pour avoir écrit une œuvre philosophique : « la théorie des sentiments moraux » - Marx (19eme siècle). Il est au départ un philosophe. Il a écrit un doctorat de philosophie pour ensuite s’intéresser à l’économie. Le lien est direct entre un individu qui est avant tout philosophe et qui devient économique. Les grands économistes

de porter un regard critique sur ce sujet d’actualité avec les lunettes de Smith, cet auteur de la droite libérale, et de Marx, ce gauchiste anticapitalisme. De ce fait, les deux enjeux présentés mettront de l’avant certains des principaux fondements de ces auteurs tels que, pour débuter, la théorie des sentiments moraux de Smith ainsi qu’ensuite la métaphore de l’opium de Marx. Positionnement Partie 1 : Perspective de smith Dans un premier temps, l’interdiction du voile dans l’espace public pourrait

naissance. Cette interdiction repose sur les principes de respect de la personne et du corps humain. Toute forme d’arrangement passé entre un couple et une «mère porteuse» est considéré comme nul et non avenu et lourdement condamné. Quels sont les enjeux ? Les personnes qui défendent la gestation pour autrui avancent l’argument de la détresse des femmes qui, faute d’utérus, ne peuvent pas porter d’enfant. Elles mettent en avant une inégalité de fait entre : * les femmes recourant à un don d’ovules

conception « idéaliste » de la conscience qui fut notamment celle de Descartes ont généralement privilégié une acception restreinte du concept. Effectivement, le terme inconscient a d’abord été utilisé pour désigner l’absence de conscience psychologique ou morale, ou plus largement un manque de jugement ou de réflexion : ainsi Alain répondait-il dans ses Libres propos à la question « Qu’est ce qu’un inconscient ? » : « c’est un homme qui ne se pose pas de question ». La définition proposée par Freud dans

y a soixante ans cette année. Bien que notre société soit caractérisée par un individualisme ambiant, un relativisme moral croissant et un hédonisme prégnant, force est de constater que ces différentes manifestations gardent leur importance. Ces dernières sont le signe du devoir de mémoire qui imprègne la société tout entière. On entend par devoir de mémoire l’obligation morale de se souvenir, de garder toujours à l’esprit les hauts faits et tragédies de l’Histoire. Quels sont les implications

ou la Sagesse Humaine. On y trouve bien souvent une morale sur laquelle le lecteur s’épanche d’un peu plus près, c’est pourquoi si la morale puni ou récompense justement les protagonistes, cela suffit-il pour plaire au lecteur ? Tout d’abord nous analyserons l’aspect plaisant de l’apologue, cherchant tout d’abord à distraire et àinstruire le lecteur ainsi qu’a obliger le lecteur à réfléchir. Puis nous nous demanderons enfin si face à cette morale le lecteur est satisfait du dénouement du conte, ce

perpétuel vers autre chose. C ‘est l’idée de la finitude de l’homme Enjeu : Le bonheur Quel concept du bonheur est engagé par le désir personnel ? Bonheur : satisfaire un maximum de désir pour un max de plaisir. Succession perpétuelle de plaisir. Hédonisme : doctrine philosophique qui place le désir comme un but dans la vie. Le bonheur : satisfaction des désirs quelles que soient les conséquences et la valeur morale de mes actes. Limites : La souffrance résultant des conséquences

Les économies morales dans les sciences humaines et sociales. Etude d’un « concept en devenir ». 2012/2013 Les réflexions sur la morale ont longtemps été l’apanage de la philosophie et de la religion. Ces dernières appréhendaient la question souvent dans une optique prescriptive, c’est-à-dire en cherchant à savoir quel comportement ou quelle action était juste et bonne, tout en discutant de la relation entre raison et sentiment. Les sciences sociales commencent à s’intéresser à la question

seule vraie religion, et que toutes les autres ne sont que des croyances. Cela va donc poser un problème avec le terme « religion ». Qu’est ce que c’est ? Est-ce vrai ? La religion a souvent été au cœur des débats pour tenter de la définir. Un fort enjeu religieux se dégage donc de ce texte : quel est la nature et le statut de la religion ? Mais aussi une question qu’on se pose tout de suite Ce texte se compose de trois parties distinctes. Dans la première, pause l’idée qu’il n’y a qu’une vraie religion