Les Courants épistémologique

perpétuel changement entre groupes dominants et subalternes, entre colons et populations indigènes (Shohat, 2007). » Notes épistémologiques : L’analyse du pouvoir et les études postcoloniales Dans la section précédente, une invalidation du concept de tiers-monde par un argumentaire conjoncturel et sociohistorique a été réalisée. Quelques points de critique épistémologique du problème tiers-mondiste seront maintenant soulevés. Comme entrevus en conclusion de la partie précédente, les rapports

sagesse ou l’amour du savoir. À noter que le mot φιλοσοφία est effectivement partie du lexique du grec ancien, on trouve des usages attestés dès l'Antiquité. Il ne s’agit donc pas d’une construction moderne basée sur du grec, forme de néologisme courant en français, comme pour le terme utopie par exemple[4]. Les termes φιλόσοφος (philosophos) et φιλοσοφεῖν (philosophein) apparaissent en quelques occurrences chez les penseurs présocratiques[5] Héraclite, Antiphon, Gorgias et Pythagore, mais aussi

apprentissage entre un savoir identifié, un maître dispensateur de ce savoir et un élève récepteur de ce savoir. Elle ne se contente plus de traiter la matière à enseigner selon des schémas préétablis, elle pose comme condition nécessaire la réflexion épistémologique du maître sur la nature des savoirs qu'il aura à enseigner, et la prise en compte des représentations de l'apprenant par rapport à ce savoir (épistémologie de l'élève). Comme on le voit, le sens du mot « didactique » s'est profondément modifié

de l'École de pédagogie fondée en 1919, qui allait devenir plus tard notre actuelle Faculté des Sciences psychologiques et de l'Éducation. Decroly s'inscrit dans une mouvance internationale (le " courant de l'Éducation nouvelle "), dont la filiation des idées remonte notamment à Rousseau. Ce courant compte, outre Decroly, plusieurs représentants illustres, tels que Pestalozzi (Suisse), Dewey (États-Unis), Montessori (Italie), Freinet (France), etc. Bien que chacune de ces figures présente une forte

sagesse ou l’amour du savoir. À noter que le mot φιλοσοφία est effectivement partie du lexique du grec ancien, on trouve des usages attestés dès l'Antiquité. Il ne s’agit donc pas d’une construction moderne basée sur du grec, forme de néologisme courant en français, comme pour le terme utopie par exemple2. Les termes φιλόσοφος (philosophos) et φιλοσοφεῖν (philosophein) apparaissent en quelques occurrences chez les penseurs présocratiques3 Héraclite, Antiphon, Gorgias et Pythagore, mais aussi chez

illustrent l'histoire de la géographie et montrèrent l'impact de la colonisation qui transforma la géographie (en tant que science donc) et montra le Monde comme conséquence de la colonisation. La carte va illustrer les propos historiques et épistémologiques ; il y a deux types de figures sur cette carte. D'un côté Martonne utilise une teinte plus ou moins foncée en fonction de la reconnaissance plus ou moins tardive des pays. De l'autre des figures linéaires pour représenter l'inconnu. Cette carte

le lieu du savoir rationnel et le lieu de la liberté. • Conclusion : La philosophie cartésienne repose sur quelques postulats simples : L'homme peut accéder à la connaissance universelle par la raison, d'où d'ailleurs le courant épistémologique du "rationalisme" qui s'oppose dans bien des cas à l'empirisme. Il emploie pour cela toutes les ressources de son intelligence, en premier lieu l'« intuition évidente », la conjecture et la déduction, mais également l'imagination, les sens

psychophysiologie, moeurs animale). certaines disciplines de la psychologie se élaborer avec d’autres, soit dans des champs uni soit à l'instar de sous-domaines d’un domaine d’études plus vaste. elles sont beaucoup soumises à de redoutables colle épistémologiques, par jurisprudence la psychopédagogie, la psychosociologie ou la psychopathologie, etc. En effet, il est difficile de dire par enseignement ce qu’est ou n’est pas la biologie en général2 et donc encore plus difficile de énoncer la phytopathologie

of nature), Robert Boyle, auteur d’ouvrages sur la méthode expérimentale (voir philosophie de la nature), Jean-Jacques Rousseau (rêveries d’un promeneur solitaire), Samuel von Pufendorf (qui inspira la constitution des États-Unis), ou de nombreux courants de peinture au XIXe siècle (école de Barbizon, impressionnisme…). Dans les dernières décennies, de nombreux philosophes se sont inquiétés des rapports avec la nature (René Dubos, Hans Jonas…). Selon la philosophie moderne, et en particulier dans

(Granovetter, 1985 et 2005). Nous avons choisi de structurer notre contribution en deux parties. La première partie examine la littérature sur les réseaux sociaux, tandis que la deuxième partie discute les apports théoriques, méthodologiques et épistémologiques de ces dernières. 1.Le réseau social : quels fondements ?: Les concepts des réseaux sociaux proviennent à l’origine du domaine des mathématiques, et notamment de la théorie des graphes et également de la psychologie sociale, notamment dans