Les Champs Lexical De La Solitude Sont

mort de cette unfortunée: « à la croire déjà morte », « comme un cadavre que l'on galvanise »; jusqu'à enfin arriver à la mort tragique de cette héroine: « Elle n'existait plus ». De même dans « La Parure », l'auteur utilise un vaste et dense champ lexical de la pitié et de la souffrance afin de bien mettre en valeur ce même aspect pitoyable: « malheureuse », « elle souffrait » ( trois fois ) , « pauvreté », « misère », « laideur », « usure », « la torturaient et l'indignaient ». Cette héroine mène

I -Une évocation réaliste et baroque de la mort A - Une description réaliste de l'altération du corps Evocation insistante de son corps → champs lexical : "os", "bras", "oeil", "corps", "face", "yeux".  Ronsard nous propose une analyse clinique de la dégradation de son organisme Ronsard souffre en esthète → le quatrième vers évoque sa réticence à se regarder. B- Le constat douloureux de la dépossession de soi L’ouverture du sonnet sur l'hémistiche "je n'ai plus que les os" marque une profonde déperdition

réalité de notre solitude et nous prive de tout contact véritable. Nous sommes plongés au cœur de notre égotisme et de notre individualisme… 3) (l. 19) écoute solitaire de la musique avec un casque ou des écouteurs4) (l.16) Swann, à l’écoute de la musique de Vinteuil, se transforme en créature imaginaire et se coupe du reste de ses congénères. Tourne-disque = écoute individuelle, pour soi, chez soi (lieu privé et non collectif). Un seul bras est rivé au tourne-disqueMusique et solitude(= I c) du plan)4)

personnages de Hamm, un aveugle paralysé, et de Clov, son serviteur, sont confrontés au néant et ils sont réduits à parler afin de tuer le temps. Ce qui caractéristique Beckett c’est que son type d’œuvre théâtrale montre à la fois la misère et la solitude attachées à la condition humaine, ce qui empêche l’homme d’exister et d’agir. Et l’auteur tente par l’humour de résister au désarroi, à la fuite du temps, et à la déchéance. Et c’est par le bavardage comme le font Clov et Hamm qu’il exprime tout

l’idée d’au- delà, de monde qui échappe au regard, idée soulignée par les termes «  ». Ce monde se définit d’ailleurs par le biais d’antithèses «  la césure jour/nuit », « monde perfusé de mille sommeils où il ne dort jamais » métaphore souligne la solitude du soignant Dans les premiers temps,il sillonne le service comme on lève sa propre cartographie interne, conscient qu’il rejoint ici l’autre moitié du temps, la nuit cérébrale,le cœur du réacteur_sa voix s’éclaircit,elle gagne en nuance,c’est

était bien la seule de nous deux à être paisible. Toutes les personnes présentes sur le navire avaient été arrachées à leur terre tout comme moi, elles avaient tout perdu également, leur famille, leurs biens. Malgré tout j’avais cette sensation de solitude que personne ne pouvait comprendre. On ne voyait en eux, plus qu’une faible lueur prête à s’éteindre, à n’importe quel instant, comme si celle-ci diminuait à chaque mille parcouru, bientôt plus aucune lumière ne brillerait en eux, leur âme envolée

» (l.2) nous place dans le registre de l’émotion.Le champ lexical du pathos (=sentiment) nous le confirme :« malheureux » (l.2), « trahi » (l.2), « trahie » (l.2), « trompeuses » (l.3), « passion » (l.3), « mortel désespoir » (l.5), « cruauté » (l.5).Ces termes renvoient au sentiment de solitude et d’isolement ressenti par la religieuse.Les verbes employés renvoient à un lointain passé : cela veut dire que leur relation a

son sens du mot grec pathos, signifiant "passion, souffrance", et cherche à provoquer l’émotion du lecteur en recourant à des thèmes liés à la souffrance, comme la mort, la maladie, la séparation, la douleur. On peut le reconnaître par : • Les champs lexicaux de la souffrance et de la mort. • Les métaphores et les comparaisons qui renforcent l’expression des sentiments. • Les hyperboles et oppositions qui intensifient l’émotion. • Les ellipses narratives qui laissent deviner l’horreur de la situation

extrait on assiste à un monologue théâtralisé, en effet Figaro nous livre sa vie, dans un discours sans interlocuteurs, il se confie à lui-même ce qui donne une impression de sincérité. Il n'y a aucune raison de se mentir à soi-même, cela renforfe la solitude du personnage, comme si c'était une fatalité dans sa vie. Beaumarchais, à travers l'exemple de la vie de Figaro, a voulu montrer au spectateur la critique porté par le dramaturge et son personnage. On peut remarquer, que pendant que Figaro se

personnage perdu?". Dans un premier temps nous aborderons le sujet d'une expérience douloureuse, traumatisante, pour ensuite nous pencher sur "comment ce passage fait le portrait d'un être perdu". Tout d'abord nous pouvons remarquer que le champ lexical de la violence est omniprésent dans ce passage avec: "bouscule, se fait bousculer" "foule de plus en plus violente" "enserre" "étouffe" "il ne voit plus rien, n'entend plus rien" "bombe" "corps éventrés" "village en feu" "cogne", cela renvoi à