Les Champs Lexical De La Solitude Sont

un état d’extreme solitude qui vient de la conscience de sa différence et qu’elle est très confus, agitée, et malheureux. Duras utilise plusieurs champs lexicaux pour décrire Ourika et sa découverte. Le premier champ lexicale est celle de la solitude extrême. Ce champ lexicale apparaît clairment dans les mots suivant « la perte de ce prestige », « illusions », « tout disparu », « isolement », « toute seule », « j’etais déplacée », et « pour toujours seule » . Cette solitude est défini précisément

sont des poèmes lyriques… et qui dit lyrisme dit expression des sentiments personnels, intérieurs.   1. Le thème commun aux 3 poèmes du corpus est la solitude: - champ lexical de la solitude: "Seul" (texte 1), "seul !" mis en valeur par le point d'exclamation, (texte 2). Cette solitude fait souffrir l'auteur: - la souffrance > champ lexical de la souffrance : " tyrannie", "souffrirai" (texte B), "supplice", "souffrir" (texte C) - hyperbole "cruel supplice" (texte 3) On rencontre aussi l'idée

nous présente tout d’abord un paysage mélancolique, avec le champ lexical de la nature, « le grand bois », « la colline », « foret », « pluie », dans un ton de couleurs tristes « jaunissant », « rouillé ». Le rythme est lent, avec peu de ponctuations. On remarque le champ lexical de l’automne, « le grand bois jaunissant », « l’automne décline », « dore seul la colline », ce qui connote la mort. Le poète exprime un désir de solitude, avec l’emploi de l’impératif, ligne 1 « Oh ! Laissez-moi ! »

la tristesse et l’exotisme. Ce poème est axé sur une grande solitude et un grand désespoir. On peut retrouver le champ lexical de cette solitude avec au vers 1 « laissez-moi », « cache »au vers 2, et enfin « disparaît », « seul » et « décline » respectivement aux vers 3,4 et 5. Ce champ lexical vient sans doute renforcer le sentiment de solitude exprimé par Victor Hugo. Le désespoir est justifié grâce au champ lexical de l’automne, par exemple « cercle de brume » vers 2, « le grand

joyeux ; Philosophes viveurs, fils de la pourriture, À travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s’il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ! Champ lexical de la mort Champ lexical de la vieillesse Champ lexical de la solitude   Situation du poème + forme Il se situe dans la partie « Spleen et Idéal » à la fin, entre « le revenant » et « Sépulture » Le poème est en vers régulier, c’est un sonnet d’alexandrin Titre : antithèse

Les paradis artificiels , et enfin Le Splenn de Paris. En effet dans Le Spleen de Paris plusieurs poèmes y sont inscrits. Comme l'oeuvre étudiée ; A une heure du matin. Dans ce poème nous pouvons constatez que Baudelaire semble satisfait de sa solitude qui lui procure calme et paix, et enfin il nous fera part d'un résumé de journée qu'il as passer , celle-ci s'avère très critique. Par quels types de procédés l'auteur critique la société et arrive t-il a se critiquer lui-même ? Alors dans un premier

du tourment et du désespoir d'Emma. a) Un champs lexical du cauchemar. b) Évocation du suicide. II- Les échanges qui se produisent entre le monde extérieur et l'héroïne.  a) Le monde extérieur qui accentue la solitude d'Emma. b) Le point de vue d'Emma. Procédés Citation Interprétation I : a) champs lexical du cauchemars « saisie d'une appréhension », « épouvantée », « horrible » Ces adjectifs accentuent le tourment de madame Bovary I : a) champs lexical de l'ivresse « haletante », « éperdue »,

que nous nous poserons sera : en quoi cette scène reflète t-elle la solitude du personnage ? Et donc afin de répondre à cette problématique, premièrement nous analyserons en quoi, cette scène de théâtre est un monologue et enfin deuxièmement en quoi est-ce une scène tragique. Un monologue est le discours d'un acteur qui se parle tout haut à lui-même et dans la scène 4, acte 4, des indices nous démontrent la solitude du personnage. Par exemple, nous observons comme un «  jeu des pronoms

Laforgue & « Rêverie » Victor Hugo I La couleur des poèmes 1. Obscurité au rayonnement • Chez Jules Laforgue, on remarque le champ lexical de l’obscurité « ciel gris rayé »V2, « brume de suie V3, « ombres » V4. Chez Victor Hugo, champ lexical de l’obscurité : « brume » V2, « brouillard » V12 « ciel d’automne » V14 mais qui est accompagné par le champs lexical de la luminosité « géant rougit » V3, « jaunissant » V4, « flèches d’or » V12… Symbole de l’espoir dans le poème de Victor Hugo. Chez

montre-il la souffrance du poète et montre également un lyrisme universel ? Dans un premier temps, nous verrons l’expérience douloureuse de la solitude et dans un deuxième temps nous verrons que l’expression du sentiment personnel peut devenir un lyrisme universel. Dans ce poème, Alfred de Musset exprime une souffrance douloureuse qui se lie à sa solitude, à cause de sa rupture avec George Sand. Tout d’abord, dans ce poème Musset parle à son propre cœur et exprime alors sa souffrance. On